Hervé FERON

Ronchon...

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vendredi 29 novembre 2019 07:18

Il est toujours étonnant d'avoir un entretien serein et courtois avec un journaliste, sur sa sollicitation et de lire quelques jour plus tard un article dans lequel il en rajoute des tonnes. Il tente de me montrer agressif, il part dans des suppositions, des élucubrations, je ne résiste pas au plaisir de vous  citer ce qui n'est qu'un extrait du journal La Semaine à mon sujet, jugez plutôt de vous-même : "Serait-il baigné par l'amertume, emporté par la cascade des ruptures, fatigué d'être incompris, au point de tomber dans la brutalité verbale qui véhicule des sentiments excessifs portés à leur paroxysme ?"... et ce n'est qu'un extrait !
Il faut oser écrire des choses comme ça. Finalement, le seul qui est agressif et gratuitement à mon encontre, c'est lui.
Je ne voulais même pas relever, car ces propos, dans un journal peu lu,  n'appartiennent qu'à lui et aux quelques uns qui me combattent politiquement et à qui il prête une oreille bienveillante. Mais ceux-là sont si peu nombreux, eu égard à vous tous qui me témoignez régulièrement votre sympathie et vos encouragements dans les combats que nous partageons. Ce journaliste ne sait pas de quoi il parle. Ce n'est pas grave, mais  il ne sait pas que je ne suis pas fatigué, je ne suis pas amer, je ne suis pas incompris, je suis au contraire encouragé par tout ce que nous réussissons ensemble à Tomblaine en particulier, fort des valeurs qui sont les miennes, motivé par vos témoignages quotidiens d'amitié, par milliers sur facebook et sur mon site herveferon.fr (3 600 000) entre autres et surtout je reste combatif. 

Je dérange, parce que je suis le seul élu qui aura dénoncé les scandales, le mensonge, les complicités, les magouilles, la lâcheté, qui règnent sur la Métropole du Grand Nancy, dans un microcosme où tout est arrangé, où la parole est calibrée, car ils ont tous des intérêts à défendre. 
Il faut se taire, c'est l'omerta. La moindre vérité annoncée devient un gros mot et bouscule les petites convenances, je suis alors traité comme un chien dans un jeu de quilles. Mais je reste combatif, n'en déplaise au journaliste ronchon, en quête d'info à sensation...