Information aux employés de la Communauté Urbaine du Grand Nancy

Actualité
jeudi 20 mars 2014 11:36

La campagne fait rage et André Rossinot est malveillant à mon égard. Il propage régulièrement des rumeurs infondées. Ainsi, il vous a été dit que si je devenais Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, je supprimerais les heures supplémentaires en argumentant sur le fait qu’à Tomblaine, il n’y aurait pas d’heures supplémentaires.

C’est un mensonge, je n’ai pas l’intention de supprimer les heures supplémentaires à la Communauté Urbaine, je n’ai jamais eu cette idée, je n’en ai d’ailleurs jamais parlé et personne n’est habilité à m’attribuer cette intention. A Tomblaine, les employés communaux ont effectivement très peu d’heures supplémentaires mais on le sait, on progresse plus rapidement en avancement à Tomblaine qu’à la Communauté Urbaine ou qu’à la Ville de Nancy. Il faut comparer ce qui est comparable, la Ville de Tomblaine n’est pas à la taille, ni de la Communauté Urbaine, ni de la Ville de Nancy, les budgets ne sont pas à comparer. A Tomblaine, il faut beaucoup d’employés communaux pour donner beaucoup de services publics à une population majoritairement pauvre alors que dans le même temps, les recettes sont insuffisantes puisqu’André Rossinot a empêché depuis très longtemps les entreprises de s’installer à Tomblaine.

Si je suis Président de la Communauté Urbaine, vous n’aurez pas de mauvaise surprise, je défendrai vos acquis et je me comporterai comme je me suis toujours comporté en maire de Tomblaine, avec le plus grand respect des fonctionnaires. Il n’est pas question de remettre en cause ni le régime indemnitaire, ni les congés, ni les heures supplémentaires. Je suis Député d’une majorité qui a supprimé le jour de carence pour les agents publics qu’avait instauré la précédente majorité dans laquelle Laurent Hénart était Député. C’est la majorité à laquelle j’appartiens qui a revalorisé le traitement des personnels de catégorie C. Je pense et je le dis très souvent que les fonctionnaires aujourd’hui ne sont pas assez reconnus et je prioriserai toujours la valorisation des compétences.