Lundi à 19h15, Hervé Féron rencontrait les seniors du club de football de Tomblaine, le GSAT, et avec la sympathique présidente, Hinde Magada, il remettait les nouvelles tenues à l’équipe 1 du club.
Petit moment de convivialité.
Agir pour vous et avec vous
Lundi à 19h15, Hervé Féron rencontrait les seniors du club de football de Tomblaine, le GSAT, et avec la sympathique présidente, Hinde Magada, il remettait les nouvelles tenues à l’équipe 1 du club.
Petit moment de convivialité.
Lundi à 19h15, Hervé Féron rencontrait les seniors du club de football de Tomblaine, le GSAT, et avec la sympathique présidente, Hinde Magada, il remettait les nouvelles tenues à l’équipe 1 du club.
Petit moment de convivialité.
Pour la deuxième fois en une dizaine de jours, les sondages donnent Mathieu Klein gagnant les élections municipales de Nancy, ce qui signifierait qu’André Rossinot ne serait pas renouvelé à la Présidence de la Communauté Urbaine. Le seul véritable enseignement à tirer de ces sondages est que la victoire de Mathieu est possible. Cela ne doit avoir qu’une seule conséquence : nous mobiliser très nombreux pour faire gagner Mathieu Klein. Il est évident que les socialistes, la Gauche et plus largement encore, tous ceux qui se sont engagés dans cette campagne ont eu raison de faire campagne solidairement. C’est aussi parce que la proposition d’une Présidence de la CUGN à Hervé Féron et une première Vice-Présidence à Mathieu Klein représentent une belle alternative cohérente et constructive pour les Grands Nancéiens.
A droite, on s’énerve beaucoup. C’est pour cela qu’Hervé Féron subit quasiment une rumeur nouvelle par jour, diffusée lâchement sur le net. Il a opté pour répondre très peu, tant la méthode est médiocre et peu crédible. Par contre, sentant parfaitement le danger de l’association Mathieu Klein / Hervé Féron, la droite s’emploie à dire et à faire dire aux médias que cette association serait très inattendue, on a même parlé de « tempêtes passées ». Voilà donc ce qu’Hervé Féron en dit :
« Mais de quelles tempêtes parle-t-on ? Vous pouvez rechercher toutes les interventions de Mathieu Klein ou de moi-même, écrites ou orales, il n’y a jamais eu la moindre tempête, la moindre engueulade entre nous. Je dirais même que j’ai toujours eu beaucoup d’estime et une vraie amitié vis-à-vis de Mathieu. Ce ne sont pas les circonstances actuelles qui m’amènent à dire cela publiquement. J’ai rencontré Mathieu Klein au Conseil Général de Meurthe-et-Moselle lorsque tous les deux nous étions Vice-Présidents. Tout est vérifiable, regardez bien, Mathieu Klein et moi-même avons toujours porté les politiques publiques du Conseil Général ensemble derrière Michel Dinet, nous avons toujours voté pendant plusieurs années exactement de la même façon, solidairement avec la majorité de Michel Dinet. Quand en 2007 j’ai souhaité être candidat aux législatives, Mathieu Klein a été de ceux qui m’ont activement soutenu pour que j’obtienne l’investiture. Quand ensuite Mathieu Klein a été candidat pour devenir le Premier Secrétaire Fédéral du Parti Socialiste en Meurthe-et-Moselle, je suis certainement celui qui l’a le plus activement soutenu. Il suffit de regarder le résultat du vote de la section socialiste de Tomblaine, 100% avait voté Mathieu Klein ! Quand la droite a charcuté ma circonscription pour tenter d’avantager Valérie Debord, Mathieu Klein a soutenu activement ma candidature à l’investiture pour ces législatives de 2012. Nous sommes donc compagnons de route depuis longtemps.
Alors certes, nos personnalités sont très différentes, notre parcours, nos histoires personnelles mais la diversité, c’est ce qui a toujours fait la richesse de notre parti. L’important, c’est qu’on se rejoigne systématiquement sur les valeurs républicaines, progressistes, humanistes. Les deux exemples que la droite nancéienne a tenté de trouver sont sur les sujets du cumul des mandats et l’affaire Dieudonné. Sur le cumul des mandats, Mathieu souhaitait une loi telle que celle qui vient d’être votée, moi je souhaitais une loi qui empêche les cumuls de mandats impossibles mais qui permette aux maires de petites communes de continuer à pouvoir participer aux travaux de l’Assemblée. Lorsque certains m’ont attaqué gratuitement sur cette position, j’ai répliqué vivement et sans excès. Les excès, on ne les a trouvés que dans les commentaires qui ont été faits sur mes propos. Ce n’est jamais Mathieu Klein qui m’a attaqué là-dessus, je n’ai donc jamais répliqué contre lui. Alors voilà, de tempêtes, il n’y a pas eu.
Sur l’affaire Dieudonné, nous étions exactement sur le fond sur les mêmes positions. Juste dans la méthode, je pensais qu’il ne fallait pas interdire Dieudonné de spectacle pour ne pas le victimiser mais qu’il valait mieux faire constater ce qui pouvait être de l’ordre du délit et demander à ce que les peines soient appliquées. Cela me semblait plus efficace. Là encore, il n’y a pas eu de tempête entre Mathieu et moi. Le projet que nous proposons, lui aux Nancéiens et moi aux Grands Nancéiens, c’est de continuer à construire ensemble. C’est pourquoi je crois très fort à une grande mobilisation pour la candidature de Mathieu Klein ».
Pour la deuxième fois en une dizaine de jours, les sondages donnent Mathieu Klein gagnant les élections municipales de Nancy, ce qui signifierait qu’André Rossinot ne serait pas renouvelé à la Présidence de la Communauté Urbaine. Le seul véritable enseignement à tirer de ces sondages est que la victoire de Mathieu est possible. Cela ne doit avoir qu’une seule conséquence : nous mobiliser très nombreux pour faire gagner Mathieu Klein. Il est évident que les socialistes, la Gauche et plus largement encore, tous ceux qui se sont engagés dans cette campagne ont eu raison de faire campagne solidairement. C’est aussi parce que la proposition d’une Présidence de la CUGN à Hervé Féron et une première Vice-Présidence à Mathieu Klein représentent une belle alternative cohérente et constructive pour les Grands Nancéiens.
A droite, on s’énerve beaucoup. C’est pour cela qu’Hervé Féron subit quasiment une rumeur nouvelle par jour, diffusée lâchement sur le net. Il a opté pour répondre très peu, tant la méthode est médiocre et peu crédible. Par contre, sentant parfaitement le danger de l’association Mathieu Klein / Hervé Féron, la droite s’emploie à dire et à faire dire aux médias que cette association serait très inattendue, on a même parlé de « tempêtes passées ». Voilà donc ce qu’Hervé Féron en dit :
« Mais de quelles tempêtes parle-t-on ? Vous pouvez rechercher toutes les interventions de Mathieu Klein ou de moi-même, écrites ou orales, il n’y a jamais eu la moindre tempête, la moindre engueulade entre nous. Je dirais même que j’ai toujours eu beaucoup d’estime et une vraie amitié vis-à-vis de Mathieu. Ce ne sont pas les circonstances actuelles qui m’amènent à dire cela publiquement. J’ai rencontré Mathieu Klein au Conseil Général de Meurthe-et-Moselle lorsque tous les deux nous étions Vice-Présidents. Tout est vérifiable, regardez bien, Mathieu Klein et moi-même avons toujours porté les politiques publiques du Conseil Général ensemble derrière Michel Dinet, nous avons toujours voté pendant plusieurs années exactement de la même façon, solidairement avec la majorité de Michel Dinet. Quand en 2007 j’ai souhaité être candidat aux législatives, Mathieu Klein a été de ceux qui m’ont activement soutenu pour que j’obtienne l’investiture. Quand ensuite Mathieu Klein a été candidat pour devenir le Premier Secrétaire Fédéral du Parti Socialiste en Meurthe-et-Moselle, je suis certainement celui qui l’a le plus activement soutenu. Il suffit de regarder le résultat du vote de la section socialiste de Tomblaine, 100% avait voté Mathieu Klein ! Quand la droite a charcuté ma circonscription pour tenter d’avantager Valérie Debord, Mathieu Klein a soutenu activement ma candidature à l’investiture pour ces législatives de 2012. Nous sommes donc compagnons de route depuis longtemps.
Alors certes, nos personnalités sont très différentes, notre parcours, nos histoires personnelles mais la diversité, c’est ce qui a toujours fait la richesse de notre parti. L’important, c’est qu’on se rejoigne systématiquement sur les valeurs républicaines, progressistes, humanistes. Les deux exemples que la droite nancéienne a tenté de trouver sont sur les sujets du cumul des mandats et l’affaire Dieudonné. Sur le cumul des mandats, Mathieu souhaitait une loi telle que celle qui vient d’être votée, moi je souhaitais une loi qui empêche les cumuls de mandats impossibles mais qui permette aux maires de petites communes de continuer à pouvoir participer aux travaux de l’Assemblée. Lorsque certains m’ont attaqué gratuitement sur cette position, j’ai répliqué vivement et sans excès. Les excès, on ne les a trouvés que dans les commentaires qui ont été faits sur mes propos. Ce n’est jamais Mathieu Klein qui m’a attaqué là-dessus, je n’ai donc jamais répliqué contre lui. Alors voilà, de tempêtes, il n’y a pas eu.
Sur l’affaire Dieudonné, nous étions exactement sur le fond sur les mêmes positions. Juste dans la méthode, je pensais qu’il ne fallait pas interdire Dieudonné de spectacle pour ne pas le victimiser mais qu’il valait mieux faire constater ce qui pouvait être de l’ordre du délit et demander à ce que les peines soient appliquées. Cela me semblait plus efficace. Là encore, il n’y a pas eu de tempête entre Mathieu et moi. Le projet que nous proposons, lui aux Nancéiens et moi aux Grands Nancéiens, c’est de continuer à construire ensemble. C’est pourquoi je crois très fort à une grande mobilisation pour la candidature de Mathieu Klein ».
50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.
Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !
Dossier n° 33 – 6 mars 2014
QUAND LE BATEAU COULE, LE PRESIDENT FOURNIT LES MAILLOTS DE BAIN
Hervé Féron est très content car manifestement tous les matins, le Président Rossinot lit attentivement le blog du Député-Maire de Tomblaine et candidat à la Présidence de la Communauté Urbaine. Par exemple il y a deux jours, nous avons fait état sur ce blog du fait que le club de gymnastique « Rondade Salto » de Tomblaine s’était vu refuser la possibilité de venir à deux reprises pendant les vacances scolaires en payant bien sûr les entrées avec une vingtaine de jeunes gymnastes à la Piscine du Lido, alors que cette piscine est située à Tomblaine. Miracle ! Hier après-midi, les dirigeants du club recevaient un coup de téléphone des services de la Communauté Urbaine (il paraîtrait que cette affaire « est allée très haut »). Finalement, tout cela va pouvoir s’arranger et les petits gymnastes Tomblainois vont pouvoir aller à la piscine. Quand le bateau coule, c’est Rossinot qui fournit les maillots de bain !
Alors, on peut espérer que le Président Rossinot lira les éléments que nous posons à la discussion concernant la Maison de Santé Pluriprofessionnelle de Tomblaine.
Il y a 2 ans, la Communauté Urbaine a signé un Contrat Local de Santé avec l’Agence Régionale de Santé. Cela avait donné l’occasion au Président de faire de très longs commentaires sur les vertus de la CUGN lors d’un interminable exposé en Conseil de Communauté Urbaine. Le seul maire de la Communauté Urbaine qui n’avait pas signé était Hervé Féron. En effet, celui-ci avait expliqué qu’il n’était pas d’accord avec certaines affirmations de ce Contrat Local de Santé et en particulier quand on pouvait y lire que l’offre de soins était parfaitement répartie sur l’ensemble de l’agglomération nancéienne.
Ce qu’Hervé Féron dit est parfaitement vérifiable : lors des deux dernières Lois de Finances sous Nicolas Sarkozy, tous les dispositifs d’exonération fiscale qui existaient dans les ZUS et dans les ZRU ont été supprimés ! Seules les ZFU conservaient un certain nombre d’avantages. Or, des Zones Franches Urbaines dans l’agglomération nancéienne, il n’y en a que 2, à Vandoeuvre et à Nancy sur le Plateau de Haye. Car c’est comme pour les aveugles, on ne dit plus « aveugle » mais « non-voyant », comme pour les chômeurs, on ne dit plus « chômeur » mais « demandeur d’emploi », les dames de ménage, on dit « technicienne de surface », les personnes handicapées, on dit « personnes à mobilité réduite ». Là, on ne dit plus « Haut-du-Lièvre » mais on dit « Plateau de Haye ». C’est beaucoup la même chose mais c’est un peu plus soft. C’est ainsi que progressivement les médecins spécialistes, les laboratoires d’analyses et les cliniques privées se regroupent non pas au cœur de la ZFU car il y subsiste trop de problèmes mais en limite du Plateau de Haye ce qui leur permet de bénéficier des dispositifs d’exonération fiscale sans connaître les difficultés à vivre dans un quartier tel que celui-là.
Ce qu’Hervé Féron dit, c’est que la loi est ainsi pervertie et qu’il s’organise progressivement un déséquilibre de l’offre de soins sur l’agglomération nancéienne. Si le Président Rossinot acceptait de reconnaître ça dans son Contrat Local de Santé, le Député-Maire de Tomblaine le signerait des deux mains dès demain.
Considérant cette carence dans l’offre de soins dans la ville de Tomblaine, Hervé Féron a beaucoup travaillé depuis trois ans sur un projet d’implantation d’une Maison de Santé Pluriprofessionnelle. Il y a trois ans, il lui avait été annoncé officiellement que Tomblaine n’avait aucune chance de voir un jour une Maison de Santé Pluriprofessionnelle être validée par l’ARS. Or le 4 octobre dernier, le Comité Régional a « reconnu la haute qualité du dossier de Tomblaine », considérant que « celui-ci, inscrit dans un programme global de rénovation urbaine, apporte une réponse opportune et pertinente au soutien à l’accès à la santé de populations vulnérables résidant dans un quartier prioritaire de la politique de la ville. Le Comité émet un avis très favorable sur ce projet de santé et valide sans réserve le plan de financement prévisionnel présenté ». C’est une véritable reconnaissance qui est portée là par la Préfecture de Région, par le Ministère de la Santé, le Ministère de la Ville, le Conseil Général, le Conseil Régional.
Le Député-Maire de Tomblaine a demandé une participation à la Communauté Urbaine à l’investissement à hauteur de 98.000 euros, considérant qu’on était là dans deux domaines de compétences que la CUGN s’était attribués : la politique de la ville et la prévention-santé. Le Député-Maire de Tomblaine a écrit au Président de la CUGN qu’il ne lui demanderait en aucun cas une participation sur le fonctionnement et qu’aujourd’hui, une quinzaine de professionnels de santé et un centre de prélèvements de laboratoire d’analyses étaient intéressés pour se regrouper là. Le Président de la CUGN a répondu qu’il fallait en parler avec les autres Maires (majoritairement de droite donc discussion vouée à l’échec), puis il a envoyé une de ses collègues rencontrer Hervé Féron. Celle-ci lui a dit clairement que le projet était très intéressant mais qu’il dérangeait parce qu’il était présenté par Hervé Féron. Au bout de plusieurs mois de non-réponse, Hervé Féron a réécrit au Président de la CUGN.
Lors d’une réunion récente du Contrat Urbain de Cohésion Sociale à laquelle Hervé Féron était représenté, André Rossinot a dit publiquement qu’il n’y aurait pas un centime de la CUGN mis dans l’investissement de la Maison de Santé Pluriprofessionnelle. Selon lui, une Maison de Santé de ce type priverait les patients de leur liberté de choix pour s’adresser à leur médecin. Le bon docteur Rossinot, pour des raisons de basses stratégies politicardes, va à l’encontre de ce que tout le monde dit (Ministère de la Santé, ARS, professionnels de santé, …). Aujourd’hui, il n’y a pas assez de professionnels de santé sur ce territoire, voire il n’y en a pas. Une telle Maison de Santé Pluriprofessionnelle va permettre une extraordinaire complémentarité de l’offre pour le public. S’il se confirmait que la Communauté Urbaine du Grand Nancy passait à côté de cette proposition innovante (c’est la première fois en France en milieu urbain), ce serait dramatique. Le Député-Maire de Tomblaine a proposé de rencontrer d’autres maires de l’agglomération pour leur expliquer s’ils le souhaitent comment il a monté son dossier et les accompagner dans le cas où eux-mêmes souhaiteraient s’engager de façon volontariste à l’instar de ce que la Commune de Tomblaine a fait.
Une raison supplémentaire pour que la Communauté Urbaine du Grand Nancy change de majorité en 2014.