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Mois : décembre 2014 (Page 8 de 12)

Officialisation de la convention de mécénat entre la Banque Alimentaire de Nancy et la Fondation Orange

Ce vendredi en fin de matinée, la Banque Alimentaire de Nancy et la Fondation Orange ont officialisé la signature d’une convention de mécénat dans les locaux de l’association, au Marché de Gros à Vandoeuvre.

La Fondation Orange mettra à disposition de la Banque Alimentaire une collaboratrice à temps partiel durant trois ans, en charge de la communication de l’association. L’aide apportée par la Fondation Orange permettra à la Banque Alimentaire de continuer son travail remarquable contre la précarité, qui ne se limite pas à la récupération de denrées alimentaires mais vise à favoriser plus globalement l’inclusion sociale des personnes en situation de fragilité.

Sensible au dévouement considérable des salariés et des bénévoles de la Banque Alimentaire, Hervé Féron a décidé de lui octroyer une somme de 8.000 euros au titre de la réserve parlementaire 2015. Cette subvention permettra de participer à l’acquisition de neuf chambres froides ainsi qu’au transfert des équipements réfrigérants de l’association vers ses nouveaux locaux.

Les bâtiments actuels n’étant plus adaptés à l’activité de la Banque Alimentaire, la Communauté Urbaine a décidé de mettre à disposition de nouveaux locaux, garantissant une meilleure sécurité du personnel et des volontaires. Jean-François Husson et Jean-Pierre Dessein étaient présents à cette cérémonie, représentant le Grand Nancy.

Nicole Creusot représentait le Conseil Général, qui contribue au fonctionnement de la Banque Alimentaire par le versement d’une aide substantielle.

La Banque Alimentaire est également très attentive à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Hervé Féron rappelle qu’il est fier d’avoir cosigné la Proposition de Loi astreignant les grandes surfaces à proposer leurs invendus alimentaires à des associations caritatives. Il souhaite d’ailleurs faire une proposition importante : ne pourrait-on pas inclure ces dispositions visant à obliger les magasins de commerce de détail de plus de 1.000 m² à proposer leurs denrées invendues mais encore consommables dans le projet de loi sur l’activité et la croissance, dite « loi Macron » ?

 

 

Réaction de la directrice d’une coopérative bio à l’article sur la restauration scolaire de Tomblaine

Suite à l’article où je m’indignais de la méthode utilisée pour le contrôle intempestif de la restauration scolaire de Tomblaine, la directrice de la Coopérative Bio « Paysan Bio Lorraine » a souhaité réagir. Elle a écrit au journal pour témoigner. Voici un extrait de son courrier :

 

« Bonjour Monsieur,

Suite à l’article paru le 09 déc sous le titre « les pieds dans le plat », je souhaiterais voir s’il est possible vous faire part, et de faire partager à vos lecteurs, mon étonnement et ma surprise.

En effet, depuis maintenant presque 5 ans, les cuisines de Tomblaine (restaurant scolaire Léo Lagrange et Foyer de personnes âgées Marcel Grand clerc) sont engagées dans une importante dynamique d’approvisionnement en  aliments  issus de l’agriculture biologique lorraine. Tous les 10 jours les convives bénéficient d’un repas Bio dont la majorité des composants viennent de fermes Bio du secteur. Cette dynamique se répercute économiquement sur le territoire puisque, pour Paysan Bio Lorrain, cela  représente environ 20 000€ de vente cette année.

L’organisation logistique de notre coopérative permet d’assurer une seule livraison pour bien sûr limiter les pollutions liées au transport. Par exemple ce lundi 8 décembre, nous avons livré des compotes Pommes Mirabelle qui venait de Cousancelles (Dépt 55), de la viande bio abattue à Mirecourt et  découpée à saint Nabord (88) et du fromage fabriqué et affiné à Reillon (54).

Quel dommage que les JA et la FDSEA  ne fassent pas état de la présence de ces produits ce lundi !!!! A croire que  les produits bio lorrains, pourtant livrés au moment même où ils étaient présents en cuisine, soient restés invisibles à leurs yeux….

Pour nous l’expérience menée à Tomblaine mérite d’être valorisée et pourrait servir d’exemple pour d’autres collectivités qui s’interrogent toutes sur la manière la plus pragmatique de se rapprocher de leur agriculture locale. »

 

Je remercie cette dame pour son témoignage spontané et courageux. A partir de cela, chacun jugera.

Hervé FERON

 

Réaction de la directrice d’une coopérative bio à l’article sur la restauration scolaire de Tomblaine

Suite à l’article où je m’indignais de la méthode utilisée pour le contrôle intempestif de la restauration scolaire de Tomblaine, la directrice de la Coopérative Bio « Paysan Bio Lorraine » a souhaité réagir. Elle a écrit au journal pour témoigner. Voici un extrait de son courrier :

 

« Bonjour Monsieur,

Suite à l’article paru le 09 déc sous le titre « les pieds dans le plat », je souhaiterais voir s’il est possible vous faire part, et de faire partager à vos lecteurs, mon étonnement et ma surprise.

En effet, depuis maintenant presque 5 ans, les cuisines de Tomblaine (restaurant scolaire Léo Lagrange et Foyer de personnes âgées Marcel Grand clerc) sont engagées dans une importante dynamique d’approvisionnement en  aliments  issus de l’agriculture biologique lorraine. Tous les 10 jours les convives bénéficient d’un repas Bio dont la majorité des composants viennent de fermes Bio du secteur. Cette dynamique se répercute économiquement sur le territoire puisque, pour Paysan Bio Lorrain, cela  représente environ 20 000€ de vente cette année.

L’organisation logistique de notre coopérative permet d’assurer une seule livraison pour bien sûr limiter les pollutions liées au transport. Par exemple ce lundi 8 décembre, nous avons livré des compotes Pommes Mirabelle qui venait de Cousancelles (Dépt 55), de la viande bio abattue à Mirecourt et  découpée à saint Nabord (88) et du fromage fabriqué et affiné à Reillon (54).

Quel dommage que les JA et la FDSEA  ne fassent pas état de la présence de ces produits ce lundi !!!! A croire que  les produits bio lorrains, pourtant livrés au moment même où ils étaient présents en cuisine, soient restés invisibles à leurs yeux….

Pour nous l’expérience menée à Tomblaine mérite d’être valorisée et pourrait servir d’exemple pour d’autres collectivités qui s’interrogent toutes sur la manière la plus pragmatique de se rapprocher de leur agriculture locale. »

 

Je remercie cette dame pour son témoignage spontané et courageux. A partir de cela, chacun jugera.

Hervé FERON

 

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