Agir pour vous et avec vous

Mois : juin 2015 (Page 9 de 11)

Il y a quelques semaines, Hervé Féron avait été sollicité par les élèves de la classe de CM1/CM2 de l’école Saint-Sauveur de Nancy qui souhaitaient connaître son action dans le domaine du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Plutôt que de leur répondre par un simple courrier, Hervé Féron leur avait proposé de se rendre dans leur classe afin de leur expliquer tout cela de vive voix.

La rencontre s’est déroulée ce lundi matin à l’école Saint-Sauveur. A cette occasion, Hervé Féron a pu présenter le rôle du Député et surtout échanger avec les enfants sur les thématiques touchant à l’environnement car, s’il leur a donné de nombreux exemples d’interventions dans le cadre de ses fonctions de Député et de Maire, les élèves avaient également des propositions intéressantes à lui suggérer, fruit d’un travail régulier mené tout au long de l’année scolaire avec leur enseignant.

Hervé Féron et les élèves ont convenu qu’ils se tiendraient informés de l’avancement de leurs démarches respectives.

 

 

On le sait, à Tomblaine, la jeunesse est une priorité et ce n’est pas un hasard si le club local de gymnastique sportive Rondade Salto récolte des titres et multiplie les performances chaque année puisqu’une employée municipale diplômée d’Etat intervient dans toutes les classes de toutes les écoles élémentaires. Tous les élèves de Tomblaine bénéficient donc de cours de gymnastique sportive. C’est là une véritable pépinière pour le club local.

Au mois de mai déjà, lors des championnats de France individuels à Cognac, Rondade Salto a remporté 2 titres de champion de France et 3 troisièmes places chaque fois dans la catégorie la plus élevée, les jeunes Tomblainois sont donc les meilleurs dans leur année d’âge. Ainsi, Mathis Noblet et Xavier Blaise sont devenus champions de France, Vincent Marchesi médaille de bronze, Théo Noblet également troisième en individuel et Malo Genay également médaille de bronze. Camille Hoelter, quant à lui, a participé à la finale aux arçons et aux barres parallèles, ce qui signifie qu’il figurait là parmi les 8 meilleurs gymnastes de la compétition.

Pas trop mal pour ce petit club de Tomblaine !

La semaine suivante, le week-end du 16 et 17 mai, Rondade Salto raflait 2 titres de champion de Lorraine ainsi qu’une deuxième et une troisième place.

 

Les champions de Lorraine

 

Puis, le samedi 30 mai, c’était les championnats de zone Est : deux champions et une championne de zone Est pour le club de Tomblaine. Et puis ce week-end, c’était les championnats de France par équipes à Saint-Etienne. Vendredi, Rondade Salto a été sacrée championne de France dans la catégorie benjamins-minimes et dimanche, c’est l’équipe de benjamins qui est également devenue championne de France.

 

Rondade Salto championne de France

L’équipe de benjamins-minimes championne de France

 

Rondade Salto championne de France

L’équipe de benjamins championne de France

 

Quelle moisson !!!

Le Président Denis Hoelter n’a pas l’air mécontent.

 

Rondade Salto championne de France

 

On le sait, à Tomblaine, la jeunesse est une priorité et ce n’est pas un hasard si le club local de gymnastique sportive Rondade Salto récolte des titres et multiplie les performances chaque année puisqu’une employée municipale diplômée d’Etat intervient dans toutes les classes de toutes les écoles élémentaires. Tous les élèves de Tomblaine bénéficient donc de cours de gymnastique sportive. C’est là une véritable pépinière pour le club local.

Au mois de mai déjà, lors des championnats de France individuels à Cognac, Rondade Salto a remporté 2 titres de champion de France et 3 troisièmes places chaque fois dans la catégorie la plus élevée, les jeunes Tomblainois sont donc les meilleurs dans leur année d’âge. Ainsi, Mathis Noblet et Xavier Blaise sont devenus champions de France, Vincent Marchesi médaille de bronze, Théo Noblet également troisième en individuel et Malo Genay également médaille de bronze. Camille Hoelter, quant à lui, a participé à la finale aux arçons et aux barres parallèles, ce qui signifie qu’il figurait là parmi les 8 meilleurs gymnastes de la compétition.

Pas trop mal pour ce petit club de Tomblaine !

La semaine suivante, le week-end du 16 et 17 mai, Rondade Salto raflait 2 titres de champion de Lorraine ainsi qu’une deuxième et une troisième place.

 

Les champions de Lorraine

 

Puis, le samedi 30 mai, c’était les championnats de zone Est : deux champions et une championne de zone Est pour le club de Tomblaine. Et puis ce week-end, c’était les championnats de France par équipes à Saint-Etienne. Vendredi, Rondade Salto a été sacrée championne de France dans la catégorie benjamins-minimes et dimanche, c’est l’équipe de benjamins qui est également devenue championne de France.

 

Rondade Salto championne de France

L’équipe de benjamins-minimes championne de France

 

Rondade Salto championne de France

L’équipe de benjamins championne de France

 

Quelle moisson !!!

Le Président Denis Hoelter n’a pas l’air mécontent.

 

Rondade Salto championne de France

 

M. Hervé Féron attire l’attention de M. le ministre des finances et des comptes publics sur le système des aides personnalisées au logement (APL). Créée en 1977 à l’initiative du Gouvernement Barre afin d’aider les Français à réduire le montant de leur loyer ou leur mensualité d’emprunt immobiliser, l’APL a été étendue aux étudiants en 1992 ; elle bénéficie aujourd’hui à un locataire sur deux. Ayant représenté 18 milliards d’euros en 2014, cette aide permet en moyenne de couvrir 57% du loyer, même si dans certaines zones très tendues la proportion varie à la baisse (et inversement dans des zones moins tendues). 50% des bénéficiaires des APL sont en dessous du seuil de pauvreté, c’est donc l’un des dispositifs sociaux les plus redistributifs. Or, le 4 mai dernier, au micro de la radio Europe 1, M. le Ministre des Finances a fait part de son intention de réformer le dispositif des APL, sur lequel il estimait possible de réaliser des économies, en précisant qu’il fallait « examiner les situations personnelles ». En effet, à la lecture du rapport du député socialiste François Pupponi, président du groupe de travail sur les APL, l’on s’aperçoit par exemple que certaines personnes touchant cette aide ont des parents qui possèdent plusieurs résidences. Ceci est dû au fait que l’APL bénéficie aux étudiants quel que soit leur niveau de ressources. Certaines dérives peuvent donc s’ensuivre, et remettre en question le caractère redistributif des APL pour la catégorie étudiante. Néanmoins, si nécessité de mettre fin à ces abus il y a, M. Hervé Féron estime indispensable de ne pas remettre en cause l’équilibre du dispositif des APL, qui a fait ses preuves depuis plusieurs décennies. En effet, nombre d’étudiants issus de milieux modestes mais également de classes moyennes ne pourraient accéder à un logement sans les APL, et l’Etat se doit de continuer à les aider tant qu’ils ne sont pas pleinement insérés dans la vie active et professionnelle. Au vu de ces éléments, M. Hervé Féron souhaiterait connaître plus en détails le contenu du projet de réforme des APL envisagée par le Gouvernement. Il souhaite ainsi réaffirmer son opposition à tout projet de réforme allant au-delà de la nécessité de mettre fin à ces abus, car il s’agit de ne pas pénaliser les autres jeunes – y compris ceux qui habitent à proximité du domicile familial – qui souhaitent accéder à l’autonomie.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Mme la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des Femmes sur la difficile réinsertion professionnelle des personnes victimes de cancer. Actuellement, près d’un malade du cancer sur deux a moins de 65 ans ; pour ces personnes, la question du retour à la vie active se pose donc. Les chiffres sont éloquents : trois mois après l’annonce de la maladie, seulement 24 % des personnes travaillent encore, et 75 % après 5 ans. Si lever les obstacles à la réinsertion professionnelle des personnes atteintes de cancer est l’une des mesures du Plan cancer 2014 – 2019, beaucoup reste encore à faire dans ce domaine. C’est notamment ce que constatent les femmes victimes du cancer du sein que l’association lorraine Symphonie accompagne depuis 2001 pendant et après leur maladie. Aujourd’hui, trop nombreuses sont les femmes qui ne retrouvent pas d’emploi à l’issue de leur maladie. Il arrive ainsi fréquemment qu’en leur absence, une personne soit embauchée à leur poste en contrat à durée indéterminée, alors même que c’est parfaitement illégal, laissant à l’ex-malade la possibilité de prendre une « voie de garage » ou de se contenter d’une rupture conventionnelle. Par ailleurs, plusieurs organismes n’accompagnent pas suffisamment les malades dans les démarches administratives qu’elles doivent entreprendre pendant leur arrêt maladie, les laissant souvent démunies ; par qui seront-elles payées, Caisse primaire d’assurance maladie ou entreprise ? Après avoir attiré l’attention de Mme la Ministre sur la complexité des démarches administratives devant être entreprises par les malades, M. Hervé Féron souhaiterait connaître les simplifications que le Gouvernement envisage de mettre en œuvre en la matière. Plus largement, il souhaiterait connaître les actions concrètes menées dans le cadre du nouveau Plan de lutte contre le cancer, pour améliorer le quotidien et faciliter la réinsertion sociale et professionnelle des malades et anciens malades.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de M. le ministre des finances et des comptes publics sur le système des aides personnalisées au logement (APL). Créée en 1977 à l’initiative du Gouvernement Barre afin d’aider les Français à réduire le montant de leur loyer ou leur mensualité d’emprunt immobiliser, l’APL a été étendue aux étudiants en 1992 ; elle bénéficie aujourd’hui à un locataire sur deux. Ayant représenté 18 milliards d’euros en 2014, cette aide permet en moyenne de couvrir 57% du loyer, même si dans certaines zones très tendues la proportion varie à la baisse (et inversement dans des zones moins tendues). 50% des bénéficiaires des APL sont en dessous du seuil de pauvreté, c’est donc l’un des dispositifs sociaux les plus redistributifs. Or, le 4 mai dernier, au micro de la radio Europe 1, M. le Ministre des Finances a fait part de son intention de réformer le dispositif des APL, sur lequel il estimait possible de réaliser des économies, en précisant qu’il fallait « examiner les situations personnelles ». En effet, à la lecture du rapport du député socialiste François Pupponi, président du groupe de travail sur les APL, l’on s’aperçoit par exemple que certaines personnes touchant cette aide ont des parents qui possèdent plusieurs résidences. Ceci est dû au fait que l’APL bénéficie aux étudiants quel que soit leur niveau de ressources. Certaines dérives peuvent donc s’ensuivre, et remettre en question le caractère redistributif des APL pour la catégorie étudiante. Néanmoins, si nécessité de mettre fin à ces abus il y a, M. Hervé Féron estime indispensable de ne pas remettre en cause l’équilibre du dispositif des APL, qui a fait ses preuves depuis plusieurs décennies. En effet, nombre d’étudiants issus de milieux modestes mais également de classes moyennes ne pourraient accéder à un logement sans les APL, et l’Etat se doit de continuer à les aider tant qu’ils ne sont pas pleinement insérés dans la vie active et professionnelle. Au vu de ces éléments, M. Hervé Féron souhaiterait connaître plus en détails le contenu du projet de réforme des APL envisagée par le Gouvernement. Il souhaite ainsi réaffirmer son opposition à tout projet de réforme allant au-delà de la nécessité de mettre fin à ces abus, car il s’agit de ne pas pénaliser les autres jeunes – y compris ceux qui habitent à proximité du domicile familial – qui souhaitent accéder à l’autonomie.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Mme la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des Femmes sur la difficile réinsertion professionnelle des personnes victimes de cancer. Actuellement, près d’un malade du cancer sur deux a moins de 65 ans ; pour ces personnes, la question du retour à la vie active se pose donc. Les chiffres sont éloquents : trois mois après l’annonce de la maladie, seulement 24 % des personnes travaillent encore, et 75 % après 5 ans. Si lever les obstacles à la réinsertion professionnelle des personnes atteintes de cancer est l’une des mesures du Plan cancer 2014 – 2019, beaucoup reste encore à faire dans ce domaine. C’est notamment ce que constatent les femmes victimes du cancer du sein que l’association lorraine Symphonie accompagne depuis 2001 pendant et après leur maladie. Aujourd’hui, trop nombreuses sont les femmes qui ne retrouvent pas d’emploi à l’issue de leur maladie. Il arrive ainsi fréquemment qu’en leur absence, une personne soit embauchée à leur poste en contrat à durée indéterminée, alors même que c’est parfaitement illégal, laissant à l’ex-malade la possibilité de prendre une « voie de garage » ou de se contenter d’une rupture conventionnelle. Par ailleurs, plusieurs organismes n’accompagnent pas suffisamment les malades dans les démarches administratives qu’elles doivent entreprendre pendant leur arrêt maladie, les laissant souvent démunies ; par qui seront-elles payées, Caisse primaire d’assurance maladie ou entreprise ? Après avoir attiré l’attention de Mme la Ministre sur la complexité des démarches administratives devant être entreprises par les malades, M. Hervé Féron souhaiterait connaître les simplifications que le Gouvernement envisage de mettre en œuvre en la matière. Plus largement, il souhaiterait connaître les actions concrètes menées dans le cadre du nouveau Plan de lutte contre le cancer, pour améliorer le quotidien et faciliter la réinsertion sociale et professionnelle des malades et anciens malades.

 

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