Agir pour vous et avec vous

Jour : 19 novembre 2012 (Page 1 de 2)


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


Dossier n° 4 – 19 novembre 2012

Les piscines.

Alors qu’il n’y a pas si longtemps encore, le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy voulait dilapider les finances publiques dans des projets qui n’auraient profité qu’au privé, avec par exemple un agrandissement inconsidéré du stade Marcel Picot à Tomblaine qui aurait contribué à surendetter la CUGN, nous pensons qu’il vaudrait mieux investir mieux, moins s’endetter, et ne rechercher que l’intérêt public. Par exemple, le magazine « Avenir » de la Communauté Urbaine consacre un supplément de huit pages d’autosatisfaction concernant le pôle aquatique. A lire ces pages couleurs, tout va bien dans le meilleur des mondes. Il n’y est pas dit la grogne des Grands Nancéiens qui ne peuvent pas accéder aux piscines, faute de créneaux disponibles. Il n’y est pas dit la grogne des Grands Nancéiens, suite à la décision subite d’explosion des tarifs des abonnements, sur laquelle le Grand Nancy est revenu, grâce à la pression des élus d’opposition, des usagers, et de la presse. Mais cela dit, si le Grand Nancy est revenu sur cette augmentation des tarifs, il y est revenu provisoirement et partiellement…

Il n’est pas dit dans ce superbe supplément que la piscine de Laneuveville, située en zone inondable, a été fermée à plusieurs reprises pour des travaux inconsidérés de remise en état, et qu’il aurait mieux fallu en fabriquer une autre en zone non inondable. Il n’y est pas dit que la piscine du Lido à Tomblaine a été sinistrée par un accident météorologique très rare qui n’a rien à voir avec la zone inondable de Laneuveville-devant-Nancy (j’apporte cette précision, car le maire de Laneuveville, qui n’est pas à une contradiction près, n’a pas hésité en Conseil de Communauté à comparer les deux situations). Et surtout, il n’y est pas dit que le Maire de la ville concernée, Tomblaine, doit lire attentivement le magazine « Avenir », à la gloire du Président de la CUGN, pour avoir toutes les informations nécessaires sur le chantier de rénovation qui se profile, sur le budget prévu pour cela, sur l’état de la catastrophe constatée, ou encore sur la durée des travaux. 

Régulièrement, les usagers assez naïfs pour croire qu’il y a encore un peu de démocratie dans cette Communauté Urbaine interrogent le Maire de Tomblaine pour savoir quand rouvrira cette piscine, mais le Maire de Tomblaine n’est pas informé par la Communauté Urbaine…

Le mensonge réside dans la phrase suivante : « Avec neuf piscines dans l’agglomération, le Grand Nancy propose une offre de proximité de qualité aux usagers pour un bassin de 30 000 habitants, contre un pour 45 000 en moyenne à l’échelle nationale ». En effet, entre les réparations récurrentes de la piscine de Laneuveville, les mois de fermeture de la piscine de Vandœuvre, la catastrophe de la piscine du Lido, les travaux d’embellissement de la piscine ronde à Nancy, et les fermetures pour vidanges régulières ici et là, il y a bien longtemps que la Communauté Urbaine du Grand Nancy n’a pas eu 9 piscines en fonctionnement en même temps !

Peut-être n’est-ce qu’une erreur de formulation ? Peut-être ont-ils voulu parler de neuf piscines à la disposition des Grands Nancéiens… les unes après les autres.

  

Nos propositions :

Plus sérieusement, il manque au moins deux piscines sur le Grand Nancy, dans l’hypothèse où toutes les autres fonctionneraient :

–           Une première piscine à destination surtout des scolaires. En effet, les enfants des écoles du Grand Nancy ne disposent pas suffisamment de créneaux pour pratiquer la natation dans de bonnes conditions. Imaginez par exemple, que des petits ont un créneau d’une heure dans lequel ils doivent : entrer dans les vestiaires, se changer collectivement, puis aller dans le bassin avec toute l’appréhension qu’il peut y avoir pour une telle activité, profiter de moins d’une demi-heure de séance collective de natation, puis ressortir pour se sécher et se rhabiller, toujours collectivement, sous la pression de l’employé communautaire qui ne tolèrera pas que les vestiaires soient occupés une minute de plus que le temps qui est imparti. Il manque donc une piscine pour les créneaux scolaires, à construire dans l’agglomération nancéienne. Cela doit être une priorité. Les piscines coûtent cher, comme l’éducation des enfants, c’est un vrai choix.

–           Il manque ensuite une seconde piscine, ludique, type Aquadrome, il est en effet impensable qu’une agglomération comme Nancy ne dispose pas d’un tel équipement. Le public potentiel sur le bassin de vie de la Communauté Urbaine est beaucoup plus important en termes d’attractivité que celui de la région d’Amnéville. Il y a là un coup important qui pourrait faire l’objet de projets ambitieux à partager avec des investisseurs privés, et la plaine Flageul à Tomblaine est un endroit rêvé pour développer de telles activités. Il suffit de se mettre au travail et de partager les projets dans l’intérêt public, ce qui n’est pas le cas pour l’instant !


50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


Dossier n° 4 – 19 novembre 2012

Les piscines.

Alors qu’il n’y a pas si longtemps encore, le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy voulait dilapider les finances publiques dans des projets qui n’auraient profité qu’au privé, avec par exemple un agrandissement inconsidéré du stade Marcel Picot à Tomblaine qui aurait contribué à surendetter la CUGN, nous pensons qu’il vaudrait mieux investir mieux, moins s’endetter, et ne rechercher que l’intérêt public. Par exemple, le magazine « Avenir » de la Communauté Urbaine consacre un supplément de huit pages d’autosatisfaction concernant le pôle aquatique. A lire ces pages couleurs, tout va bien dans le meilleur des mondes. Il n’y est pas dit la grogne des Grands Nancéiens qui ne peuvent pas accéder aux piscines, faute de créneaux disponibles. Il n’y est pas dit la grogne des Grands Nancéiens, suite à la décision subite d’explosion des tarifs des abonnements, sur laquelle le Grand Nancy est revenu, grâce à la pression des élus d’opposition, des usagers, et de la presse. Mais cela dit, si le Grand Nancy est revenu sur cette augmentation des tarifs, il y est revenu provisoirement et partiellement…

Il n’est pas dit dans ce superbe supplément que la piscine de Laneuveville, située en zone inondable, a été fermée à plusieurs reprises pour des travaux inconsidérés de remise en état, et qu’il aurait mieux fallu en fabriquer une autre en zone non inondable. Il n’y est pas dit que la piscine du Lido à Tomblaine a été sinistrée par un accident météorologique très rare qui n’a rien à voir avec la zone inondable de Laneuveville-devant-Nancy (j’apporte cette précision, car le maire de Laneuveville, qui n’est pas à une contradiction près, n’a pas hésité en Conseil de Communauté à comparer les deux situations). Et surtout, il n’y est pas dit que le Maire de la ville concernée, Tomblaine, doit lire attentivement le magazine « Avenir », à la gloire du Président de la CUGN, pour avoir toutes les informations nécessaires sur le chantier de rénovation qui se profile, sur le budget prévu pour cela, sur l’état de la catastrophe constatée, ou encore sur la durée des travaux. 

Régulièrement, les usagers assez naïfs pour croire qu’il y a encore un peu de démocratie dans cette Communauté Urbaine interrogent le Maire de Tomblaine pour savoir quand rouvrira cette piscine, mais le Maire de Tomblaine n’est pas informé par la Communauté Urbaine…

Le mensonge réside dans la phrase suivante : « Avec neuf piscines dans l’agglomération, le Grand Nancy propose une offre de proximité de qualité aux usagers pour un bassin de 30 000 habitants, contre un pour 45 000 en moyenne à l’échelle nationale ». En effet, entre les réparations récurrentes de la piscine de Laneuveville, les mois de fermeture de la piscine de Vandœuvre, la catastrophe de la piscine du Lido, les travaux d’embellissement de la piscine ronde à Nancy, et les fermetures pour vidanges régulières ici et là, il y a bien longtemps que la Communauté Urbaine du Grand Nancy n’a pas eu 9 piscines en fonctionnement en même temps !

Peut-être n’est-ce qu’une erreur de formulation ? Peut-être ont-ils voulu parler de neuf piscines à la disposition des Grands Nancéiens… les unes après les autres.

  

Nos propositions :

Plus sérieusement, il manque au moins deux piscines sur le Grand Nancy, dans l’hypothèse où toutes les autres fonctionneraient :

–           Une première piscine à destination surtout des scolaires. En effet, les enfants des écoles du Grand Nancy ne disposent pas suffisamment de créneaux pour pratiquer la natation dans de bonnes conditions. Imaginez par exemple, que des petits ont un créneau d’une heure dans lequel ils doivent : entrer dans les vestiaires, se changer collectivement, puis aller dans le bassin avec toute l’appréhension qu’il peut y avoir pour une telle activité, profiter de moins d’une demi-heure de séance collective de natation, puis ressortir pour se sécher et se rhabiller, toujours collectivement, sous la pression de l’employé communautaire qui ne tolèrera pas que les vestiaires soient occupés une minute de plus que le temps qui est imparti. Il manque donc une piscine pour les créneaux scolaires, à construire dans l’agglomération nancéienne. Cela doit être une priorité. Les piscines coûtent cher, comme l’éducation des enfants, c’est un vrai choix.

–           Il manque ensuite une seconde piscine, ludique, type Aquadrome, il est en effet impensable qu’une agglomération comme Nancy ne dispose pas d’un tel équipement. Le public potentiel sur le bassin de vie de la Communauté Urbaine est beaucoup plus important en termes d’attractivité que celui de la région d’Amnéville. Il y a là un coup important qui pourrait faire l’objet de projets ambitieux à partager avec des investisseurs privés, et la plaine Flageul à Tomblaine est un endroit rêvé pour développer de telles activités. Il suffit de se mettre au travail et de partager les projets dans l’intérêt public, ce qui n’est pas le cas pour l’instant !

L’UMP a réussi l’exploit de perdre cette année toutes ses élections, y compris la sienne !

L’UMP a réussi l’exploit de perdre cette année toutes ses élections, y compris la sienne !

43 militants et sympathisants du Parti Socialiste, qui avaient participé à la campagne des législatives pour Hervé Féron, ont été invités à visiter l’Assemblée Nationale, il y a une quinzaine de jours, par le député Hervé Féron. Après quoi, ils avaient eu l’occasion de participer à deux émissions de télévision de Canal Plus.

La visite du 31 octobre 2012.


Vendredi, le député leur a proposé de se retrouver à Villers-lès-Nancy pour partager le verre de l’amitié mais avant cela, il a répondu à toutes les questions concernant l’activité du député, ou sur le fonctionnement de l’Assemblée Nationale en règle générale.

La réunion a été introduite par Pascal Jacquemin, maire de Villers, puis une longue discussion s’est engagée sous la forme de questions/réponses.

Un point a été beaucoup discuté : celui qui concerne le non cumul des mandats. Le débat a été très serein. Et de façon très claire, l’ensemble des militants présents ont semblé d’accord avec la position d’Hervé Féron, qui est également partagée par un nombre croissant de députés socialistes à l’Assemblée. A savoir : il faut arrêter de désigner les cumulards de façon péjorative, les élus qui cumulent deux mandats ont été élus pour cela, et n’ont rien usurpé. Il serait dangereux pour la démocratie d’avoir un jour une Assemblée Nationale composée uniquement de députés, qui ne soient que députés. Cela donnerait une Assemblée composée de notables parisianistes, et d’apparatchiks, pour chacun des partis représentés. Ce n’est pas ce que nous voulons.

La bonne solution semblerait être :

–          Possibilité de cumuler un mandat de parlementaire avec un mandat de maire de petite ville (le plafond de l’association des Petites Villes de France, 20 000 habitants, pourrait être retenu).

–          Impossibilité de cumuler un mandat de parlementaire avec celui de président de conseil régional, de conseil général, ou d’intercommunalité, ou maire de grande ville.

–          Impossibilité de cumuler également avec certaines présidences (de SDIS, de conseils d’administration, etc.).

–          Impossibilité de cumuler avec certaines professions.

Tout le monde s’est entendu à penser qu’il est souhaitable d’avoir un débat serein et d’arrêter de tomber dans le dogme.

Avec Pascal Jacquemin, maire de Villers

Pascal Jacquemin, Maire de Villers, a accueilli les militants et sympathisants lors de cette soirée.

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