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Mois : octobre 2012 (Page 2 de 6)

La Banque publique d’investissement : un outil d’investissement massif en faveur du développement des PME

C’était le premier engagement de François HOLLANDE lors de sa campagne présidentielle : la Banque publique d’investissement, destinée à favoriser le développement des PME. Mercredi 17 octobre, le Ministre de l’Economie et des Finances Pierre MOSCOVICI a présenté en Conseil des MInistres le projet de loi créant la BPI. La France dispose enfin d’une arme d’investissement massif, qui va lui permettre de passer d’une posture défensive à une stratégie de reconquête face à la crise.

Hier, mardi 23 octobre 2012 lors de la séance des questions au Gouvernement, Pierre MOSCOVICI donnait quelques détails quant à la BPI, répondant ainsi à une question du Député Socialiste, Radical et Citoyen Guillaume BACHELAY :



M. le président. La parole est à M. Guillaume Bachelay, pour le groupe socialiste, républicain et citoyen.

M. Guillaume Bachelay. Ma question s’adresse au ministre de l’économie et des finances.

Monsieur le ministre, l’économie française est confrontée, en réalité, à deux graves déficits. Le premier déficit, c’est un déficit de financement des entreprises. Ceux qui siègent sur ces bancs pourraient donner force aux témoignages d’entrepreneurs qui sont victimes de l’assèchement ou du renchérissement du crédit bancaire. Les banques sont beaucoup trop frileuses vis-à-vis des PME, notamment des PME industrielles, qu’elles soient confrontées à des difficultés de trésorerie courante ou qu’elles aient des projets d’investissement. C’est particulièrement choquant quand on sait dans quelles conditions les banques ont, à l’automne 2008, été refinancées, renflouées par des gouvernements conservateurs en France comme en Europe. 

Le deuxième déficit dont souffre notre tissu productif, hélas, c’est le manque d’entreprises de taille intermédiaire. Ce sont ces entreprises qui comptent entre 250 et 5 000 salariés, qui ont la taille critique pour peser dans la mondialisation, qui peuvent innover, qui peuvent exporter et répondre à la demande des pays émergents. Il y a en France deux fois moins d’entreprises de taille intermédiaire qu’en Allemagne, deux fois moins qu’au Royaume-Uni et, hélas, ce nombre stagne.

Il y a donc urgence à renforcer les fonds propres des entreprises, urgence à créer des réseaux de compétences entre PME et grands donneurs d’ordres, urgence à miser sur les filières industrielles d’avenir autour de l’innovation, et tout cela dans la proximité avec les collectivités, dans la proximité, d’abord, avec les régions.

Le Président de la République, qui a conscience de ces défis, avait, pendant la campagne, pris soixante engagements. Le premier était de mettre en place une banque publique d’investissement, sous la forme de fonds régionaux. Monsieur le Ministre, ce projet sera bientôt examiné dans notre hémicycle. Pouvez-vous indiquer précisément à la représentation nationale les objectifs de cette banque publique et les moyens dont elle disposera, de cette banque qui marque le retour de la puissance publique dans l’économie après trop d’années de laissez-faire ? 

M. le Président. La parole est à M. le Ministre de l’Economie et des Finances.

M. Pierre Moscovici, ministre de l’économie et des finances. Monsieur le Député, je préfère, je l’avoue, cette façon-là d’aborder la question de la compétitivité. Il nous faut nous comparer avec nos partenaires allemands. Quelle est la force de l’Allemagne ? Quel est le chaînon manquant dans l’économie française ? Ce sont ces petites et moyennes entreprises, ces petites et moyennes industries, ces entreprises de taille intermédiaire qui parviennent à innover, à embaucher, à exporter. C’est vrai, elles souffraient, elles souffrent encore d’un problème, parmi d’autres, qui est un problème de financement. Tous, ici, sur tous les bancs, nous connaissons des entreprises qui en souffrent. C’est à cela que le premier engagement du Président de la République François Hollande veut, et va, répondre.

La Banque publique d’investissement, ce sera d’abord la banque des petites et moyennes entreprises, celle auprès de laquelle elles pourront trouver les prêts, les garanties et les apports en fonds propres dont elles ont besoin. Elle sera un acteur global. Ce sera la banque des régions, car celles-ci, car nos territoires seront associés à sa gouvernance, et c’est sur le terrain, dans les territoires, que 90 % des décisions seront prises. La Banque publique d’investissement, ce sera aussi l’outil de la stratégie industrielle du Gouvernement et de l’État, puisqu’elle intégrera le Fonds stratégique d’investissement. Enfin, cette banque publique, ce ne sera pas une banque comme les autres. Ce sera un investisseur patient, un investisseur de long terme, pas un investisseur avide qui recherche des taux de rentabilité exorbitants. Bien sûr, il faudra être bon gestionnaire, mais sans, pour autant, privilégier le court terme et la rentabilité excessive.

J’entends, ici et là, des critiques qui sont faites à la BPI par ceux qui nous ont laissé un certain nombre de dossiers bancaires – je pense à Dexia et au Crédit immobilier de France – et qui viendraient nous donner des leçons de bonne gestion. Je leur réponds que c’est un outil patriotique autour duquel tout le monde doit se rassembler.

Réponse à Messieurs Rousselot et Holveck

En attendant la possibilité d’exercice d’un droit de réponse, je voudrais repréciser les choses à Messieurs Rousselot et Holveck (porteur d’eau grassement payé pour cela)…

M’accuser d’augmenter la taxe sur les spectacles parce qu’ils ne m’invitent pas est une médiocre mesquinerie qui malheureusement devient récurrente. Pendant ce temps-là ils ne répondent pas de l’utilisation de fonds publics pour l’intérêt privé, ils ne parlent pas de leurs erreurs de recrutement depuis plusieurs années, ils n’évoquent pas leurs performances sportives affligeantes depuis si longtemps et en particulier depuis qu’ils ont fait le choix d’installer une pelouse synthétique. En effet depuis, les résultats du club à domicile sont catastrophiques et dans le même temps leurs « amitiés particulières » avec certains élus de la droite Rossinienne ont permis de faire que la Communauté Urbaine du Grand-Nancy a pris à sa charge la pelouse synthétique. Ce sont donc vos impôts qui paient le joujou de Monsieur Rousselot. Si je réagis, c’est qu’ils s’acharnent contre moi (personne n’est dupe, la droite de Rossinot est derrière cela. Je les dérange parce que je gagne les élections). Il faut bien de temps en temps dire les vérités avec les moyens de communication que l’on a !

Bientôt, ces gens-là vont m’accuser d’être responsable de leurs résultats sportifs plus que médiocres ! 

Alors voilà des explications, sachez que si ces gens-là me vouent une haine terrible, moi je ne leur en veux pas, je les plains. Je soutiens l’ASNL, les joueurs, leur excellent entraîneur et j’espère que le club sauvera sa place en L1. Comme l’an dernier, j’irai une ou deux fois au stade dans ma bonne ville de Tomblaine, en populaire, au milieu de mes amis supporters et je paierai ma place avec plaisir. Car j’ai la chance de pouvoir m’offrir ce luxe.

Je voudrais juste poser quelques questions : quel est le salaire de M. Holveck ? A quoi sert-il ? Paie-t-il sa place ? Quelle est la réalité de l’argent investi dans ce club en fonds personnels propres (et non sur le dos d’entreprises ou sur fonds publics) ? A-t-on évalué les avantages en nature ou avantages divers reçus par MM. Rousselot et Holveck ? Quand rendra-t-on public tout le budget du club ?

Si vous voulez parler, parlons. Mais parlons publiquement et en toute clarté !

Hervé FERON,

Maire de Tomblaine

Député de Nancy

Droit de réponse :

 

M. Holveck, et à travers lui M. Jacques Rousselot, Président de l’AS Nancy-Lorraine, ont récemment émis des déclarations agressives via les médias contre Hervé FERON. Ces gens-là lui en veulent terriblement car il s’est beaucoup engagé contre l’agrandissement du stade Marcel Picot il y a deux ans, dénonçant par là même les tromperies et petits arrangements entre amis. Or en tant qu’élu le rôle d’Hervé FERON est de défendre l’intérêt public. C’est la ligne que le Député a toujours tenu.

Hervé FERON affirme qu’il est faux de dire que la taxe sur les spectacles avait été augmentée par mesures de représailles, parce qu’il ne serait plus invité aux matches de l’ASNL. Ce sont des arguments stupides et infantiles. Le député-maire a été invité à tous les matches l’an dernier et n’a jamais utilisé ces invitations. Il est allé deux fois assister aux matches en populaire, en payant sa place. Par contre, Hervé FERON affirme que l’ASNL fonctionne de manière clanique avec la droite nancéenne en invitant systématiquement en VIP M. ROSSINOT, sa famille, ses amis, M. DUFRAISSE, les membres de droite de l’agglomération, et plus du tout le maire de la ville concernée, ce qui peut à juste titre poser question.

L’ASNL tente de diaboliser Hervé FERON pour régler ses comptes. Une connaissance des fonctionnements démocratiques de notre République ferait dire aux dirigeants que ce n’est pas le Maire qui a décidé d’augmenter la taxe sur les spectacles, mais le Conseil Municipal de Tomblaine par 26 voix sur 29 qui a pris cette décision. L’augmentation de la taxe sur les spectacles de 8 à 12%, devrait faire progresser la recette communale de 30 à 40 000 euros. En effet, la taxe sur les spectacles en 2011 a rapporté 180 000 euros sur la base de 8%. Donc passer de 8 à 12% signifierait un ajout 90 000 euros. Or, les prévisions en fonction de la baisse des recettes due aux mauvais résultats récurrents de l’ASNL laissent à penser que ce ne serait pas 90 000 euros de plus mais 50 000 euros. Or, par ailleurs, la somme de base qui était 180 000 euros va elle-même diminuer. Le Député tient le pari que cette augmentation de la taxe sur les spectacles fera progresser les recettes de 180 000 à 210 000 euros environ. Hervé FERON propose de comparer cette somme de 30 000 euros au budget global de l’AS Nancy-Lorraine (y compris les subventions et aides diverses en nature) ou encore de comparer ces 30 000 euros aux salaires de certains dirigeants de l’ASNL.

Cette augmentation de la taxe sur les spectacles a été justifiée le soir du Conseil Municipal par un besoin de recettes supplémentaires dans un contexte où depuis plus de 25 ans la Communauté Urbaine du Grand-Nancy de droite empêche le développement et donc les recettes sur Tomblaine. C’est ainsi que la commune de Tomblaine accueille sur une grande partie de sa superficie des infrastructures qui ne portent d’ailleurs pas son nom, par mépris, et qui ne contribuent pas au rayonnement de la ville. En termes de recettes, elles ne rapportent pas un centime d’euro. Si à la place de ces infrastructures se trouvaient des logements, la commune percevrait de la taxe d’habitation ou de l’impôt foncier qui permettraient de répondre avec une plus grande aisance aux nombreuses dépenses de solidarité qui lui incombent alors que structurellement la précarité de la ville de Tomblaine est organisée par le manque de recettes programmé. Le député rappelle que la loi prévoit qu’un tiers de la recette perçue par la taxe sur les spectacles doit être versée au CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) pour des dépenses de solidarité. C’est bien évidemment le cas à Tomblaine.

La décision du Conseil Municipal de Tomblaine d’augmenter de 8 à 12% la taxe sur les spectacles est donc une décision sage et responsable pour garantir les équilibres budgétaires de la ville. Toute personne qui verrait là un règlement de compte ou une agression quelconque se tromperait ou serait tout simplement malveillante à l’égard des élus tomblainois.

Hervé FERON souhaite sincèrement une excellente saison sportive à l’AS Nancy-Lorraine.

50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !



 

Dossier n° 1 – octobre 2012

Dépenses pour rayonnement culturel, ou pour financement de campagne ?

Ou chronique pour un mélange des genres CUGN/Ville de Nancy…

A l’heure où les habitants de l’agglomération nancéienne s’apprêtent douloureusement à régler leur taxe d’habitation et taxe foncière, ils seront sans doute heureux d’apprendre comment le principal artisan de leur malheur, le Maire de Nancy et sa gestion municipale dispendieuse, dépense leur argent. 

Il offre par exemple de très beaux cadeaux aux élus et aux notables du Grand Nancy. Préparant sans nul doute les prochaines échéances électorales, il vient d’adresser aux élus un somptueux ouvrage broché en 408 pages, illustré et sur papier glacé portant sur Jean Prouvé.

Sur le cadeau figure (délicatesse, quand tu nous tiens !) le prix de vente, annoncé à 49 euros. 

L’intérêt majeur de l’artiste, constructeur, designer et humaniste lorrain Jean Prouvé n’est bien sûr plus à démontrer. Que Monsieur Rossinot soit soucieux du bon plaisir et de la culture générale des grands-élus nous réconforte…, bien qu’il eût peut-être mieux valu adresser l’ouvrage aux centres de documentation scolaires pour instruire des écoliers davantage nécessiteux… Mais que le luxueux cadeau aux élus soit accompagné de la signature de son adjoint à la Culture et dauphin putatif, Laurent Hénart, signe d’emblée sa vocation électoraliste. 

L’envoi est accompagné d’une lettre à en-tête « Communauté Urbaine du Grand Nancy/Ville de Nancy », signée là aussi par le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, par une de ses vice-présidentes, un peu alibi en la matière, et par… Laurent Hénart, en tant qu’adjoint au Maire de Nancy délégué à la Culture. 

Si la CUGN tient tant à s’associer à la politique culturelle de l’hypercentre nancéien, ne serait-il pas judicieux qu’elle aide par ailleurs financièrement la ville de Vandœuvre à racheter pour sauvegarder l’église Saint François d’Assise, œuvre d’Henri Prouvé (le petit frère !) ?

Voilà qui pose questions : combien d’ouvrages préfacés par Messieurs Rossinot et Hénart ont ainsi été édités ? Qui a payé l’ouvrage et sa généreuse expédition ? Qui a décidé de l’envoi et de son financement ? Est-il acceptable que la politique culturelle de l’agglomération nancéienne soit aussi souvent inféodée au rayonnement de sa ville-phare, Nancy ? Est-il recevable que le Maire de Nancy joue ainsi de son cumul d’activités et de sa toute puissance, Maire de Nancy d’une part et Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy d’autre part, pour préparer les prochaines échéances électorales ? Il est bien des domaines où le cumul des fonctions favorise la collusion d’intérêt si l’on n’y prend garde…

Précisions…

Dans la presse locale, on remarque quelques erreurs récurrentes, alors comme vous êtes très nombreux à consulter ce site (bientôt 100.000 visites en 5 mois !), nous apportons parfois quelques précisions…

1) Pour une fois, il y a un article en rubrique « Tomblaine »! C’est de plus en plus rare.

Article plutôt bien fait sur la soirée de mardi 16 octobre. Il a juste été oublié de préciser que l’organisateur de la soirée est l’association « Aux Actes Citoyens » ! On se demande bien pourquoi cet oubli ? 

Les nombreux bénévoles de l’association apprécieront.

 

2) Et puis à la une du journal local et en deuxième page, on a droit à deux photos et un article sur la sécurité autour du match de foot Nancy-Sochaux. Jamais le mot « Tomblaine » n’est écrit ! Tout est situé à Picot ! Comme si le mot « Tomblaine » était un gros mot…

Pourtant on parle des nuisances du stade et les riverains les plus immédiats sont bien Tomblainois ! Parlez-en avec les habitants du « chardon rouge » ou de la rue Louise Michel !

Et, dans la série « les copinages ça continue », dans l’article (et en photo !) c’est Pensalfini qui est cité… comme maire de Saint-Max ! (cherchez l’erreur). Il n’a aucune légitimité à être là, même comme Vice-Président de la CUGN, puisqu’il n’a pas la compétence des grands équipements. Tiens, tiens, où est passé son « ami » Michel Dufraisse ? 

Un compte-rendu correct aurait situé ce stade à Tomblaine, belle petite ville en devenir de l’agglomération et c’est Jean-Pierre Laurency qui aurait été cité, Conseiller Général et Premier Adjoint au Maire de Tomblaine. Jean-Pierre Laurency avait été désigné par le Maire de Tomblaine pour le représenter. Car c’est toujours le Maire de Tomblaine qui participe à ce GLTD à l’invitation de Monsieur le Procureur et c’est toujours le Maire de Tomblaine qui a le pouvoir de police à l’extérieur du stade. N’en déplaise à ceux qui bafouent la démocratie. A la lecture de cet article, une fois encore, les Tomblainois apprécieront la façon dont ils sont méprisés.

Grande soirée Aux Actes Citoyens/NJP

L’association Aux Actes Citoyens a organisé, dans le cadre des concerts NJP décentralisés, une soirée gospel de grande qualité, ce mardi 16 octobre. 

La salle Léo Ferré de l’espace Jean Jaurès était pleine à craquer pour recevoir le groupe américain de gospel Voices of Distinction. Quatre chanteuses de grand talent, accompagnées par trois musiciens, tous Américains. Une particularité est que deux des chanteuses sont cousines, et les deux autres chanteuses sont leurs filles respectives. Elles ont bien sûr mis le feu avec les chants traditionnels du gospel, et le public s’est levé, tapait dans les mains, chantait.

Les quatre chanteuses de gospel américaines.

Mais en première partie, une surprise était proposée au public, avec Johanna Jacques-Sébastien, jeune Tomblainoise à la voix remarquable. Sur la première chanson, elle s’accompagne au piano. Elle a appris la musique à l’école de musique Tempo de Tomblaine. Et puis progressivement, ses trois copines entrent sur scène : Myriam, 18 ans, qui l’accompagne au piano et qui fait les voix, Amélie, 22 ans, qui joue de l’alto, qui fait également les voix, et Aliya, 15 ans, qui est choriste. 

Ça a été un grand moment de bonheur partagé. Le public était scotché par la qualité de ces jeunes Tomblainoises.

Johanna et ses trois amies

Johanna et ses amies ont assuré avec talent la première partie du spectacle.

Encore plus surprenant, la transition entre la première et la deuxième partie puisque, quand Johanna a entamé Oh Happy Day !, les quatre chanteuses de Voices of Distinction et leurs musiciens sont entrés sur scènes, et ont interprété le morceau avec les quatre Tomblainoises. Magique ! 

La prochaine soirée Aux Actes Citoyens aura lieu le 15 novembre, à l’occasion de la sortie du Beaujolais nouveau. C’est Caroline Loeb qui interprètera son spectacle : « Mistinguett, Madonna et moi ». Réservations à l’espace Jean Jaurès, au 03.83.33.27.50.

Le groupe "Voices of Distinction"

Le « Oh Happy Day », chanté par les Tomblainoises et les Américaines.

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