Agir pour vous et avec vous

Mois : juillet 2016 (Page 7 de 8)

Tomblaine, Ville Jeune, Sportive et Dynamique, on le savait, mais nous sommes fiers de pouvoir vous annoncer que quatre Tomblainois sont sélectionnés pour les Jeux Olympiques de RIO ! 

C’est énorme ! La Ville de Tomblaine n’avait plus connu des sélectionnés olympique depuis les jeux de 1936 avec Adrien Courtois en course à pied. Plus exactement ce sont trois Tomblainois, en aviron, Pierre Houin de l’Union Sportive de Toul, Valentin et Théophile Onfroy du CN de Verdun auquel s’ajoute Amandine Lhote, qui elle, est licenciée au Canoë Kayak Club de Nancy-Tomblaine.

À cette occasion, nous avons ouvert une page facebook afin de vous permettre de suivre leur périple, leur préparation et la compétition en vous donnant les dates et les heures. Vous pourrez leur envoyer des messages d’encouragement et suivre leur évolution via cette page.

Suivons-les, encourageons-les.
Nous les retrouverons au mois de septembre pour les féliciter !

Tomblaine, Ville Jeune, Sportive et Dynamique, on le savait, mais nous sommes fiers de pouvoir vous annoncer que quatre Tomblainois sont sélectionnés pour les Jeux Olympiques de RIO ! 

C’est énorme ! La Ville de Tomblaine n’avait plus connu des sélectionnés olympique depuis les jeux de 1936 avec Adrien Courtois en course à pied. Plus exactement ce sont trois Tomblainois, en aviron, Pierre Houin de l’Union Sportive de Toul, Valentin et Théophile Onfroy du CN de Verdun auquel s’ajoute Amandine Lhote, qui elle, est licenciée au Canoë Kayak Club de Nancy-Tomblaine.

À cette occasion, nous avons ouvert une page facebook afin de vous permettre de suivre leur périple, leur préparation et la compétition en vous donnant les dates et les heures. Vous pourrez leur envoyer des messages d’encouragement et suivre leur évolution via cette page.

Suivons-les, encourageons-les.
Nous les retrouverons au mois de septembre pour les féliciter !

Valérie Debord vous ment tout le temps, malheureusement elle a quasiment carte blanche dans la presse locale qui lui permet de dire ce qu’elle veut quand elle veut, de développer ses messages comme si c’était une information avérée. Elle ne dit rien sur le fait que les services de la Communauté Urbaine du Grand Nancy ont guidé eux mêmes les premiers nomades sur la Plaine Flageul à Tomblaine. Elle ne dit rien sur le fait qu’elle a promis dans mon bureau, en présence d’une dizaine de témoins, en septembre 2015, de créer les conditions d’accueil sur la CUGN pour les gens du voyage en 2016. Elle veut nous faire croire qu’elle a joué son rôle en créant 80 places de stationnement alors que ce sont plus de 350 caravanes qui se sont installées à Tomblaine. Elle ne dit rien sur le fait qu’elle m’a empêché de créer 36 logements sociaux Avenue de La Paix à Tomblaine.

Elle essaye de se justifier mais le mensonge reste entier. Je vous avais dit que le Grand Nancy allait engager un référé, que ça allait prendre plusieurs jours et qu’ensuite, si le juge décide l’expulsion, il faudrait attendre plusieurs jours avant la mise en oeuvre et que, de toute manière, la police n’en ferait rien.

C’est exactement ce qui est en train de se passer alors que c’est la Communauté Urbaine qui, en juin 2015, a conduit les premiers nomades sur la plaine Flageul. Les habitudes ont été prises tout l’été dernier avec plus de 2000 caravanes qui se sont succédées.

Dimanche dernier, la police a ouvert la route aux nomades et ne s’est pas opposée à ce qu’ils rentrent sur la plaine Flageul. Le maire de Tomblaine n’a eu aucune explication du directeur départemental de la police mais, toute la journée de mardi et ce mercredi même, des dizaines de nouvelles caravanes ont abondé vers la plaine Flageul, toujours dirigées par la police et, ni le Grand Nancy, ni la police ne s’opposent à quoi que ce soit.

Comment le Grand Nancy peut-il être crédible vis-à-vis des Tomblainois ?

Valérie Debord vous ment tout le temps, malheureusement elle a quasiment carte blanche dans la presse locale qui lui permet de dire ce qu’elle veut quand elle veut, de développer ses messages comme si c’était une information avérée. Elle ne dit rien sur le fait que les services de la Communauté Urbaine du Grand Nancy ont guidé eux mêmes les premiers nomades sur la Plaine Flageul à Tomblaine. Elle ne dit rien sur le fait qu’elle a promis dans mon bureau, en présence d’une dizaine de témoins, en septembre 2015, de créer les conditions d’accueil sur la CUGN pour les gens du voyage en 2016. Elle veut nous faire croire qu’elle a joué son rôle en créant 80 places de stationnement alors que ce sont plus de 350 caravanes qui se sont installées à Tomblaine. Elle ne dit rien sur le fait qu’elle m’a empêché de créer 36 logements sociaux Avenue de La Paix à Tomblaine.

Elle essaye de se justifier mais le mensonge reste entier. Je vous avais dit que le Grand Nancy allait engager un référé, que ça allait prendre plusieurs jours et qu’ensuite, si le juge décide l’expulsion, il faudrait attendre plusieurs jours avant la mise en oeuvre et que, de toute manière, la police n’en ferait rien.

C’est exactement ce qui est en train de se passer alors que c’est la Communauté Urbaine qui, en juin 2015, a conduit les premiers nomades sur la plaine Flageul. Les habitudes ont été prises tout l’été dernier avec plus de 2000 caravanes qui se sont succédées.

Dimanche dernier, la police a ouvert la route aux nomades et ne s’est pas opposée à ce qu’ils rentrent sur la plaine Flageul. Le maire de Tomblaine n’a eu aucune explication du directeur départemental de la police mais, toute la journée de mardi et ce mercredi même, des dizaines de nouvelles caravanes ont abondé vers la plaine Flageul, toujours dirigées par la police et, ni le Grand Nancy, ni la police ne s’opposent à quoi que ce soit.

Comment le Grand Nancy peut-il être crédible vis-à-vis des Tomblainois ?

Hervé Féron est intervenu en Commission des Affaires culturelles lors de l’examen en nouvelle lecture de la proposition de loi visant à renforcer la liberté, l’indépendance et le pluralisme des médias :

***

« La Commission Mixte Paritaire du 14 juin 2016 de cette Proposition de loi a révélé des divergences profondes entre les députés et les sénateurs. Dans l’article 1er, nos collègues de la chambre haute ont notamment supprimé le droit d’opposition des journalistes à des actes qui se révèleraient contraires à leur « intime conviction professionnelle ». Les sénateurs ont invoqué l’insécurité juridique pour retirer ce principe, lui reprochant d’être trop flou en cas de contentieux. Toutefois, ils n’ont pas cherché à le préciser en le remplaçant par des termes plus précis. En retirant donc ce concept de l’article, ils n’ont fait que le vider de sa substance. Que va donc devenir ce concept d’ « intime conviction professionnelle » octroyant aux journalistes un droit d’opposition ?

Les sénateurs ont modifié cette proposition de loi en supprimant et modifiant des contenus de l’article 1er ter afin de limiter la protection des sources des journalistes. Or, il s’avère que s’opposer à la protection des sources sous prétexte du secret de l’instruction est inutile, puisque l’arrêt Bedat contre Suisse rendu le 29 mars 2016 par la Cour Européenne des Droits de l’Homme énonce que la protection des sources doit céder le pas devant la protection du secret de l’instruction. Nous attendons donc le rétablissement par notre Commission du fait justificatif d’éventuels délits d’atteinte à l’intimité de la vie privée, de recel du secret professionnel et de recel du secret de l’enquête et de l’instruction, lorsque ces délits ont permis d’obtenir des informations dont la diffusion au public constitue un but légitime dans une société démocratique. L’actualité très récente nous a en effet montré qu’il y avait urgence à protéger les lanceurs d’alerte.

Enfin, les sénateurs ont encore montré leur réticence à renforcer la liberté, l’indépendance et le pluralisme des médias en vidant complètement de leur rôle les comités d’indépendance. Les garanties d’indépendance de leurs membres, qui seraient nommés sous le contrôle du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel dans un délai de 2 mois après leur nomination par la direction, ont été supprimées. L’intérêt de ces conseils reposait sur leur accessibilité : la possibilité de saisine par tout un chacun a pourtant bien été retirée de la proposition de loi. Enfin, l’élargissement des missions des comités d’indépendance au-delà de leurs missions les plus importantes ne vise qu’à diluer leur action afin de les alourdir et de les rendre inutiles. Face aux modifications des sénateurs, j’approuve la démarche de notre Rapporteur qui souhaite rétablir la possibilité de saisine pour tous. Il nous faut redonner tout le sens qui était initialement dévolu à ces comités d’indépendance. »

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