Grand Nancy Métropole

50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !



Dossier n° 3 – 6 novembre 2012

Comment, en matière d’urbanisme, le Président de la Communauté Urbaine pratique une politique de confiscation foncière pour tout maîtriser politiquement.


On le sait, la Communauté Urbaine a pris la compétence de l’urbanisme. Mais le Président de la CUGN aime à laisser croire que les Plans Locaux d’Urbanisme (P.L.U.) sont élaborés en toute transparence et démocratiquement. Tout d’abord, ça n’est pas le cas, mais une fois qu’un Plan Local d’Urbanisme est voté, c’est comme pour le budget : il reste toute la partie de la mise en œuvre, qui peut être tout aussi occulte et manipulée. 

Prenons par exemple le Plan Local d’Urbanisme de… Tomblaine ! Pendant des années, le Maire de Tomblaine a demandé au Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy d’engager une procédure de Z.A.C., afin de prévenir un développement anarchique sur la plus grosse emprise foncière immédiatement constructible de toute la Communauté Urbaine : 60 hectares. Le Président de la CUGN, pendant des années, n’a pas répondu à cette demande, parce qu’il voulait développer à Nancy la zone entre Meurthe et Canal (on en connaît le triste résultat), et s’il se développait une zone d’habitat et d’activités sur Tomblaine, il craignait là une concurrence dans la commercialisation à venir avec la zone entre Meurthe et Canal. 

Voilà comment le Président de la Communauté Urbaine, pour préserver les intérêts de la ville centre, sacrifie le devenir d’une ville de banlieue : 

-          Le Plan Local d’Urbanisme de Tomblaine prévoyait sur la Plaine Flageul une zone à développer, tout comme d’ailleurs sur la Plaine de la Méchelle, en face du stade Marcel Picot. La Communauté Urbaine s’est rendue propriétaire de ces terrains. Le Plan Local d’Urbanisme de Tomblaine a dû être négocié âprement par les élus de Tomblaine, tant la Communauté Urbaine n’avait pas de belles ambitions pour cette ville. Lorsque le PLU (pas complètement satisfaisant) a été enfin voté, le Maire de Tomblaine avait bien conscience du fait que rien n’était gagné. Car en devenant propriétaire de ces terrains, la Communauté Urbaine du Grand Nancy se donnait les moyens d’empêcher toute initiative locale, tout projet de développement harmonieux sur cette ville, et cela malgré le Plan Local d’Urbanisme voté à l’unanimité par le Conseil Municipal de Tomblaine et par le Conseil de Communauté Urbaine.  Le résultat, c’est que sur les cinq dernières années, plus d’une demi-douzaine d’entreprises ont voulu s’installer sur la Plaine Flageul, à proximité immédiate de la zone en rénovation urbaine, ce qui signifierait de l’emploi de proximité, en parfaite cohérence avec le Projet de Rénovation Urbaine. Des propositions ont été faites également sur la Plaine de la Méchelle en face du stade Marcel Picot. Le Président de la CUGN empêche tout. Sa méthode ? Soit il ne répond pas aux courriers et propositions du Maire de Tomblaine, soit il le renvoie à des études, diligentées toujours pas les mêmes agences extérieures, sur le papier seulement, car au service et à la botte du Président.

-          Pire encore, le Président de la Communauté Urbaine, pour noyer le poisson plus longtemps, a inventé des comités de pilotage par zone, comme le comité de pilotage des Plaines Rive Droite, dans lequel il a inclus Tomblaine au milieu de plusieurs communes, ce qui lui permet, entre ses Vice-Présidents, qui sont censés être tous responsables de quelque chose, et les Maires de droite, d’être toujours majoritaire pour décider de ce qui se passera à Tomblaine. Ce comité de pilotage des Plaines Rive Droite n’a qu’un but : servir les intérêts du Président. Jamais il ne reprend les propositions des élus de Tomblaine, ce qui fait que toute cette partie de la ville, en maîtrise foncière communautaire, est complètement gelée depuis de nombreuses années et empêchée de développement cohérent au service du public. Cela s’appelle de la dynamique locale !

-          Il est vrai que dans les intentions premières du Président de la CUGN, il s’agissait de favoriser des intérêts privés qui croisaient des intérêts d’élus de sa majorité. On se souvient du projet d’hôtel sur la Plaine de la Méchelle, on se souvient de la gestion de l’aéroport, et des avantages consentis toujours par et pour les mêmes, sur des mises à disposition de terrains et hangars pour ranger des avions, on se souvient aussi de la gestion douteuse de l’aéroport dit de « Nancy-Essey » à Tomblaine, et du trou laissé dans la caisse, qui a fini par tomber dans les oubliettes. Les projets de développement de la ville de Tomblaine ont toujours été, eux, dans le sens de l’intérêt public, et c’est vrai, ils ne servent pas les intérêts privés. C’est pourquoi les élus de Tomblaine dérangent certainement…

-          Quand un Plan Local d’Urbanisme est arrêté et voté, il a besoin régulièrement d’être amendé. On appelle ça des modifications du Plan Local d’Urbanisme. Cela permet sur certains secteurs de repréciser les règles, voire de les aménager ou de les assouplir, toujours dans l’intérêt public. Qu’en est-il à Tomblaine ? Cela fait deux ans et demi que la ville de Tomblaine demande une modification du PLU à la CUGN ce qui, dans d’autres communes, de droite notamment, pourrait prendre six mois de procédure. A Tomblaine, tout est gelé depuis deux ans et demi. Bien évidemment, les élus Tomblainois ne sont pas assez dociles pour mériter un meilleur traitement.

-          Mais interrogeons-nous sur le fond des choses : il existe un établissement qui s’appelle l’EPFL (Etablissement Public Foncier de Lorraine). Cet établissement, pour expliquer les choses en raccourci, sert aux collectivités qui souhaitent acquérir un terrain ou un bien. L’EPFL achète pour le compte de la collectivité, qui a alors cinq ans pour mettre en place un projet d’intérêt public, et au bout de cinq ans, elle a pour obligation de rembourser l’EPFL pour faire l’acquisition, et elle doit donc développer le projet.

La Communauté Urbaine du Grand Nancy a une convention spéciale avec l’EPFL. C’est-à-dire que pour elle, la durée est de 5 ans. Au bout de cinq ans, si la CUGN n’a pas envisagé de projet d’intérêt public, elle peut renouveler pour cinq années supplémentaires. Et au bout de dix ans, si elle n’a toujours pas de projet d’intérêt public, la CUGN peut abandonner le projet, donc ne pas se rendre acquéreur, mais dans ce cas, elle a des frais conséquents à payer à l’EPFL.

Vous le savez, nous l’avons dit plusieurs fois, la CUGN est avant dernière communauté urbaine de France dans le rapport dette par habitant, ce qui signifie que nous sommes très endettés, parce que de mauvais choix en termes d’investissements ont été faits. Mais dans les comptes de gestion  de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, il n’apparait que le montant de la dette. Quand la CUGN a fait réserver des biens ou des terrains par l’EPFL, on peut considérer qu’il y a là une autre forme d’endettement qui vient s’ajouter à la première. Et cela n’est pas lisible du tout. Citoyennes, citoyens, cela signifie que l’on vous trompe en permanence ! C’est avec votre argent que l’on joue, et ce sont les générations futures que l’on sacrifie !

Savez-vous par exemple que la CA2M (Communauté d’Agglomération de Metz Métropole) a fait réserver par l’EPFL pour environ dix millions d’euros en terrains et biens divers. Pour comparaison, la CUGN, elle, a fait réserver par l’EPFL environ… cent millions d’euros ! Si l’on considérait que la Communauté Urbaine fasse l’acquisition de tous ces biens, avec les travaux qui en découleraient forcément, c’est en milliards que l’on parlerait. Cela signifie que la Communauté Urbaine du Grand Nancy est de toute manière beaucoup, beaucoup plus endettée que l’on ne le sait. Cela signifie aussi que la gestion de la CUGN est inconséquente et irresponsable. Mais cela démontre surtout que dans sa vision hégémonique des choses, le Président de la Communauté Urbaine gèle des territoires entiers, empêche le développement cohérent, équilibré, sur le territoire de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, uniquement dans le but d’asseoir son pouvoir. 

C’est une des 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.



Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !




Dossier n° 2 – 26 octobre 2012

Le pont de Tomblaine ou :

« Les hommes construisent trop de murs, et pas assez de ponts » (I. Newton)

« Si je connaissais le con qui a fait sauter le pont ! » (La Septième Compagnie)


Le pont de Tomblaine en traversée de la Meurthe était superbement illuminé. Pour des raisons obscures (c’est le cas de le dire !), cet éclairage a cessé de fonctionner en 2007. La Communauté Urbaine du Grand Nancy, qui en a la responsabilité, n’a jamais donné la moindre explication au Maire de Tomblaine à ce sujet.

Il a fallu attendre 2011 (4 ans d’obscurité…) pour que, sur les demandes de la ville de Tomblaine, des propositions de nouvel éclairage soient faites par la CUGN. Entre temps, d’autres interventions ont été privilégiées, pour des communes dont les maires sont dans la majorité d’André Rossinot. Exemple : l’illumination du pont de Saint-Max.

Or, le travail pour le pont de Tomblaine a été mal fait. Très rapidement, fin 2011, la ville de Tomblaine a interpellé la CUGN, dont les techniciens sur place ont convenu de la non-conformité de la réalisation par rapport au projet. Mais le responsable de l’entreprise qui a réalisé les travaux étant par ailleurs adjoint au Maire de Nancy, il peut y avoir, une fois de plus, à la Présidence de la CUGN, mélange des genres. C’est alors que la parole du Maire de la ville concernée n’a que peu d’importance…

Alors le Maire de Tomblaine écrit au Président de la Communauté Urbaine pour lui expliquer. La méthode du Président de la Communauté Urbaine est toujours la même : un grand mépris, une réponse tardive. Le temps pour lui de demander à ses services de lui construire des arguments pour lui permettre de répondre négativement au Maire de Tomblaine. Ses arguments sont fallacieux, et dommageables pour les citoyens…

Dans son courrier de réponse, le Président de la Communauté Urbaine produit deux photos superbes, en affirmant que c’est ce qui avait été validé en termes de projet. Il oublie juste de dire que ces photos ne reflètent pas du tout la réalité. La photo est trompeuse, car tout d’abord c’est un montage grossier. Ensuite, elle représente ce que l’on peut voir de la rive, à partir de la proximité immédiate du pont. Ce n’est pas du tout ce qui se reflète lorsqu’on s’éloigne, ne serait-ce que de 50 mètres du pont.

Si le Président de la Communauté Urbaine voulait bien entendre, ne serait-ce qu’un fois de temps en temps, le Maire de Tomblaine, il donnerait des consignes pour que les erreurs soient réparées, et que l’éclairage soit complété. Au contraire, sa réponse cynique consiste en un refus.

Le Maire de Tomblaine considérant donc que ces illuminations coûtent cher, pour un résultat qui n’est pas conforme au projet, demande au Président de la Communauté Urbaine de supprimer ces illuminations du pont de Tomblaine.

Dans le même temps, suite au vol de câbles électriques, le boulevard du Millénaire est resté près de deux mois dans l’obscurité. Mais hélas, comme le Président de la Communauté Urbaine n’aime pas être remis en cause, il est fort à parier qu’on en restera là… jusqu’en 2014 !


Le pont de Tomblaine

 Le pont de Tomblaine… quand vous n’êtes pas trop éloignés !

50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.



Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !






 

Dossier n° 1 – octobre 2012

Dépenses pour rayonnement culturel, ou pour financement de campagne ?

Ou chronique pour un mélange des genres CUGN/Ville de Nancy…


A l’heure où les habitants de l’agglomération nancéienne s’apprêtent douloureusement à régler leur taxe d’habitation et taxe foncière, ils seront sans doute heureux d’apprendre comment le principal artisan de leur malheur, le Maire de Nancy et sa gestion municipale dispendieuse, dépense leur argent. 

Il offre par exemple de très beaux cadeaux aux élus et aux notables du Grand Nancy. Préparant sans nul doute les prochaines échéances électorales, il vient d’adresser aux élus un somptueux ouvrage broché en 408 pages, illustré et sur papier glacé portant sur Jean Prouvé.

Sur le cadeau figure (délicatesse, quand tu nous tiens !) le prix de vente, annoncé à 49 euros. 

L’intérêt majeur de l’artiste, constructeur, designer et humaniste lorrain Jean Prouvé n’est bien sûr plus à démontrer. Que Monsieur Rossinot soit soucieux du bon plaisir et de la culture générale des grands-élus nous réconforte…, bien qu’il eût peut-être mieux valu adresser l’ouvrage aux centres de documentation scolaires pour instruire des écoliers davantage nécessiteux… Mais que le luxueux cadeau aux élus soit accompagné de la signature de son adjoint à la Culture et dauphin putatif, Laurent Hénart, signe d’emblée sa vocation électoraliste. 

L’envoi est accompagné d’une lettre à en-tête « Communauté Urbaine du Grand Nancy/Ville de Nancy », signée là aussi par le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, par une de ses vice-présidentes, un peu alibi en la matière, et par… Laurent Hénart, en tant qu’adjoint au Maire de Nancy délégué à la Culture. 

Si la CUGN tient tant à s’associer à la politique culturelle de l’hypercentre nancéien, ne serait-il pas judicieux qu’elle aide par ailleurs financièrement la ville de Vandœuvre à racheter pour sauvegarder l’église Saint François d’Assise, œuvre d’Henri Prouvé (le petit frère !) ?

Voilà qui pose questions : combien d’ouvrages préfacés par Messieurs Rossinot et Hénart ont ainsi été édités ? Qui a payé l’ouvrage et sa généreuse expédition ? Qui a décidé de l’envoi et de son financement ? Est-il acceptable que la politique culturelle de l’agglomération nancéienne soit aussi souvent inféodée au rayonnement de sa ville-phare, Nancy ? Est-il recevable que le Maire de Nancy joue ainsi de son cumul d’activités et de sa toute puissance, Maire de Nancy d’une part et Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy d’autre part, pour préparer les prochaines échéances électorales ? Il est bien des domaines où le cumul des fonctions favorise la collusion d’intérêt si l’on n’y prend garde…

Quelques précisions sur les piscines dans la CUGN

Piscine du Lido, Tomblaine


La piscine du Lido devra donc être fermée jusqu’en 2013. C’est une information qu’Hervé Féron a obtenue à la lecture de l’Est Républicain. Car M. Pensalfini est un menteur (désolé d’utiliser un terme aussi agressif, mais c’est un problème récurrent) : Hervé Féron n’est ni associé, ni informé de quoi que ce soit en la matière. 

Si M. Pensalfini hausse les épaules et qualifie cela de « chamailleries », c’est plus du mépris de sa part, et cela ressemble à l’attitude permanente de la majorité de droite de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. C’est insupportable pour les citoyens et les utilisateurs des équipements sportifs. Car on pourrait parler aussi de la gestion des gymnases (COSEC), du stade Raymond Petit, etc., etc.

Par ailleurs, quand le Grand Nancy prétend qu’avec le Lido en fonctionnement, tous les besoins en piscines seraient couverts, demandez aux centaines de particuliers, ou aux associations qui demandent des créneaux et ne les obtiennent pas. Ou demandez encore leur avis aux enseignants, qui en trois quarts d’heure, doivent faire déshabiller les enfants dans les vestiaires, puis bénéficier de 25 minutes de bassin puis, toujours dans la précipitation, doivent faire rhabiller les enfants sous la pression de l’employé communautaire  chargé de faire respecter un rythme infernal. 

Plutôt que d’imaginer de grands équipements pour faire plaisir aux amis, la Communauté Urbaine devrait investir sur une piscine supplémentaire dans l’intérêt général.

Dans la presse : l'augmentation des tarifs des piscines du Grand Nancy

Aujourd'hui, l'Est Républicain publie une page complète consacrée à l'augmentation des tarifs des piscines du Grand Nancy, résultat d'une délibération votée au mois du 23 mars 2012 par la majorité communautaire. Les élus de "La Gauche du Grand Nancy" avaient voté contre (cliquez sur les articles pour agrandir).

A ce sujet, Hervé Féron avait adressé un communiqué de presse pour dénoncer cette augmentation et soutenir les usagers (cliquez ici pour le lire).


Article de l'Est Républicain du 1er septembre 2012 "L'affaire du pass éclabousse"

Article de l'Est Républicain du 1er septembre 2012 "Politiquement, la grande brasse"

Hervé Féron dénonce l’augmentation des tarifs des piscines de l’agglomération nancéienne et soutient les usagers en colère.

Communiqué de presse d'Hervé Féron :


Hervé FERON, député-maire de Tomblaine, dénonce l’augmentation des tarifs des piscines de l’agglomération nancéienne et soutient les usagers qui ont décidé de manifester leur mécontentement.

Pour lui, cette augmentation est une façon détournée de dissuader les usagers de pratiquer leur activité favorite et ainsi de palier à la carence en piscines dont souffre l’agglomération nancéienne.

Hervé Féron a déjà eu l’occasion en Conseil de communauté Urbaine, de regretter un manque de piscines au service du public dans l’agglomération. Sa position était claire : dans les conditions d’endettement de la Communauté urbaine, il n’était pas souhaitable de mettre beaucoup d’argent public dans un inutile projet d’agrandissement du stade Marcel Picot, par contre Hervé Féron proposait de mieux investir, et en particulier, il manque selon lui deux piscines dans l’agglomération nancéienne. Les enfants des écoles ne disposent pas suffisamment de créneaux. Donc une piscine supplémentaire serait souhaitable. Par ailleurs, une autre piscine, mais de loisirs, avec un aspect ludique plus développé, serait nécessaire.

Regardez le succès de la piscine (ludique) de Dombasle cet été. Par ailleurs, comment comprendre qu’Amnéville dispose d’un tel ensemble aquatique, et pas le Grand Nancy, alors qu’il y a sur notre agglomération un public potentiel plus important qu’à Amnéville ?

A ce manque est venu s’ajouter la fermeture de deux piscines dont a souffert, en période estivale, l’agglomération : celle du Lido après les inondations du mois de mai dernier (à ce titre, Hervé Féron reçoit très peu d’informations de la part de la Communauté Urbaine sur l’évolution des travaux, et n’est pas du tout associé aux décisions, alors qu’il est le maire de la commune), et la piscine Michel Bertrand à Vandœuvre, fermée depuis le mois de juin et jusqu’en novembre pour travaux, qu’il aurait sans doute été opportun de reporter dans ce contexte.

Les arguments avancés par le Vice-Président de la Communauté Urbaine sont une façon de détourner le véritable débat. Celui-ci estime que la Communauté Urbaine doit s’aligner sur les tarifs de la moyenne nationale. Or, il suffit de consulter les sites de différentes agglomérations pour se rendre compte que Nancy pratique des tarifs très élevés, notamment pour les cartes 10 entrées ou les tickets à l’unité. Il considère par ailleurs que l’augmentation de l’abonnement annuel et la limitation à 100 entrées permettront de résoudre les problèmes de fraude, alors qu’il aurait été très simple d’apposer une photo sur les cartes sans sanctionner financièrement les usagers honnêtes qui sont majoritaires.

13 millions de Français pratiquent la natation. Les décisions qui sont prises sur la gestion des piscines communautaires le sont arbitrairement par le Vice-Président en charge, sans véritable concertation avec les élus, en particulier avec les élus qui ne sont pas dans la majorité communautaire. Pour Hervé Féron, c’est une véritable erreur que d’augmenter ces tarifs, car il s’agit-là d’une politique publique nécessaire, et qui ne peut être budgétairement équilibrée. Il est normal que ce service offert au public coûte cher. S’il y a de façon très évidente des économies à réaliser, en investissement comme en fonctionnement, à la Communauté urbaine du Grand Nancy, ce n’est pas ces lignes budgétaires qu’il faut ponctionner.

La piscine du Lido à Tomblaine

La piscine du Lido à Tomblaine.

Cérémonie très émouvante à la gendarmerie de Nancy

Les gendarmes ont eu la douleur de perdre, la semaine dernière près de Toul, une de leurs collègues âgée de 24 ans, fauchée par un véhicule, et deux femmes gendarmes, assassinées dans le Var.

C’est une cérémonie très émouvante à laquelle Hervé Féron a participé. Cérémonie présidée par Monsieur le Préfet de Meurthe-et-Moselle, et le lieutenant-colonel Christophe Dubuis.


Rossinot de plus en plus suffisant… et insuffisant !

Mercredi à 17h00, les médias dont la radio France Bleu ont été avertis d’une pollution de l’eau sur une partie de plusieurs communes.

Jean-Paul Monin, maire d’Essey, a osé (sacrilège !) se plaindre ce jeudi après-midi en réunion à la CUGN. En effet, les maires de l’opposition n’ont été informés que deux heures plus tard (le maire de Tomblaine a reçu un message de la CUGN à… 19h13 !). Pour toute réponse, il n’a reçu que mépris du roi Rossinot qui continue à ne pas reconnaître les maires… surtout quand ils ne lui sont pas asservis !

En ces temps de déconfiture pour cette droite molle au sarkozisme honteux, on a tendance à s’énerver pour un rien.

Sauf qu’en attendant, eau potable ou pas potable, c’est le citoyen qui trinque !


Hervé Féron à l'assemblée générale d'Espoir 54


Ce samedi matin avait lieu l’assemblée générale de l’association « Espoir 54 » sous la présidence de Mme Barroche.

Hervé Féron a eu l’occasion de souligner la qualité des travaux de cette association, qui a une véritable mission de service public, qui est connue et reconnue pour cela, mais malheureusement insuffisamment reconnue en termes de financements, en particulier de l’État. Le député a évoqué les différentes thématiques développée par cette association, tout le travail sur le lien social, la formation, l’insertion sociale et professionnelle, la participation à l’évolution des représentations sociales qui entrainent une stigmatisation des personnes. Il a relevé la pertinence d’un travail en réseau, travail partenarial. Hervé Féron a repris aussi l’expression de Mme Barroche qui dit que « Espoir 54 pratique une forme de compagnonnage engagé pour l’accompagnement des personnes en fragilité psychique ».

Enfin, il a souligné l’absence de politiques publiques planifiées et concertées au niveau de l’État, qui devrait pourtant se décliner dans une approche territoriale par le biais d’un diagnostic partagé, de projet transversaux, qui allient sanitaire, social, et médico-social. La diminution des financements des GEM mets une association comme « Espoir 54 » en situation critique. Hervé Féron propose qu’on facilite les procédures pour les montages de dossiers de demandes de subventions, et que l’on arrête le morcellement des parcours pour les personnes.

C’est une véritable dynamique qui est à réorganiser dans ce pays. La présidente, Mme Barroche, a ajouté qu’il était regrettable qu’au niveau de l’agglomération nancéienne, il y ait une absence total de conseil local de santé mentale.



Démocratie, quand tu nous tiens…

Les conseils de Communauté Urbaine du Grand Nancy sont imbuvables. La méthode Rossinot consiste à dissuader les élus de bonne volonté de parler, de contribuer, voire (crime de lèse-majesté !) de s’opposer. Exemple :

- 1er point à l’ordre du jour, ce vendredi 27 avril : communication sur la politique globale des mobilités aux différentes échelles territoriales (tout un programme !!!).

Où l’on est à des millions de kilomètres de la réalité du terrain, où l’on ne fait que du bavardage.

Comment cela se déroule-t-il ? André Rossinot appelle ça un débat : il prend tout d’abord la parole pendant 25 minutes, pour étaler des théories sulfureuses, mais il y a pire. On croit s’en être tiré, mais il donne ensuite la parole à sa vice-présidente, Claudine Guidat. L’opposition pensait qu’elle allait pouvoir parler mais ça n’est pas encore son tour. Claudine Guidat est une spécialiste du bavardage qui ne sert à rien. Il nous faut la subir pendant 20 bonnes minutes. Et comme cela n’est pas encore suffisant, le président de la Communauté Urbaine donne ensuite la parole au directeur de l’Aduan pour encore vingt bonnes minutes. Directeur qui, on le sait, est aux ordres du Président de la Communauté Urbaine.

Après plus d’une heure de ce « monologue de la majorité », l’opposition pourra prendre la parole ! Mais comme le Président n’aime pas que l’on s’oppose, beaucoup plus tard dans la soirée quand, pour conclure, il redonnera la parole à son vice-président, Monsieur Parat, André Rossinot dira (je cite) : « Monsieur Parra, vous avez la parole, mais rapidement, ça ne vaut pas plus… ». Cela, vous ne le lirez pas dans la presse, mais chacun appréciera…


 

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