Agir pour vous et avec vous

Mois : mars 2017 (Page 10 de 12)

Ce lundi 6 mars, Hervé Féron a rencontré le Collectif Handicap 54 qui regroupe 31 associations œuvrant en faveur des personnes en situation de handicap. Étaient présents, le GLIP (le Groupe de Liaison et d’Information Post-Polio), Trisomie 21 Meurthe-et-Moselle, l’APF (Association des Paralysés de France), l’UNAFAM 54 (Union de Familles et Amis de Personnes Malades et/ou Handicapées Psychiques), ainsi que Madame Huot-Marchand, représentant Dominique Potier, Député de Meurthe-et-Moselle.

Ce fut l’occasion de rappeler le bilan du Gouvernement notamment la mise en place de la circulaire du 4 septembre 2012 qui impose à chaque Projet de Loi de contenir une étude d’impact et un « volet » concernant sa portée sur les personnes en situation de handicap, la mise en place d’une École de plus en plus inclusive (Loi du 8 juillet 2013), ou encore la Loi du 28 décembre 2015 qui a instauré la notion de « droit au répit » pour les personnes aidantes. Hervé Féron a pu aussi rappeler qu’il a été très présent sur ces thématiques en posant de nombreuses Questions Écrites aux Ministres (concernant les questions de l’École inclusive et la participation des élèves en situation de handicap aux activités périscolaires, l’insertion des personnes en situation de handicap, la mise en accessibilité des bâtiments, sur la composante « aide humaine » de la Prestation de Compensation du Handicap, …) et en ayant de nombreuses correspondances avec les Ministres afin de soutenir des projets locaux.

Enfin, le Collectif s’est surtout exprimé sur la compensation PCH (Prestation de Compensation du Handicap) et sur son harmonisation nationale, par le bas, suite aux directives de la CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) qui a mené à une diminution des aides apportées impactant les projets et la qualité de vie des personnes en situation de handicap. Hervé Féron a rappelé l’importance de reconnaître à tous le Droit à vivre dans la dignité. Il s’est engagé, d’une part, à transmettre ces revendications auprès de Benoît Hamon et, d’autre part, à continuer à porter ces valeurs et proposer des avancées dans son mandat de Député pour restaurer un véritable lien social à tous les niveaux et prendre en compte le projet de vie, l’évolution et la dignité de la personne en situation de handicap.

Ce mercredi 8 mars 2017 à 20h30, à l’occasion de la journée mondiale des Droits des Femmes, la réalisatrice yéménite, Khadija Al Salami, sera à l’Espace Jean Jaurès afin de présenter son film « Moi, Nojoom, 10 ans, divorcée ». Elle répond ainsi à l’invitation d’Hervé Féron, dans le cadre d’Aux Actes Citoyens. Le prix d’entrée est de 5 € et le public aura l’occasion d’échanger avec la réalisatrice sur le film et aussi sur la situation actuelle au Yémen, où il n’y a pas d’âge légal pour se marier. Alors que le monde semble ignorer que le Yémen subit une guerre civile destructrice.  

Ce long métrage engagé raconte l’histoire vraie d’une petite fille de 10 ans qui sera mariée de force et mis au ban de la société car se refusant à son époux. Violée, battue, elle trouvera la force de s’enfuir pour porter l’affaire devant la justice. Ce film a été tourné au Yémen, dans des conditions extrêmement difficiles et a été reconnu et primé dans de nombreux festivals, dont celui de Doha. Bien qu’interdit par la censure au Yémen, de nombreux yéménites ont pu se le procurer via le téléchargement illégal.

Hervé Féron a déjà travaillé à deux reprises avec Khadija Al Salami, dans un premier temps, à l’occasion d’un colloque qu’il a organisé en juin 2016, à l’Assemblée nationale, pour faire la lumière sur le risque qui pèse sur le patrimoine culturel yéménite, dans le cadre de cette guerre civile. Ce colloque réunissait les meilleurs spécialistes du monde du patrimoine yéménite. Khadija Al Salami avait alors présenté son film à l’assistance et s’était engagé un débat très enrichissant.

Ensuite, Najat Vallaud-Belkacem, très sensible à la démarche de cette courageuse réalisatrice, sur proposition d’Hervé Féron, l’a invitée à présenter son film le 25 novembre dernier (journée mondiale de l’ONU contre les violences faites aux Femmes), au Ministère de l’Éducation Nationale, dans le cadre des Entretiens de Jean Zay. Hervé Féron avait présenté la soirée avec Najat Vallaud-Belkacem.

Alors que « Moi, Nojoom, 10 ans, divorcée » sera diffusé ce mercredi à Tomblaine, il ne faut pas ignorer la situation désastreuse et meurtrière dans laquelle est enfermée le pays depuis mars 2015. Malheureusement, elle ne bénéficie pas du même traitement médiatique que les guerres civiles irakienne et syrienne alors qu’en novembre 2016, ce conflit avait causé la mort de plus de 7 000 personnes (dont un tiers d’enfants, les écoles étant particulièrement visées) et avait fait près de 37 000 blessés, provoqué le déplacement de 3 000 000 de yéménites et contraint 200 000 personnes à l’exil. Enfin, depuis vendredi, les États-Unis ont intensifié leurs bombardements contre AQPA (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) faisant peser un danger toujours plus grand sur les civils et sur les sites d’exception du patrimoine yéménite.

Le lendemain, jeudi 9 mars, le film sera diffusé, toujours en présence de Khadija Al Salami, à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine devant plus de 200 collégiens et lycéens afin de les sensibiliser aux problématiques du mariage forcé et des inégalités entre les femmes et les hommes.

Ce mercredi 8 mars 2017 à 20h30, à l’occasion de la journée mondiale des Droits des Femmes, la réalisatrice yéménite, Khadija Al Salami, sera à l’Espace Jean Jaurès afin de présenter son film « Moi, Nojoom, 10 ans, divorcée ». Elle répond ainsi à l’invitation d’Hervé Féron, dans le cadre d’Aux Actes Citoyens. Le prix d’entrée est de 5 € et le public aura l’occasion d’échanger avec la réalisatrice sur le film et aussi sur la situation actuelle au Yémen, où il n’y a pas d’âge légal pour se marier. Alors que le monde semble ignorer que le Yémen subit une guerre civile destructrice.  

Ce long métrage engagé raconte l’histoire vraie d’une petite fille de 10 ans qui sera mariée de force et mis au ban de la société car se refusant à son époux. Violée, battue, elle trouvera la force de s’enfuir pour porter l’affaire devant la justice. Ce film a été tourné au Yémen, dans des conditions extrêmement difficiles et a été reconnu et primé dans de nombreux festivals, dont celui de Doha. Bien qu’interdit par la censure au Yémen, de nombreux yéménites ont pu se le procurer via le téléchargement illégal.

Hervé Féron a déjà travaillé à deux reprises avec Khadija Al Salami, dans un premier temps, à l’occasion d’un colloque qu’il a organisé en juin 2016, à l’Assemblée nationale, pour faire la lumière sur le risque qui pèse sur le patrimoine culturel yéménite, dans le cadre de cette guerre civile. Ce colloque réunissait les meilleurs spécialistes du monde du patrimoine yéménite. Khadija Al Salami avait alors présenté son film à l’assistance et s’était engagé un débat très enrichissant.

Ensuite, Najat Vallaud-Belkacem, très sensible à la démarche de cette courageuse réalisatrice, sur proposition d’Hervé Féron, l’a invitée à présenter son film le 25 novembre dernier (journée mondiale de l’ONU contre les violences faites aux Femmes), au Ministère de l’Éducation Nationale, dans le cadre des Entretiens de Jean Zay. Hervé Féron avait présenté la soirée avec Najat Vallaud-Belkacem.

Alors que « Moi, Nojoom, 10 ans, divorcée » sera diffusé ce mercredi à Tomblaine, il ne faut pas ignorer la situation désastreuse et meurtrière dans laquelle est enfermée le pays depuis mars 2015. Malheureusement, elle ne bénéficie pas du même traitement médiatique que les guerres civiles irakienne et syrienne alors qu’en novembre 2016, ce conflit avait causé la mort de plus de 7 000 personnes (dont un tiers d’enfants, les écoles étant particulièrement visées) et avait fait près de 37 000 blessés, provoqué le déplacement de 3 000 000 de yéménites et contraint 200 000 personnes à l’exil. Enfin, depuis vendredi, les États-Unis ont intensifié leurs bombardements contre AQPA (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) faisant peser un danger toujours plus grand sur les civils et sur les sites d’exception du patrimoine yéménite.

Le lendemain, jeudi 9 mars, le film sera diffusé, toujours en présence de Khadija Al Salami, à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine devant plus de 200 collégiens et lycéens afin de les sensibiliser aux problématiques du mariage forcé et des inégalités entre les femmes et les hommes.

Vendredi, Hervé Féron participait au lancement de la 9ième édition du festival de théâtre de Seichamps. Seichamps n’est pas situé sur sa circonscription, mais Hervé Féron, créateur des Rencontres Théâtrales de Tomblaine « Aux Actes Citoyens » et Rapporteur du Budget de la Culture à l’Assemblée Nationale était présent en voisin et ami pour soutenir cette belle manifestation organisée avec enthousiasme par Frédéric Egloffe et l’équipe du Comité des Fêtes de Seichamps.

Ce festival est en évolution permanente, et bénéficie du soutien de la Municipalité qu’a rappelé le Maire Henri Chanut en présence de la députée de Seichamps Chaynesse Khirouni.
Samedi matin, Hervé Féron arpentait sa circonscription comme il le fait chaque semaine. Il participait à l’assemblée générale de l’association du Beau à l’Atelier de Jarville. Cette association qui organise des centres de vacances depuis 60 ans au Tholy dans les Vosges ! Chaque année, elle permet l’accès aux vacances pour des centaines d’enfants, elle participe aussi à la formation de dizaines d’animateurs (formation BAFA), cette association est admirable de par l’engagement de ses membres, militants de l’Education Populaire pour cette cause noble , dans un contexte aujourd’hui de plus en plus compliqué…
Le député Hervé Féron a pu obtenir 5000€ sur la Réserve Parlementaire cette année pour soutenir cette association.

Puis, le député était invité aux portes ouvertes de l’IUT Nancy-Brabois, toujours sur sa circonscription, sur le Campus de Villers-les-Nancy.
Accueilli avec des partenaires et chefs d’entreprise par le directeur-adjoint de l’IUT Brice Vincent, Hervé Féron s’est intéressé en particulier aux différents stands d’information dans le hall d’accueil.

De nombreux jeunes en recherche d’orientation avaient de quoi s’informer.

 

Et puis plusieurs salles de travaux ont été visitées.

Ici, une expérimentation à partir d’un planétarium reconstitué pour une démonstration de Lifi (quand la lumière nous connecte…)

 

Les résultats de l’ASNL comme du SLUC sont un peu déprimants en ce moment (on se demande si il fallait confier une délégation aussi sérieuse que le sport à la Métropole à Pensalfini ?)…
Aussi dimanche, Hervé Féron, pour se remonter le moral, est allé voir jouer les filles du basket de l’ASPTT-Nancy-Tomblaine… Elles ont encore gagné !

Contre Orly (équipe 5ième de Nationale 3) : 74-41 !

Cette équipe est enthousiasmante, toute en combativité et son niveau de jeu progresse constamment.


L’équipe de basket féminine de l’ASPTT Nancy-Tomblaine actuellement deuxième de Nationale 3 est sponsorisée par l’entreprise Schweitzer de Ludres.

Vendredi, Hervé Féron participait au lancement de la 9ième édition du festival de théâtre de Seichamps. Seichamps n’est pas situé sur sa circonscription, mais Hervé Féron, créateur des Rencontres Théâtrales de Tomblaine « Aux Actes Citoyens » et Rapporteur du Budget de la Culture à l’Assemblée Nationale était présent en voisin et ami pour soutenir cette belle manifestation organisée avec enthousiasme par Frédéric Egloffe et l’équipe du Comité des Fêtes de Seichamps.

Ce festival est en évolution permanente, et bénéficie du soutien de la Municipalité qu’a rappelé le Maire Henri Chanut en présence de la députée de Seichamps Chaynesse Khirouni.
Samedi matin, Hervé Féron arpentait sa circonscription comme il le fait chaque semaine. Il participait à l’assemblée générale de l’association du Beau à l’Atelier de Jarville. Cette association qui organise des centres de vacances depuis 60 ans au Tholy dans les Vosges ! Chaque année, elle permet l’accès aux vacances pour des centaines d’enfants, elle participe aussi à la formation de dizaines d’animateurs (formation BAFA), cette association est admirable de par l’engagement de ses membres, militants de l’Education Populaire pour cette cause noble , dans un contexte aujourd’hui de plus en plus compliqué…
Le député Hervé Féron a pu obtenir 5000€ sur la Réserve Parlementaire cette année pour soutenir cette association.

Puis, le député était invité aux portes ouvertes de l’IUT Nancy-Brabois, toujours sur sa circonscription, sur le Campus de Villers-les-Nancy.
Accueilli avec des partenaires et chefs d’entreprise par le directeur-adjoint de l’IUT Brice Vincent, Hervé Féron s’est intéressé en particulier aux différents stands d’information dans le hall d’accueil.

De nombreux jeunes en recherche d’orientation avaient de quoi s’informer.

 

Et puis plusieurs salles de travaux ont été visitées.

Ici, une expérimentation à partir d’un planétarium reconstitué pour une démonstration de Lifi (quand la lumière nous connecte…)

 

Les résultats de l’ASNL comme du SLUC sont un peu déprimants en ce moment (on se demande si il fallait confier une délégation aussi sérieuse que le sport à la Métropole à Pensalfini ?)…
Aussi dimanche, Hervé Féron, pour se remonter le moral, est allé voir jouer les filles du basket de l’ASPTT-Nancy-Tomblaine… Elles ont encore gagné !

Contre Orly (équipe 5ième de Nationale 3) : 74-41 !

Cette équipe est enthousiasmante, toute en combativité et son niveau de jeu progresse constamment.


L’équipe de basket féminine de l’ASPTT Nancy-Tomblaine actuellement deuxième de Nationale 3 est sponsorisée par l’entreprise Schweitzer de Ludres.

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