Grand Nancy Métropole

L’écologie, l’eau, les loisirs et les Arts…

Dans le cadre de son projet éco-citoyen, la Ville de Tomblaine s’est dotée, il y a plusieurs années, d’une cuve de 800m3 de récupération des eaux de pluie. Ainsi, pendant les périodes estivales et dans le respect des règles édictées en cas de sècheresse, lorsque les fleurs et les plantes sont arrosées dans la ville, elles le sont grâce à de l’eau récupérée et stockée.
Cette cuve cette année encore va pouvoir servir aussi à la Métropole et à la Ville de Nancy, puisque l’eau des bassins d’agrément de la Plage des deux Rives va ainsi pouvoir être réutilisée à bon escient, après analyse et déchloration.
La Plage des deux Rives va fermer ses portes en fin de ce week-end, après avoir connu, cette année encore, un succès populaire remarquable, malgré la météo plus que capricieuse…
Dès aujourd’hui samedi, l’apport de chlore dans les bassins sera dosé de manière à respecter la fourchette base du dosage. Dimanche soir, à l’issue de la fermeture des bassins, une poudre neutralisante pour la déchloration des bassins sera ajoutée.
Lundi matin, les analyses d’eau seront faites pour confirmer la déchloration de l’eau. Dès validation de la qualité de l’eau, elle sera pompée, à partir du petit bassin (depuis la zone accès pompier). Puis le grand bassin sera déversé progressivement dans le petit bassin, afin de ne pas changer le lieu de pompage. L’eau sera transportée vers la cuve de 800m3 de Tomblaine, c’est à proximité immédiate et là aussi, la démarche est vertueuse.
Cette eau servira majoritairement à l’arrosage du « Jardin Éphémère » de Nancy pendant tout le mois d’octobre, quand la Place Stanislas se transforme en havre de verdure, bel hommage à la tradition botanique qui avait tant inspiré les artistes de l’Ecole de Nancy.
 

Il est parfois salutaire de se jeter à l'eau…

 
Voilà ce que j'ai écrit aux rares personnes qui se sont exprimées sur les réseaux sociaux, parfois de façon virulente, mais trop souvent en méconnaissance du sujet, à propos de l'offre de baignade estivale sur la Métropole du Grand Nancy. Alors, je me jette à l'eau...
D'abord, à la Plage des deux Rives les bassins sont en permanence surveillés par des maîtres nageurs et la qualité de l'eau est régulée et contrôlée en permanence. Quant à la Meurthe la qualité de l'eau n'autorise pas la baignade, c'est pour cela qu'on y organise pas la baignade. C'est une question de santé et de sécurité publique. Cela dépasse de loin la compétence de la Métropole du Grand Nancy. Mathieu Klein a cependant souhaité qu'une étude soit engagée pour expertiser la possibilité future de baignade dans la Meurthe, en sachant que ça serait compliqué. En attendant, ce que la Métropole a mis en oeuvre en bords de Meurthe du côté de Tomblaine et de Nancy, offre une diversité d'activités dont la baignade et les jeux d'eau, dans un cadre naturel exceptionnel.
Je suis d'accord sur le fait que la partie "grand public" de Nancy Thermal est insatisfaisante et c'est une des raisons pour laquelle j'avais combattu ce projet mené par la majorité Rossinot à l'époque. Mais elle a le mérite aujourd'hui d'exister. Et il faut bien admettre que Mathieu Klein, qui a hérité d'un projet déjà engagé, a permis de trouver une bonne issue à ce dossier très sensible. Peut-être pourra-t-il y avoir des améliorations, mais il faut reconnaitre que cette situation (mauvais temps prolongé au coeur de l'été, suivi d'un brusque retour caniculaire = ruée vers les lieux de baignade) est exceptionnelle.
Aujourd'hui la partie cure, pour diverses raisons balbutie, mais quoi de plus normal ? Tous les équipements de thermalisme connaissent une telle période au début, mais là en plus, on est à une époque où il y a difficultés de recrutement pour de nombreux métiers dont les maitres-nageurs ou encore les personnels soignants...
La personne qui écrit "ils ont fermé presque toutes les piscines..." de trompent. Nous avons fermé les piscines de Laneuveville et Laxou pour permettre les vidanges et entretien nécessaires, règlementaires et obligatoires en période hors scolaire, ce qui permettra dès la rentrée d'accueillir toutes les écoles élémentaires des 20 communes de la Métropole dans de bonnes conditions.
La piscine Gentilly, elle, a dû être fermée d'une heure à l'autre, suite à un rapport d'un bureau d'études dévoilant le danger imminent. Ce fut donc un acte responsable que de fermer cette piscine qui accueillait ... 200 000 usagers par an ! Et des études sont en cours pour envisager le remplacement de cette piscine. Chacun comprendra que cela dure et durera un certain temps et que cela coutera beaucoup d'argent (d'autant plus que les normes d'isolation qui s'imposent aujourd'hui amènent un surcoût considérable). Mais là encore, la majorité de Mathieu Klein est volontariste.
Parfois ceux qui, hier ont commis toutes ces erreurs, certains ne votent pas pour la Plage des deux Rives, voire la dénigrent.
Mais en trois ans nous avons ajouté à l'offre de baignade estivale : la Plage des deux Rives, la base de loisirs du Plateau de Haie et Nancy Thermal... Excusez du peu !
Je souhaite souligner aussi l'exceptionnel engagement des personnels de la Métropole pour mettre en oeuvre en permanece un service public de qualité.
En créant la Plage des deux Rives (165 000 visiteurs en 2022), nous avons permis qu'avec les piscines de Vandoeuvre et Tomblaine, la base de loisirs du Plateau de Haie et la partie "grand public" de Nancy Thermal, l'offre de baignade faite au public soit considérablement augmentée, avec en plus des activités de loisirs, sportives ou culturelles de plein air en nombre...
C'est une politique publique, parce que dans l'intérêt public, c'est pour cela qu'il est normal que cela ait un certain coût. Avec l'évolution climatique, il s'agit aussi d'enjeux sanitaires.
C'est une politique publique assumée, qui reste certes perfectible, mais il me semble que le travail accompli jusque-là a permis que la qualité de l'offre soit au rendez-vous et beaucoup le reconnaissent. Venez et constatez.
Hervé Féron.

Le coup d'envoi...

J'ai eu le plaisir de donner, ce soir, à la fois le coup d'envoi du match de l'ASNL et le coup d'envoi de la saison 2023/2024 du championnat de football de National !
L'occasion de montrer et rappeler le soutien de la Métropole du Grand Nancy, dont je représentais le Président Mathieu Klein, soutien de tous les instants envers l'AS Nancy Lorraine. On le sait, cette saison sera compliquée avec 6 descentes annoncées, mais il y a enfin un staff en place, au travail et déterminé : président, directeur sportif et entraineur.
Ce soir malheureusement, les nancéiens ont pris le but de l'égalisation (1-1) à la ... 96 ème minute !!!
Mais l'équipe a déjà montré de belles choses. Il était évident que l'ASNL, qui a débuté sa préparation très tard, pour les raisons que l'on sait, n'était pas prête, les joueurs n'avaient pas 90 minutes dans les jambes, les vingt dernières minutes ont été très compliquées, avec des crampes, des changements de joueurs, etc. Ça ira mieux dans quelques temps, on souhaite une belle saison à l'ASNL.
 
 
 

La Métropole, premier partenaire de l’ASNL.

L’ASNL a sauvé son statut de club professionnel, avec tous les enjeux que cela implique, possibilité de jouer au troisième niveau national, de conserver ses joueurs professionnels, de garder son centre de formation et d’espérer ainsi rebondir pour retrouver enfin le niveau qu’elle mérite, dû à son histoire. Mais il ne s’agit plus de parler de l’histoire ou de regarder derrière soi, il faut maintenant construire l’avenir.
J’ai été un peu surpris de lire dans la presse les remerciements appuyés en direction d’un certain nombre d’acteurs (réels) de ce sauvetage, mais en omettant d’y associer la Métropole du Grand Nancy. Nous n’avons pas besoin de remerciements et nous ne les cherchons pas, mais il est bon de reconnaitre le travail qui est fait.
J’ai été également parfois surpris de lire ici où là qu’un élu donnait des leçons, distribuait des conseils, sur le thème « il faut, il faudrait, il aurait fallu.. » , alors que lui-même n’a jamais été acteur de ce difficile dossier et qu’une grande collectivité dont il est lui-même élu est restée aux abonnés absents…
Depuis le changement de propriétaires de l’ASNL, il y a deux ans et demi la Métropole du Grand Nancy, son Président Mathieu Klein et moi, n’avons jamais manqué de tenir notre place, c’est à dire d’affirmer notre soutien au club emblématique nancéien et de le prouver dans les faits, tout en tentant sans cesse d’obtenir des garanties de la part des dirigeants et des propriétaires du club et en exigeant un projet cohérent sur le plan financier, sportif et humain.
Tenir notre place et toute notre place, mais rien que notre place.
Car nous savons que le football exacerbe toutes les passions. Nous savons le capital sympathie qui est la première richesse de ce club, la dimension affective et émotionnelle de par son histoire, Michel Platini, bien sûr, les anciens, Hervé Collot, Roger Piantoni, tous ces joueurs qui ont fait l’histoire et la passion de ce club de Bernard Lech à Benoît Pedretti. Ce « formidable public de Nancy » comme aimait le déclamer Gérard Parentin au micro, les grands dirigeants, Jacques Rousselot « Mais le rôle des responsables politiques n’est ni de verser dans l’affectif, ni de se mêler d’imaginer quelle serait la meilleure composition de l’équipe, ni d’avoir des états d’âmes ou des humeurs eu égard aux propriétaires du club.
Notre seul rôle est d’agir en responsabilité. C’est ce que nous nous sommes efforcés de faire, Mathieu Klein et moi, en permanence.
D’abord en donnant du sens à notre action : pourquoi soutenir l’ASNL ? Ce club est nécessaire, il apporte de l’attractivité au territoire Métropole, département, région… Il fait partie de notre identité (quand un club évolue en National 1, que son public est de très loin le plus nombreux de France, jusqu’à remplir complètement le stade, c’est qu’il se passe quelque chose qu’on ne peut ignorer…). Il génère de l’emploi direct et indirect, de l’activité et stimule l’économie locale.
Toutes celles et tous ceux qui n’aiment pas le football, ne peuvent contester ces bonnes raisons d’engager l’argent public.
Quelle a été notre action ? La Métropole a pris compétence en matière de sport professionnel (pour les raisons indiquées ci-dessus), dès lors que les clubs concernés évoluent au premier ou deuxième niveau national. Ainsi, une charte lie six clubs métropolitains de haut niveau à la Métropole, qui permet des financements publics, avec des contreparties, dont chaque club doit justifier la réalité et la pertinence chaque année. Ces contreparties concernent la formation, des actions sociales, le développement de ce sport au travers de la section amateure, les jeunes….
Lorsque l’ASNL est descendue, malheureusement en National 1, troisième niveau national, la logique aurait voulu que le club sorte du périmètre de cette charte et qu’ainsi la Métropole du Grand Nancy ne lui verse plus de subvention. Au contraire, nous avons modifié la charte, pour permettre de continuer à aider l’ASNL en difficulté et nous avons permis alors qu’elle soit aidée au troisième niveau national. Déjà, à ce moment-là, nous avons participé au sauvetage de l’ASNL.
Nous avons donc aidé, en responsabilité, de façon volontariste et dans le cadre strict de ce que la loi nous permet, l’ASNL association et l’ASNL SASP.
La difficulté était que nous n’avions pas d’interlocuteur direct et fiable. Thorsten Theys et Nabil El Yaagoubi ont fait tout ce qu’ils pouvaient. Mais le président fantôme, absent, fuyant, ne permettait aucun dialogue. Nous étions également coupés des propriétaires nombreux du club, ce qui ne nous laissait peu de possibilité d’agir de façon constructive.
Quand l’ASNL a été rétrogradée en National 2, puis administrativement en National 3, Mathieu Klein et moi, n’avons eu de cesse de nous investir pour trouver des solutions.
D’abord, nous avons rassuré publiquement quant aux questions qu’on nous posait tous les jours : « Oui, la Métropole du Grand Nancy va continuer à soutenir l’ASNL. Non, le stade Marcel Picot ne sera pas rasé et l’ASNL continuera à évoluer sur ce stade, quoi qu’il arrive » .
Les rumeurs les plus folles circulaient, beaucoup affirmaient, savaient, connaissaient, avaient des infos, supputaient…
Nous avons travaillé sereinement. Ce qui a changé à l’ASNL a été déterminant. La nomination d’un nouveau président. Intéressé, pour ne pas dire passionné par l’ASNL, présent, bref… un véritable interlocuteur : Sébastien Janodet.
Mais aussi, le fait que deux actionnaires aient pris la main, Chien Lee et Krishen Sud. Nous avons pu enfin avoir des contacts directs avec eux. Et c’est tellement plus simple de pouvoir se parler directement, sans intermédiaire, sans interprétation…
Ces propriétaires reconnaissent avoir fait des erreurs et disent apprendre tous les jours. Mais ils expriment leur volonté affirmée aujourd’hui de se concentrer sur l’ASNL et de lui construire un avenir. Dans les discussions que nous avons eues avec eux, nous leur demandions un projet sur plusieurs années. Ils répondent clairement : objectif retour en Ligue 1, d’ici 4 à 5 ans. La Ligue 2 ? Le plus rapidement possible. Comme aujourd’hui ils sont plus proche de l’ASNL, ils n’ignorent pas (comme ce fut le cas l’an dernier) qu’il y aura encore six descentes cette année en National 1. L’équipe devra donc être compétitive et chacun sait qu’un groupe trop nombreux est difficile à gérer pour un coach, il vaut mieux être moins nombreux et plus compétitifs.
Par contre, il semble évident qu’une rétrogradation en Nationale 2 remettrait tout en question. Voilà, la feuille de route est claire. Ainsi, les deux actionnaires ont mis 5 millions de plus sur la table ce qui démontre leur engagement et leur motivation.
Remonter en Ligue 2 est urgent, car tant que le club sera en National 1, il sera privé des droits TV et il ne sera pas viable financièrement.
Descendre en National 2, signifierait la perte du statut professionnel et la perte du centre de formation, c’est "la valeur marchande" des joueurs sous contrat et des joueurs en cours de formation que perdrait alors l’ASNL, ce qui entrainerait sa chute sur le plan financier et sur le plan sportif.
Cela peut paraitre un peu crû que de mêler ainsi « sport » et « valeur marchande » des joueurs » dans une même phrase, mais c’est la réalité.
Effectivement l’aspect financier est prépondérant et, on peut comprendre que cela irrite. Mais il faut comprendre aussi la DNCG (le gendarme financier du football). Elle demande de fortes garanties, sans lesquelles, elle prononce la rétrogradation. Parce que son rôle est de s’assurer que le club saura assumer financièrement toute la saison. D’abord pour s’assurer que les joueurs et les personnels seront payés et ainsi les protéger. Mais aussi parce qu’un club incapable d’assumer financièrement, peut être amené à déposer le bilan en cours de championnat et alors, avec une équipe de moins, en cours de saison, ce serait tout le championnat qui serait faussé.
Depuis deux mois, avec Mathieu Klein nous avons multiplié les contacts, interpellé, assuré de notre soutien. Dans les dernières semaines, nos contacts avec le président et parfois même certains joueurs inquiets, ont été quasi quotidiens. De façon raisonnée, raisonnable et responsable, nous sommes des supporters de l’ASNL.
A mi-mandat de Président de la Métropole et de Maire de Nancy, Mathieu Klein aura participé à sauver l’ASNL.
 

Asnl

L’ASNL en national 1 c’est officiel ! 

Grand Nancy Thermal, les promesses seront-elles tenues ?

On ne peut que ce réjouir finalement de l'ouverture du Grand Nancy Thermal, avec force
publicité, ce qui a  généré une belle affluence lors de la journée portes ouvertes, même si
la fréquentation, le week-end suivant, était moins importante qu'on ne l'espérait.

On s'en réjouit, car le "Bien Commun" et moi, nous nous sommes battus pour que
la mode de gestion soit complètement différent, ce qui signifie pour la Métropole plusieurs 
centaines de milliers d'euros qu'elle ne perdra plus. Mais nous avons également obtenu 
l'alignement des tarifs grand public sur les prix de l'aquapole du Grand Nancy. Ainsi, le 
Grand Nancy Thermal restera accessible au plus grand nombre (ce qui est un minimum, 
eu égard à l'argent public investi...)
Je suis cependant très inquiet, parce que j'ai présenté une délibération au Conseil de
Métropole du 31 mars 2022, dans laquelle il était clairement dit "la gratuité d'accès 
aux piscines pourra s'appliquer aux accompagnateurs, dans la limite d'un accompagnant 
par personne, dès lors que la carte mobilité inclusion de la personne en situation de
handicap comporte l'une des deux mentions :
- besoin d'accompagnement,
- besoin d'accompagnement - cécité."
Cette délibération a été votée à l'unanimité...

Dès lors qu'on a cru comprendre que le Grand Nancy Thermal s'alignait sur les tarifs de 
l'aquapole, on pourrait penser que les accompagnants de personnes handicapées y ont 
également un accès gratuit ? Et bien non ! 
La mère d'une dame handicapée m'a signalé, alors que sa fille détient une carte sur laquelle
il est stipulé qu'elle doit être absolument accompagnée, qu'à Nancy Thermal si l'accompagnante
veut entrer, elle doit payer !
Je trouve ces mesquineries mercantiles insupportables et en grand décalage avec les belles 
déclarations d'intention !

 

 

Il faudra être très nombreux samedi soir pour soutenir le VNVB.

VNVB - Marcq en Baroeul - samedi 25 mars à 19h au Parc des Sports
de Vandoeuvre.
L’équipe professionnelle féminine du VNVB, Vandoeuvre Nancy Volleyball évolue en Ligue A, c’est à dire
au plus haut niveau national, depuis 2015.
Le volleyball féminin a énormément progressé, il est esthétique, physique, technique. Le jeu est rapide,
c’est un véritable spectacle, y compris pour quelqu’un qui serait peu habitué à ce sport. Et cette équipe
féminine du VNVB, plus particulièrement, est enthousiasmante, car elle ne lâche rien, malgré les difficultés.
Le club est soutenu par les collectivités, principalement la Métropole du Grand Nancy, qui a plus que
doublé sa subvention en trois ans. La Métropole du Grand Nancy est volontariste dans son soutien au
VNVB et au sport féminin. Malgré cela, le budget du club reste fragile en comparaison aux grosses
cylindrées de Ligue A. Lorsque le club recrute malin et qu’une joueuse se révèle, il n’est pas rare que
les équipes mieux nanties viennent les chercher avec des propositions financières plus attirantes. Il en
est de même pour les joueuses formées au club, car le VNVB mise aussi sur les jeunes et s’est doté d’un
centre de formation.
Voilà déjà quelques raisons de soutenir ce club…
Mais, comme si cela ne suffisait pas, le VNVB a subi, en pleine saison, des sanctions financières et
sportives par la DNACG (Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion), qui pour le coup a été tout
sauf aidante… Trois points ont donc été retirés à cette équipe, ce qui sur le plan sportif ne peut être vécu
que de façon très injuste, tant par les compétitrices que par les supporters.
Pour entrer dans les Play-Off et continuer la compétition, après la saison régulière, il faut être 8ème.
Actuellement le VNVB est 9ème. Il y a trois matches, l’équipe avait six points de retard, cela paraissait
très compliqué, mais, je vous l’ai dit… Ces filles-là ne lâchent rien !
Devant elles, à six points, il y avait Cannes, une équipe mythique, dans l’histoire du volley féminin.
Après une série de victoires qui les ont vues remonter au classement, elles ont battu Cannes à Vandoeuvre !
La semaine dernière, elles sont allé gagner 3 sets à 0 à l’extérieur et Cannes a perdu 3-2, ce qui fait que
Cannes a pris un point…
Donc, aujourd’hui Cannes est 8ème et le VNVB est 9ème à… un seul petit point de Cannes et de la 8ème
place qualificative pour les Play-Off !
Samedi 25 mars à 19h le VNVB reçoit Marcq en Baroeul (11ème) … la victoire est plus que possible !
Cannes va jouer au Cannet (5ème) ….la défaite est plus que possible !
Pour les derniers matches de la saison régulière le VNVB va jouer à Mulhouse contre les premières…
Mais Cannes reçoit Paris St Cloud qui est deuxième.
Donc tout reste possible … Le soutien actif du public sera déterminant
samedi 25 mars à 19h au Parc des Sports de Vandoeuvre !
Et si vous ne connaissez pas le volleyball féminin, essayez, vous ne regretterez pas d’être venus voir ce
match. Le Parc des Sports doit être plein samedi !
 
 
 
 

Challenge natation course handisport…

Je représentais cet après-midi Mathieu Klein, Président de la Métropole du Grand Nancy, à la piscine de Laneuveville, pour une manifestation très intéressante : le Challenge Natation Course Handisport, organisé par le Comité Régional Grand Est Handisport, représenté par Baptiste Wolff, avec le club « Handisport Grand Nancy », dont la Présidente est Dominique Lemoine et l’Aquapole du Grand Nancy.
Les personnels de la Métropole était présents, en particulier Claude Breiner, le directeur de la piscine de Laneuveville et Thierry Messos, maitre nageur.
Dominique Lemoine est une présidente très investie. Dynamique et positive, elle dit à juste titre « ce n’est pas aux personnes en situation de handicap de s’adapter à leur environnement, c’est à l’environnement de s’adapter au handicap… » Il y a donc là quelque chose de l’ordre de la responsabilité collective…
Et dans ce partenariat entre le club Handisport et la Métropole, l’objectif est bien de permettre l’accès à la natation aux personnes porteuses de handicap. Tout y est mis en oeuvre pour cela : une piscine de 25 mètres, dotée d’équipement permettant de descendre une personne en fauteuil dans la piscine aisément, un bassin d’apprentissage et des créneaux réservés pour l’utilisation de ce club chaque semaine toute l’année. Le club fréquente également pour ce type d’activité la piscine du Lido à Tomblaine et celle de Laxou.
Le club « Handisport Grand Nancy » compte environs 70 pratiquants de 15 à 77 ans (pour ce qui concerne la natation) … et Dominique Lemoine remercie Thierry Messos qui les accompagne et encadre l’apprentissage de la natation toute l’année.
Le grand public ne sait pas assez tout ce que met en oeuvre la Métropole, pas plus que l’investissement remarquable des personnels de la Métropole. Mise à disposition des piscines, logistique matérielle, accompagnement…
Par exemple, dans le cadre de l’opération nationale « apprendre à nager » portée localement par la Métropole du Grand Nancy, en période de vacances scolaires des enfants ont accès à l’apprentissage de la natation (alors que sur le temps scolaire, tous les enfants des écoles élémentaires suivent un programme, dont le résultat mène à ce que tous les enfants scolarisé dans la Métropole savent nager quand ils sont en fin de CM2).
Eh bien, lors de la session « apprendre à nager » pendant les dernières vacances de novembre, six enfants (entre 6 et 12 ans), en situation de handicap, ont suivi cette formation (en deux groupes de 3). Et cela continuera pendant les prochaines vacances scolaires.
Tout cela ne se sait pas assez. Et, en tant que vice-président de la Métropole, je sui assez fier de ce travail remarquable de nos personnels…
La compétition d’aujourd’hui réunissait 20 clubs de la grande région et 27 nageurs. Il s’agissait de sélections, avant les championnats inter-régionaux qui auront lieu en mars 2023. Une belle ambiance, dans de bonnes conditions...
 

 

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami

 

 

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de la Commune de Paris

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