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Catégorie : Grand Nancy Métropole (Page 88 de 142)

Depuis quelques décennies la Ville de Nancy s’enlaidit progressivement.

Au fil du temps elle perd en esthétique et en fonctionnalité. Ainsi, le tram et tous ses déboires a fait que cette ville n’est plus circulable du tout en défigurant les artères principales avec ses câbles et ses rails rendant inaccessibles les commerces locaux. On nous a imposé le quartier que Françoise Hervé avait surnommée « Entre Meurtre et Canal », puis nous avons subit le projet loufoque de la Place Thiers, désespérément minérale. Voilà qu’on veut nous imposer encore plus de bêton, en privatisant encore une fois un espace public en érigeant un immeuble de 8 étages et 27 m de haut.

Et tout cela en plein Centre Ville face à un établissement classé qui faisait la fierté des Grands Nancéiens : « L’Excelsior ».
Les contribuables sont livrés à la merci des extravagances d’architectes. Quand on touche à l’Histoire, aux espaces à vivre, à l’esthétique et donc à la qualité de vie, il est inacceptable que les citoyens ne soient pas interrogés sur la pertinence de tels projets.

Les Grands Nancéiens paient des impôts à la Métropole et participent largement à financer les grandes infrastructures de la Ville Centre. A ce titre ils devraient avoir le droit d’être entendu. Pourquoi ne pas organiser un Référendum ? Ce sont toujours les mêmes architectes qui travaillent avec la Métropole ou avec la Ville de Nancy, il y a un vrai problème de démocratie dans cette Métropole. Je suis d’accord avec Françoise Hervé : « Arrêtez de bétonner la ville ».

Hervé Féron, Président du Groupe de Gauche à la Métropole du Grand Nancy.

Depuis quelques décennies la Ville de Nancy s’enlaidit progressivement.

Au fil du temps elle perd en esthétique et en fonctionnalité. Ainsi, le tram et tous ses déboires a fait que cette ville n’est plus circulable du tout en défigurant les artères principales avec ses câbles et ses rails rendant inaccessibles les commerces locaux. On nous a imposé le quartier que Françoise Hervé avait surnommée « Entre Meurtre et Canal », puis nous avons subit le projet loufoque de la Place Thiers, désespérément minérale. Voilà qu’on veut nous imposer encore plus de bêton, en privatisant encore une fois un espace public en érigeant un immeuble de 8 étages et 27 m de haut.

Et tout cela en plein Centre Ville face à un établissement classé qui faisait la fierté des Grands Nancéiens : « L’Excelsior ».
Les contribuables sont livrés à la merci des extravagances d’architectes. Quand on touche à l’Histoire, aux espaces à vivre, à l’esthétique et donc à la qualité de vie, il est inacceptable que les citoyens ne soient pas interrogés sur la pertinence de tels projets.

Les Grands Nancéiens paient des impôts à la Métropole et participent largement à financer les grandes infrastructures de la Ville Centre. A ce titre ils devraient avoir le droit d’être entendu. Pourquoi ne pas organiser un Référendum ? Ce sont toujours les mêmes architectes qui travaillent avec la Métropole ou avec la Ville de Nancy, il y a un vrai problème de démocratie dans cette Métropole. Je suis d’accord avec Françoise Hervé : « Arrêtez de bétonner la ville ».

Hervé Féron, Président du Groupe de Gauche à la Métropole du Grand Nancy.

En 2002, le Grand Nancy avait déposé un permis de construire pour des travaux de rénovation importants au Stade Marcel Picot. Dans ce permis de construire étaient prévus également des aménagements fonctionnels et esthétiques sur les extérieurs : des clôtures, un parvis qualitatif pour le différencier du trottoir devant les entrées principales,…

Mais surprise, lorsque les travaux ont été terminés, ces éléments qualitatifs extérieurs n’avaient pas été pris en compte. J’avais pourtant posé la question au Président du Grand Nancy par écrit, puis oralement en Conseil de Communauté Urbaine. Mais j’avais été remballé, comme toujours, le Président avait même précisé à l’époque que ces travaux avaient coûté suffisamment cher… L’engagement pris dans le cadre de ce permis de construire n’avait donc pas été tenu une fois de plus. L’avis du maire de la commune concernée n’était pas pris en considération comme d’habitude. . Et comme toujours la presse locale n’en avait pas dit un mot…
La vérité, c’est que les promesses prises à travers ce permis de construire prévoyait un traitement qualitatif, estimé ensuite par ces gens-là, trop beau pour Tomblaine.
Comme je ne voulais pas m’engager dans un nouveau combat inutile et bloquer la situation, j’avais accepté de signer le Certificat de Conformité pour ce permis, bien qu’il ne soit pas complètement finalisé.

Depuis 2002, je n’ai eu cesse de demander que les abords du stade soient améliorés. Il fallait démonter ces affreuses cahutes rouges qui ne servaient plus depuis longtemps au club et qui étaient source d’insécurité. Les horribles grilles donnaient l’impression de parquer les spectateurs comme dans un univers carcéral. Les soirs de matches, elles n’étaient pas un gage de sécurité, mais au contraire leur aspect inhospitalier participaient à créer un climat de tension. Le reste de la semaine, ces grilles servaient surtout à retenir les papiers et ordures diverses qui volaient au vent et venaient s’agglutiner à leur pied… Bonjour tristesse.

Je n’ai jamais cessé de demander ces aménagements qualitatifs, car je pense qu’un stade doit être un cadre apaisé et apaisant. Sans être entendu. L’ASNL exprimait également les mêmes demandes.

… Et voilà que quinze ans plus tard, le Président du Grand Nancy a entendu ma demande (peut-être pour s’assurer que le maire de Tomblaine faciliterait les travaux dus au changement de la pelouse, travaux qui ont généré tout l’été des nuisances subies par les riverains Tomblainois…). 
Les services du Grand Nancy ont très bien travaillé dans un temps record aussi contraint que l’enveloppe financière. Le projet a été concerté avec le club et les services de police pour apporter plus de sécurité à l’accueil des supporters nancéiens, comme des supporters des clubs visiteurs.

Et cette fois-ci, je dois reconnaître que j’ai été complètement associé au projet et au choix de la nouvelle clôture. Le résultat est celui que j’avais souhaité : des panneaux gris-blancs, métalliques pour la sécurité, disposés avec des claires-voies. Chacun de ces panneaux est perforé de multiples petits trous représentant en motif le Chardon Lorrain, emblème de la Lorraine et aussi de l’AS Nancy-Lorraine. Les cahutes rouges, moches et inutiles ont disparu. Cela vaut le coup d’être persévérant !

Devant l’entrée 2 du stade, ce n’est pas le traitement qualitatif qui avait été annoncé en 2002, mais ils ont réussi tout de même à réaliser dans la petite enveloppe financière un enrobé bitumeux rouge qui marque l’entrée de façon plus esthétique…

Les grilles de la rue Jean Moulin sont donc déjà oubliées, et c’est heureux sur une rue aussi passante qui mène à la cité scolaire fréquentée quotidiennement par 3000 élèves… Mais, n’oublions pas que le Président du Grand Nancy a accepté ces travaux en 2017 pour la rue Jean Moulin seulement, en annonçant que les grilles de la rue Louis Barthou seraient, elles, remplacées en 2018. 


 rue Louis Barthou : image misérabiliste

En attendant cela permet de faire la comparaison entre l’avant et l’après, mais espérons qu’il ne faudra pas attendre quinze ans de plus pour que la promesse soit tenue !

En 2002, le Grand Nancy avait déposé un permis de construire pour des travaux de rénovation importants au Stade Marcel Picot. Dans ce permis de construire étaient prévus également des aménagements fonctionnels et esthétiques sur les extérieurs : des clôtures, un parvis qualitatif pour le différencier du trottoir devant les entrées principales,…

Mais surprise, lorsque les travaux ont été terminés, ces éléments qualitatifs extérieurs n’avaient pas été pris en compte. J’avais pourtant posé la question au Président du Grand Nancy par écrit, puis oralement en Conseil de Communauté Urbaine. Mais j’avais été remballé, comme toujours, le Président avait même précisé à l’époque que ces travaux avaient coûté suffisamment cher… L’engagement pris dans le cadre de ce permis de construire n’avait donc pas été tenu une fois de plus. L’avis du maire de la commune concernée n’était pas pris en considération comme d’habitude. . Et comme toujours la presse locale n’en avait pas dit un mot…
La vérité, c’est que les promesses prises à travers ce permis de construire prévoyait un traitement qualitatif, estimé ensuite par ces gens-là, trop beau pour Tomblaine.
Comme je ne voulais pas m’engager dans un nouveau combat inutile et bloquer la situation, j’avais accepté de signer le Certificat de Conformité pour ce permis, bien qu’il ne soit pas complètement finalisé.

Depuis 2002, je n’ai eu cesse de demander que les abords du stade soient améliorés. Il fallait démonter ces affreuses cahutes rouges qui ne servaient plus depuis longtemps au club et qui étaient source d’insécurité. Les horribles grilles donnaient l’impression de parquer les spectateurs comme dans un univers carcéral. Les soirs de matches, elles n’étaient pas un gage de sécurité, mais au contraire leur aspect inhospitalier participaient à créer un climat de tension. Le reste de la semaine, ces grilles servaient surtout à retenir les papiers et ordures diverses qui volaient au vent et venaient s’agglutiner à leur pied… Bonjour tristesse.

Je n’ai jamais cessé de demander ces aménagements qualitatifs, car je pense qu’un stade doit être un cadre apaisé et apaisant. Sans être entendu. L’ASNL exprimait également les mêmes demandes.

… Et voilà que quinze ans plus tard, le Président du Grand Nancy a entendu ma demande (peut-être pour s’assurer que le maire de Tomblaine faciliterait les travaux dus au changement de la pelouse, travaux qui ont généré tout l’été des nuisances subies par les riverains Tomblainois…). 
Les services du Grand Nancy ont très bien travaillé dans un temps record aussi contraint que l’enveloppe financière. Le projet a été concerté avec le club et les services de police pour apporter plus de sécurité à l’accueil des supporters nancéiens, comme des supporters des clubs visiteurs.

Et cette fois-ci, je dois reconnaître que j’ai été complètement associé au projet et au choix de la nouvelle clôture. Le résultat est celui que j’avais souhaité : des panneaux gris-blancs, métalliques pour la sécurité, disposés avec des claires-voies. Chacun de ces panneaux est perforé de multiples petits trous représentant en motif le Chardon Lorrain, emblème de la Lorraine et aussi de l’AS Nancy-Lorraine. Les cahutes rouges, moches et inutiles ont disparu. Cela vaut le coup d’être persévérant !

Devant l’entrée 2 du stade, ce n’est pas le traitement qualitatif qui avait été annoncé en 2002, mais ils ont réussi tout de même à réaliser dans la petite enveloppe financière un enrobé bitumeux rouge qui marque l’entrée de façon plus esthétique…

Les grilles de la rue Jean Moulin sont donc déjà oubliées, et c’est heureux sur une rue aussi passante qui mène à la cité scolaire fréquentée quotidiennement par 3000 élèves… Mais, n’oublions pas que le Président du Grand Nancy a accepté ces travaux en 2017 pour la rue Jean Moulin seulement, en annonçant que les grilles de la rue Louis Barthou seraient, elles, remplacées en 2018. 


 rue Louis Barthou : image misérabiliste

En attendant cela permet de faire la comparaison entre l’avant et l’après, mais espérons qu’il ne faudra pas attendre quinze ans de plus pour que la promesse soit tenue !

Depuis 2001, je n’ai eu de cesse de proposer des implantations d’entreprises sur la Plaine Flageul à Tomblaine. Le Grand Nancy m’en a systématiquement empêché pour privilégier le développement par exemple du quartier entre Meurthe et Canal à Nancy, organisant ainsi des équilibres budgétaires précaires pour la Ville de Tomblaine par un traitement inégalitaire vis-à-vis d’autres communes.

Le Grand Nancy a spéculé en achetant  à l’état les terrains de la Plaine Flageul à l’euro symbolique et nous pose sans arrêt des complications lorsque des entreprises veulent venir s’installer à Tomblaine sur ces mêmes terrains. Cette situation doit cesser.

Le 14 juin dernier j’écrivais à André Rossinot et je n’ai pas reçu la moindre réponse depuis :

«Depuis trois ans, vous avez confié un certain nombre de responsabilités à Madame Debord à des fins politiciennes pour lui permettre d’exister.
Celle-ci utilise ses compétences pour régler ses comptes. C’est ainsi, qu’il y a trois ans, 
nous avons subi une première invasion de caravanes
sur la Plaine Flageul qui était pilotée par les personnels du Grand Nancy.
Ces caravanes se sont installées sur la Plaine Flageul à Tomblaine et sont restées ainsi en permanence pendant tout l’été.

Depuis nous n’avons eu de cesse d’être envahis systématiquement. Ces gens du voyage ont pris l’habitude de venir à cet endroit où elles ont été invitées une première fois et où vous avez toujours empêché l’installation d’entreprises. A chaque fois, c’est la même histoire, on nous dit que l’interlocuteur est un pseudo pasteur (cela me pose véritablement des questions quant au fonctionnement laïque de notre République).

On nous dit qu’ils ne resteront que 15 jours, le temps d’échapper aux procédures d’expulsion. Le Grand Nancy traîne pour engager les procédures et ces gens-là s’installent pour des mois. Quand ils partent, ils ont tout cassé et le Grand Nancy n’engage jamais de procédure pour leur faire payer la casse.

Ainsi, le dernier envahissement à Tomblaine sur la Plaine Flageul a eu lieu du 25  novembre 2016 au  23 janvier 2017. Les gens du voyage ne se sont pas contentés d’occuper illégalement ce terrain, ils ont tout saccagé et en particulier, sur la piste de karting : grillage arraché (30 m de clôture), portail arraché, chalet détruit, tonnelle détruite…

Depuis le mois de février, la société AJ Loisirs qui exploite cette piste de karting contre un loyer, est empêchée de travailler. Les tas de terre qui avaient été installés par les services du Grand Nancy, puis enlevés, ont rendu  l’accès impraticable. Il en résulte un manque à gagner de 8000 € par mois pour cette société. Que fait le Grand Nancy ? Le Grand Nancy a-t-il engagé une procédure pour faire payer les casseurs ou cela sera-t-il réglé avec l’argent public une fois de plus ?

Alors que tous ces problèmes n’ont toujours pas été résolus, ce dimanche 11 juin, lors du premier tour des élections législatives, une centaine de caravanes est arrivée comme par hasard à Tomblaine et s’est installée sur le même secteur, après avoir découpé des grillages. L’eau est détournée illégalement. Ces gens-là ne s’en iront que lorsqu’ils l’auront décidé. Nous sommes dans une zone de non-droit, délibérément organisée par le Grand Nancy.

Chaque fois, on nous fait des promesses. On nous explique que la décision a été prise de fermer l’aire du Zénith (pourquoi ?). Madame Debord est venue il y a deux ans en mairie de Tomblaine pour nous promettre publiquement que dans les trois mois, une solution allait être trouvée dans l’espace du Grand Nancy, c’était un mensonge de plus. Aucune promesse n’est tenue. Cette compétence n’est pas assumée et les responsabilités ne sont pas prises.

Monsieur le Président, je vous demande d’engager immédiatement les démarches pour que ce terrain, appartenant au domaine privé de la collectivité, soit libéré au plus vite. Je vous demande de saisir le Tribunal de Grande Instance et que le constat par huissier soit fait  le plus rapidement possible (d’habitude, il faut plusieurs jours, voire plusieurs semaines pour que la démarche soit faite). Je souhaite au plus vite qu’une ordonnance d’expulsion soit notifiée, pour que la sérénité revienne à Tomblaine.  Je vous demande aussi d’engager des poursuites pour que les casseurs paient.

Enfin je vous demande de me laisser implanter sur ma commune les entreprises que je propose depuis si longtemps pour que ces terrains ne soient plus dans cet état abandonnique permanent.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées. »

 

Sans réponse à ce courrier j’ai constaté que les gens du voyage qui se sont installés comme par hasard le dimanche 11 juin, jour du premier tour des élections législatives sont restés plusieurs semaines sans être inquiétés après avoir détruit les barrières et un certain nombre d’équipements publics (une borne enlevée, 2 barrières détruites, plus de compteur d’eau, la borne incendie et le branchement électrique qui n’étaient plus en état à leur départ). Je n’ai aucune information de la part du Grand Nancy et je suis persuadé qu’aucune procédure n’a été engagée pour que les casseurs paient.

Je n’ai toujours aucune information sur la situation de la société AJ Loisirs et sur les difficultés qu’elle aura rencontrées à cause de cette gestion catastrophique du Grand Nancy. Cette entreprise ne peut pas avoir d’activité puisque les travaux n’ont toujours pas été faits par le Grand Nancy, c’est pour elle une perte sèche et c’est de fait une perte de recettes en loyers pour la société qui exploite le site de l’aérodrome. Quel gâchis !

Mais pire encore alors que les terrains de la Plaine Flageul sont interdits depuis de nombreuses années d’accès aux gamins de Tomblaine et que des baraquements minables sont installés sans aucune autorisation pour servir de vestiaires. Ces espèces de baraquements servent parfois aux amis des amis pour organiser des fêtes glauques.

Dans la nuit de vendredi à samedi un de ces baraquements a brûlé. Dans la journée de dimanche comme d’habitude 130 caravanes sont arrivées pour envahir le terrain de football (qui appartenait dans le passé au CHU de Nancy). Cela va se passer comme d’habitude ils auront cassé pour entrer par effraction ils resteront le temps qu’ils voudront, le Grand Nancy n’assume pas ses responsabilités et chaque fois que Valérie Debord est chargée d’une mission, le résultat est catastrophique. Quand le Grand Nancy rouvrira-t-il une aire de grand passage sur son territoire ? Les tomblainois sont excédés.

Hervé FERON.

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