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Mois : juin 2015 (Page 8 de 11)

La Commission des Affaires Culturelles et de l’Education de l’Assemblée Nationale a reçu le mercredi 3 juin dernier une délégation de la Commission de la Culture et des Médias du Bundestag.

Une visite qui a permis aux députés français et à leurs homologues allemands de travailler ensemble sur les questions de la diversité culturelle et de l’avenir des droits d’auteur dans l’Union Européenne, avant de prendre la pose devant le Palais Bourbon.

 

 

La Commission des Affaires Culturelles et de l’Education de l’Assemblée Nationale a reçu le mercredi 3 juin dernier une délégation de la Commission de la Culture et des Médias du Bundestag.

Une visite qui a permis aux députés français et à leurs homologues allemands de travailler ensemble sur les questions de la diversité culturelle et de l’avenir des droits d’auteur dans l’Union Européenne, avant de prendre la pose devant le Palais Bourbon.

 

 

Aujourd’hui a été adopté en commission spéciale examinant le Projet de loi « Croissance et activité » un amendement que j’avais déposé dans le but de protéger une offre cinématographique équilibrée et de qualité sur l’ensemble du territoire français.

D’aspect relativement technique, cet amendement concernait le seuil au-delà duquel il est nécessaire, pour tout projet de création ou d’agrandissement d’un établissement cinématographique, de demander une autorisation à une Commission départementale d’aménagement cinématographique. Fixé à 300 fauteuils par cinéma en 2003, ce seuil avait été relevé à 600 fauteuils par la droite sénatoriale, menaçant fortement le dispositif de régulation des implantations des cinémas.  

En effet, le seuil de 300 fauteuils est un mécanisme considéré comme protecteur pour ce que l’on appelle la « petite et moyenne exploitation » cinématographique ainsi que pour les salles d’art et d’essai, davantage présentes dans les cinémas de taille modeste. Mis en place il y a une dizaine d’années, ce seuil a permis d’éviter l’installation trop facile de gros complexes cinématographiques, en menant ainsi à une croissance équilibrée du parc de cinéma français.

Comme les nombreux collègues députés qui se sont associés à ma démarche, je suis persuadé qu’il nous faut protéger les mécanismes de régulation de l’aménagement cinématographique, d’autant plus que le dernier bilan du Centre National du Cinéma a montré que la tendance récente était à l’agrandissement des salles et à la diminution des établissements.

En effet, avec la régulation, c’est toute la diversité du cinéma et l’accès aux salles sur l’ensemble du territoire qu’il s’agissait de défendre, ce qui est désormais chose faite avec l’adoption de cet amendement.

 

Aujourd’hui a été adopté en commission spéciale examinant le Projet de loi « Croissance et activité » un amendement que j’avais déposé dans le but de protéger une offre cinématographique équilibrée et de qualité sur l’ensemble du territoire français.

D’aspect relativement technique, cet amendement concernait le seuil au-delà duquel il est nécessaire, pour tout projet de création ou d’agrandissement d’un établissement cinématographique, de demander une autorisation à une Commission départementale d’aménagement cinématographique. Fixé à 300 fauteuils par cinéma en 2003, ce seuil avait été relevé à 600 fauteuils par la droite sénatoriale, menaçant fortement le dispositif de régulation des implantations des cinémas.  

En effet, le seuil de 300 fauteuils est un mécanisme considéré comme protecteur pour ce que l’on appelle la « petite et moyenne exploitation » cinématographique ainsi que pour les salles d’art et d’essai, davantage présentes dans les cinémas de taille modeste. Mis en place il y a une dizaine d’années, ce seuil a permis d’éviter l’installation trop facile de gros complexes cinématographiques, en menant ainsi à une croissance équilibrée du parc de cinéma français.

Comme les nombreux collègues députés qui se sont associés à ma démarche, je suis persuadé qu’il nous faut protéger les mécanismes de régulation de l’aménagement cinématographique, d’autant plus que le dernier bilan du Centre National du Cinéma a montré que la tendance récente était à l’agrandissement des salles et à la diminution des établissements.

En effet, avec la régulation, c’est toute la diversité du cinéma et l’accès aux salles sur l’ensemble du territoire qu’il s’agissait de défendre, ce qui est désormais chose faite avec l’adoption de cet amendement.

 

Il y a quelques semaines, Hervé Féron avait été sollicité par les élèves de la classe de CM1/CM2 de l’école Saint-Sauveur de Nancy qui souhaitaient connaître son action dans le domaine du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Plutôt que de leur répondre par un simple courrier, Hervé Féron leur avait proposé de se rendre dans leur classe afin de leur expliquer tout cela de vive voix.

La rencontre s’est déroulée ce lundi matin à l’école Saint-Sauveur. A cette occasion, Hervé Féron a pu présenter le rôle du Député et surtout échanger avec les enfants sur les thématiques touchant à l’environnement car, s’il leur a donné de nombreux exemples d’interventions dans le cadre de ses fonctions de Député et de Maire, les élèves avaient également des propositions intéressantes à lui suggérer, fruit d’un travail régulier mené tout au long de l’année scolaire avec leur enseignant.

Hervé Féron et les élèves ont convenu qu’ils se tiendraient informés de l’avancement de leurs démarches respectives.

 

 

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