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Catégorie : Grand Nancy Métropole (Page 53 de 143)

Hier, le Conseil de Métropole a été encore très long, parce que certains « orateurs » ne maitrisent toujours pas l’art de la synthèse et se contentent de lire bêtement, dans sa totalité, la délibération à présenter. Et comme cette délibération a été adressée à tous les Conseillers qui ont pu en prendre connaissance, cela devient alors fastidieux, voire soporifique… Une amélioration : la limitation à cinq minutes pour les intervenants qui veulent réagir sur cette délibération. Hélas ! Il existe une autre sorte d’homo politicus, si proche de l’homme de Neandertal, qui aime prendre la parole pour ne rien dire, mais pour occuper le terrain, du genre qui n’a pas compris qu’on n’est pas au Sénat, que ce n’est pas l’endroit pour parler dans le vide à des collègues qui dorment, on est là pour travailler !!! Le problème ne serait même pas que ce genre d’élu prenne la parole plusieurs fois cinq minutes, le problème, c‘est qu’ils sont inintéressants. Désolé, mais je ne peux m’empêcher de dire ce que je pense…
Et ce qui m’a le plus choqué dans ce CMGNV (Conseil de Métropole du Grand Nancy Visioconférencé), c’est lorsqu’il nous a été proposé, en toute fin de séance, de voter un voeu présenté par le Groupe SOCLE. Un voeu me semble-t-il essentiel, puisqu’il s’agissait de souhaiter collectivement que le Gouvernement ouvre les droits au RSA pour les 18-25 ans…
Aujourd’hui, c’est toute une génération de jeunes qui est sacrifiée et, chacun le sait, la crise sanitaire a considérablement aggravé leur situation. Ils ont besoin en urgence que la société prenne ses responsabilités et leur donne un minimum à vivre pour qu’ils puissent se loger, se nourrir, se soigner, étudier ou se former dans de bonnes conditions, se divertir, vivre dignement…
Un voeu, un simple voeu… Il s’agissait juste d’être solidaire, humain et responsable. Et bien le même homo politicus « au nom de son groupe » a repris une nième fois la parole pour expliquer qu’ils ne voteraient pas ce voeu, en tentant piteusement d’en justifier la raison avec des arguments fallacieux.
Posture politique ? Dogme stupide ? Ou tentative, une fois de plus d’exister ?
La droite sera toujours la droite. Sur des sujets aussi dramatiques, on n’a pas le droit aux atermoiements ! Bien sûr que le RSA est insuffisant et pas toujours pertinent ! Mais le minimum à vivre est essentiel, pour reprendre la sémentique macronienne.
Sur cette capture d’écran, vous avez les noms de celles et ceux qui ont voté contre.
Proposition, si vous avez un jeune dans votre entourage, faites lui lire la liste des noms de ceux qui ont voté contre, pour que le jour où ils devront voter eux-même, ils soient éclairés…
 
Hier, le Conseil de Métropole a été encore très long, parce que certains « orateurs » ne maitrisent toujours pas l’art de la synthèse et se contentent de lire bêtement, dans sa totalité, la délibération à présenter. Et comme cette délibération a été adressée à tous les Conseillers qui ont pu en prendre connaissance, cela devient alors fastidieux, voire soporifique… Une amélioration : la limitation à cinq minutes pour les intervenants qui veulent réagir sur cette délibération. Hélas ! Il existe une autre sorte d’homo politicus, si proche de l’homme de Neandertal, qui aime prendre la parole pour ne rien dire, mais pour occuper le terrain, du genre qui n’a pas compris qu’on n’est pas au Sénat, que ce n’est pas l’endroit pour parler dans le vide à des collègues qui dorment, on est là pour travailler !!! Le problème ne serait même pas que ce genre d’élu prenne la parole plusieurs fois cinq minutes, le problème, c‘est qu’ils sont inintéressants. Désolé, mais je ne peux m’empêcher de dire ce que je pense…
Et ce qui m’a le plus choqué dans ce CMGNV (Conseil de Métropole du Grand Nancy Visioconférencé), c’est lorsqu’il nous a été proposé, en toute fin de séance, de voter un voeu présenté par le Groupe SOCLE. Un voeu me semble-t-il essentiel, puisqu’il s’agissait de souhaiter collectivement que le Gouvernement ouvre les droits au RSA pour les 18-25 ans…
Aujourd’hui, c’est toute une génération de jeunes qui est sacrifiée et, chacun le sait, la crise sanitaire a considérablement aggravé leur situation. Ils ont besoin en urgence que la société prenne ses responsabilités et leur donne un minimum à vivre pour qu’ils puissent se loger, se nourrir, se soigner, étudier ou se former dans de bonnes conditions, se divertir, vivre dignement…
Un voeu, un simple voeu… Il s’agissait juste d’être solidaire, humain et responsable. Et bien le même homo politicus « au nom de son groupe » a repris une nième fois la parole pour expliquer qu’ils ne voteraient pas ce voeu, en tentant piteusement d’en justifier la raison avec des arguments fallacieux.
Posture politique ? Dogme stupide ? Ou tentative, une fois de plus d’exister ?
La droite sera toujours la droite. Sur des sujets aussi dramatiques, on n’a pas le droit aux atermoiements ! Bien sûr que le RSA est insuffisant et pas toujours pertinent ! Mais le minimum à vivre est essentiel, pour reprendre la sémentique macronienne.
Sur cette capture d’écran, vous avez les noms de celles et ceux qui ont voté contre.
Proposition, si vous avez un jeune dans votre entourage, faites lui lire la liste des noms de ceux qui ont voté contre, pour que le jour où ils devront voter eux-même, ils soient éclairés…
 
Face à une situation sanitaire qui perdure, la Métropole du Grand Nancy met en place différentes aides pour soutenir les ménages les plus durement touchés par les conséquences des confinements successifs.
Il avait déjà été annoncé que pour les TPE/PME et associations de vingt salariés, un report, une remise voire une exonération des factures d’eau pouvait être accordés, mais la Métropole vient compléter son arsenal de solidarité en débloquant un fonds d’urgence temporaire s’élevant à 115 000 euros qui pourra être mobilisé jusque fin 2021. Ce fonds est destiné aux personnes qui ne sont d’ordinaire pas éligibles au dispositif Fonds Solidarité Logement mais qui sont aujourd’hui et à cause de cette crise, concernés par des soucis d’impayés de loyers ou des factures d’énergie non réglées. Cette aide sera attribuée à partir de l’analyse de la situation économique et sociale des ménages qui la solliciteront et qui devront justifier d’une baisse de ressources d’au moins 20% après le 16 mars 2020.
Si vous avez perdu votre emploi, que vous souffrez d’une diminution de rémunération ou encore d’une absence d’activité liée au confinement, n’hésitez surtout pas à contacter le service Solidarité Logement de la Métropole au 03 54 40 67 77 qui vous apportera toute l’aide et les informations nécessaires.
Plus d’informations : grandnancy.eu
 
Face à une situation sanitaire qui perdure, la Métropole du Grand Nancy met en place différentes aides pour soutenir les ménages les plus durement touchés par les conséquences des confinements successifs.
Il avait déjà été annoncé que pour les TPE/PME et associations de vingt salariés, un report, une remise voire une exonération des factures d’eau pouvait être accordés, mais la Métropole vient compléter son arsenal de solidarité en débloquant un fonds d’urgence temporaire s’élevant à 115 000 euros qui pourra être mobilisé jusque fin 2021. Ce fonds est destiné aux personnes qui ne sont d’ordinaire pas éligibles au dispositif Fonds Solidarité Logement mais qui sont aujourd’hui et à cause de cette crise, concernés par des soucis d’impayés de loyers ou des factures d’énergie non réglées. Cette aide sera attribuée à partir de l’analyse de la situation économique et sociale des ménages qui la solliciteront et qui devront justifier d’une baisse de ressources d’au moins 20% après le 16 mars 2020.
Si vous avez perdu votre emploi, que vous souffrez d’une diminution de rémunération ou encore d’une absence d’activité liée au confinement, n’hésitez surtout pas à contacter le service Solidarité Logement de la Métropole au 03 54 40 67 77 qui vous apportera toute l’aide et les informations nécessaires.
Plus d’informations : grandnancy.eu
 

Il est évident que la gouvernance à la Métropole du Grand Nancy, présidée par Mathieu Klein a considérablement fait progresser la démocratie dans cette docte assemblée. Mais il me semble qu’une urgence s’impose à nous.
Hier le Bureau de Métropole était prévu à 13h30, puis le Conseil de Métropole à 15h. Les deux se sont enchainés directement, tant le Bureau avait duré trop longtemps. Le Conseil de Métropole s’est achevé, lui,  à… 20h25 !

Il y a urgence à règlementer le fonctionnement de ces deux instances et à limiter le temps de parole des intervenants. Le temps de parole du rapporteur de la délibération pourrait être un peu plus long, mais limité quand même, car tous les élus ont préalablement pu prendre connaissance de la délibération par écrit. Mais les intervenants qui souhaitent réagir à cette délibération doivent absolument être limités dans le temps ! Cela éviterait les postures pour se faire valoir ou encore les interventions inutiles parce que trop bavardes.
Cela redonnerait un sens à ce Conseil de Métropole, car au bout de quelques heures, la majorité des élus ont décroché pour ne se réveiller parfois que sur « la » délibération qui les intéresse…
Ce que je propose n’a rien d’anti démocratique, car toutes ces délibérations ont déjà été décortiquées en Comité exécutif, puis au moins une fois en commission… Redire systématiquement ce qui a été déjà dit et entendu ne peut servir qu’à exister, mais nuit à la qualité du débat.
J’en veux pour preuve cette interminable intervention hier du Sénateur Husson. Qui se souvient de ce qu’il a dit pendant presque une  demi-heure ? Qui en a retenu quelque chose ?
On se serait cru au café du commerce. Il nous a fait un conférence, après être arrivé en retard, puis avant de repartir trop tôt… Ce fut sa seule intervention, en début de séance quand même, pour s’assurer que les journalistes l’entendraient… juste pour montrer qu’il était présent (à ce moment-là). Il n’a pas compris qu’on n’est pas là au Sénat, on n’est pas là pour disserter pendant des heures sur un sujet par des digressions bavardes, on n’est pas là pour légiférer, on est juste là pour se prononcer sur des délibérations qui ont été travaillées au préalable.
On a l’impression qu’il n’a pas compris qu’il a perdu ces élections et qu’il en reste amer, alors il se sent obligé de professer et de donner des leçons…

Un bon règlement permettrait la prochaine fois de lui couper la chique…

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