Agir pour vous et avec vous

Mois : septembre 2016 (Page 1 de 9)

Hervé Féron était, ce jeudi soir, invité à la clôture des festivités liées aux cinquante ans de l’IUT Nancy-Brabois. Il était présent, d’abord pour le vernissage de l’exposition de clôture, superbe exposition d’artistes lorrains qui ont travaillé des matériaux diversifiés et qui ont permis à certains étudiants de s’essayer à leurs pratiques. Comme pour l’ensemble des manifestations de ce cinquantenaire, l’exposition a été un vif succès dû à l’énorme travail de toute l’équipe des enseignants et des personnels de l’IUT.

Puis, Mme Annie Dary-Mourot, directrice de l’IUT, a dévoilé deux plaques pour dénommer officiellement deux amphithéâtres. Le premier est dénommé « Amphithéâtre Ernest Solvay » et cela a du sens pour l’IUT puisque Ernest Solvay était chimiste et industriel et, bien évidemment, il a été le fondateur de la société Solvay. Mais surtout, Ernest Solvay, en 1908, a mis en place la journée de 8 heures dans son entreprise. Il était précurseur. En 1913, il a mis en place les congés payés, bien avant le Front Populaire. Il était très engagé pour les droits des travailleurs. Ce nom a été choisi pour les partenariats multiples qui lient la société Solvay et l’IUT.

Le deuxième amphithéâtre a été dénommé « Amphithéâtre Julie-Victoire Daubié », journaliste et première femme diplômée du baccalauréat et première licenciée en lettre.

 

La soirée s’est terminée par un magnifique spectacle sous la direction de Bruno Lovadina, qu’Hervé Féron avait rencontré à Padoue il y a trois ans, lors des journées mondiales de la Commedia Dell’Arte. La mise en scène de ce spectacle est très originale puisque il se joue autour et dans une magnifique montgolfière multicolore gonflée au sol. Ce spectacle, « À la recherche de Léonardo », nous raconte de façon très originale, la vie et l’œuvre de Léonardo Da Vinci, mais surtout, Bruno Lovadina avait fait travailler des élèves de l’IUT, en français et en italien, pour présenter cette création. Que de la qualité ! Bravo !

Hervé Féron était, ce jeudi soir, invité à la clôture des festivités liées aux cinquante ans de l’IUT Nancy-Brabois. Il était présent, d’abord pour le vernissage de l’exposition de clôture, superbe exposition d’artistes lorrains qui ont travaillé des matériaux diversifiés et qui ont permis à certains étudiants de s’essayer à leurs pratiques. Comme pour l’ensemble des manifestations de ce cinquantenaire, l’exposition a été un vif succès dû à l’énorme travail de toute l’équipe des enseignants et des personnels de l’IUT.

Puis, Mme Annie Dary-Mourot, directrice de l’IUT, a dévoilé deux plaques pour dénommer officiellement deux amphithéâtres. Le premier est dénommé « Amphithéâtre Ernest Solvay » et cela a du sens pour l’IUT puisque Ernest Solvay était chimiste et industriel et, bien évidemment, il a été le fondateur de la société Solvay. Mais surtout, Ernest Solvay, en 1908, a mis en place la journée de 8 heures dans son entreprise. Il était précurseur. En 1913, il a mis en place les congés payés, bien avant le Front Populaire. Il était très engagé pour les droits des travailleurs. Ce nom a été choisi pour les partenariats multiples qui lient la société Solvay et l’IUT.

Le deuxième amphithéâtre a été dénommé « Amphithéâtre Julie-Victoire Daubié », journaliste et première femme diplômée du baccalauréat et première licenciée en lettre.

 

La soirée s’est terminée par un magnifique spectacle sous la direction de Bruno Lovadina, qu’Hervé Féron avait rencontré à Padoue il y a trois ans, lors des journées mondiales de la Commedia Dell’Arte. La mise en scène de ce spectacle est très originale puisque il se joue autour et dans une magnifique montgolfière multicolore gonflée au sol. Ce spectacle, « À la recherche de Léonardo », nous raconte de façon très originale, la vie et l’œuvre de Léonardo Da Vinci, mais surtout, Bruno Lovadina avait fait travailler des élèves de l’IUT, en français et en italien, pour présenter cette création. Que de la qualité ! Bravo !

Comme tous les ans, la presse locale s’empare des impôts fonciers, car on sait très bien que le sport national préféré des journalistes consiste à pointer du doigt les élus. Il  faut reconnaitre que le journaliste tient compte des remarques que j’avais faites sur mon blog l’an dernier avec honnêteté. Mais, si le journaliste était venu à ma rentrée politique, il aurait été un peu informé sur la question. Les taux d’imposition à Tomblaine, pour le foncier bâti, sont élevés parce que les bases à Tomblaine sont plus basses qu’ailleurs. Il est donc toujours faux de comparer des taux et à force d’insister cela devient quasi-mensonger. Ce que les gens payent, c’est le produit des bases par les taux. Les bases de Tomblaine étant très basses, le produit des bases par les taux, pour un habitant de Tomblaine, est dans la moyenne de ce qui se pratique dans les autres communes de l’agglomération de la même strate en nombre d’habitants, c’est-à-dire entre 5 et 10 000, et bien sûr, à logement comparable. Toujours sur Tomblaine, c’est bien de rappeler que sur 3 ans, le taux d‘imposition n’a pas augmenté sauf que ce n’est pas depuis 3 ans, mais depuis 12 ans !

Après, il est évident que l’on paye trop d’impôts dans ce pays. Mais comment vouloir toujours plus de services publics, vouloir en même temps payer moins d’impôts et accepter les baisses de dotations de l’État. Les dotations de fonctionnement constituent une grande partie des recettes des communes qui leur permet de donner du service public. De 2008 à 2017, soit autant sous Sarkozy que sous Hollande, les dotations de fonctionnement de l’État pour la ville de Tomblaine auront baissé de 52% !!!

Alors arrêtons de montrer du doigt les Maires, qui travaillent beaucoup. Ceux qui ont, dans les trois dernières années, augmenté leurs impôts, ne pouvaient pas faire autrement. Désignons l’État comme seul responsable de ces difficultés que connaissent toutes les communes de France.

De plus, tout cela ne suffit pas aux services de l’État. Lorsque la Chambre des Comptes fait un rapport, lorsque le comptable du trésor analyse les situations budgétaires, ils osent écrire qu’ils préconisent à la commune d’augmenter les impôts locaux (par exemple, à Tomblaine, sous prétexte que les taux d’imposition seraient beaucoup plus bas que dans les villes de la même strate en France), c’est vraiment la double peine pour les élus. Comment ces fonctionnaires d’État peuvent-ils se permettre de donner des avis d’opportunité aux élus de la République ? D’autant plus qu’ils communiquent ces informations aux banques et alors là, c’est la triple peine pour ces élus, et par conséquent, pour les citoyens.

Comme tous les ans, la presse locale s’empare des impôts fonciers, car on sait très bien que le sport national préféré des journalistes consiste à pointer du doigt les élus. Il  faut reconnaitre que le journaliste tient compte des remarques que j’avais faites sur mon blog l’an dernier avec honnêteté. Mais, si le journaliste était venu à ma rentrée politique, il aurait été un peu informé sur la question. Les taux d’imposition à Tomblaine, pour le foncier bâti, sont élevés parce que les bases à Tomblaine sont plus basses qu’ailleurs. Il est donc toujours faux de comparer des taux et à force d’insister cela devient quasi-mensonger. Ce que les gens payent, c’est le produit des bases par les taux. Les bases de Tomblaine étant très basses, le produit des bases par les taux, pour un habitant de Tomblaine, est dans la moyenne de ce qui se pratique dans les autres communes de l’agglomération de la même strate en nombre d’habitants, c’est-à-dire entre 5 et 10 000, et bien sûr, à logement comparable. Toujours sur Tomblaine, c’est bien de rappeler que sur 3 ans, le taux d‘imposition n’a pas augmenté sauf que ce n’est pas depuis 3 ans, mais depuis 12 ans !

Après, il est évident que l’on paye trop d’impôts dans ce pays. Mais comment vouloir toujours plus de services publics, vouloir en même temps payer moins d’impôts et accepter les baisses de dotations de l’État. Les dotations de fonctionnement constituent une grande partie des recettes des communes qui leur permet de donner du service public. De 2008 à 2017, soit autant sous Sarkozy que sous Hollande, les dotations de fonctionnement de l’État pour la ville de Tomblaine auront baissé de 52% !!!

Alors arrêtons de montrer du doigt les Maires, qui travaillent beaucoup. Ceux qui ont, dans les trois dernières années, augmenté leurs impôts, ne pouvaient pas faire autrement. Désignons l’État comme seul responsable de ces difficultés que connaissent toutes les communes de France.

De plus, tout cela ne suffit pas aux services de l’État. Lorsque la Chambre des Comptes fait un rapport, lorsque le comptable du trésor analyse les situations budgétaires, ils osent écrire qu’ils préconisent à la commune d’augmenter les impôts locaux (par exemple, à Tomblaine, sous prétexte que les taux d’imposition seraient beaucoup plus bas que dans les villes de la même strate en France), c’est vraiment la double peine pour les élus. Comment ces fonctionnaires d’État peuvent-ils se permettre de donner des avis d’opportunité aux élus de la République ? D’autant plus qu’ils communiquent ces informations aux banques et alors là, c’est la triple peine pour ces élus, et par conséquent, pour les citoyens.

Elle a grandi à Tomblaine. Christiane, sa mère, habite encore à Tomblaine. Anne-Sophie était d’ailleurs présente lors de la projection, à l’Espace Jean Jaurès, du film de Stéphane Ferrara, avec Dominique Nato et René Cordier, son entraîneur. On a eu alors l’occasion d’évoquer son choix de reprendre les gants. Elle s’entraîne intensément, maintenant depuis plusieurs semaines pour le match de samedi, à Oslo, contre Cecilia Brækhus, actuelle championne du monde WBA, WBO et WBC des welters. Ce retour sur le ring sera diffusé le samedi 1er octobre à 22h30, sur la chaîne Eurosport 2.

 

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