Agir pour vous et avec vous

Mois : février 2018 (Page 10 de 15)

C’est une belle façon de lancer le festival Van Jazz, qui aura lieu cette année du 25 mars au 15 avril, que ce concert donné par Barbara Bouamra, hier vendredi à la bibliothèque Jules Verne à Vandoeuvre. 
Un concert empreint de jazz, de soul, de blues, pour une salle bien remplie… Nul doute que cette année encore Van Jazz sera une grande réussite, retenez bien les dates. Et quand Nathalie Dassy est à la baguette, le programme ne peut être que de qualité.

C’est à la fois original et judicieux que de présenter un concert dans cette Médiathèque. Original, parce que presque inattendu, judicieux parce que c’est un lieu permanent de Culture pour tous et ce genre de rencontre y trouve bien sa place.
Je ressens souvent, quand je suis à Vandoeuvre, des similitudes entre Tomblaine et Vandoeuvre par leurs politiques publiques et la façon dont elles sont mises en oeuvre.
C’est peut-être aussi une caractéristique de cette agglomération que de voir se concentrer dans certaines ville de banlieue une volonté politique de vraie Culture Populaire, c’est à dire de qualité et accessible à tous, mais aussi permanente ! La Culture ne peut se contenter d’être exposée par quelques coups ponctuels hypermédiatisés. Elle doit entrer partout dans la Cité et s’offrir à la perception, à la découverte, comme à la pratique. Ce ne sont pas de beaux mots, c’est un projet de société.
La Culture n’existe que si elle est partagée, alors bien sûr, il faut la mériter, mais mais pour mieux la cueillir (ou l’acueillir), autant qu’elle soit à portée de main… C’est ce qu’il se passe à Vandoeuvre.

 

Avant, il y avait les emplois aidés (dernière dénomination : CAE). Certes ça n’était que de l’emploi précaire, mais ça permettait aux Communes et aux associations qui jouaient le jeu de proposer de l’emploi aux personnes les plus en difficulté, de la formation, et un accompagnement pour rechercher le retour à l’emploi pérenne. Cela restait de l’espoir. 

Et puis est arrivé Emmanuel Macron, son gouvernement et ses députés godillots.

En tant que Maire, au plus près de la population,  je souhaite apporter un témoignage factuel.

 

Parce que Macron ne défend l’intérêt que des banques, les pauvres il ne connait pas, il les méprise.

Son gouvernement et ses députés sont incompétents, donneurs de leçons et complètement hors sol, il ne savent pas ce que c’est qu’un pauvre. Ils ne sont là que par opportunisme et les médias sont complices.

Ce gouvernement est amateur, il fait des effets d’annonce, il présente des réformes et le lendemain matin quand il se réveille, il se demande « comment on fait ? ». Les exemples sont nombreux : suppression de la taxe d’habitation, accès au logement social, etc.

Les résultats sur le terrain, dans la vraie vie (pas celle des salons mondains), est catastrophique.

Sans aucune concertation, en septembre 2017, les Préfectures ont été missionnées pour les basses besognes : plus de CAE signés = des milliers de pauvres gens de tous âges qui attendaient, qui espéraient, se sont retrouvés du jour au lendemain sur le carreau.

De temps en temps on entend des discours édulcorés, mais surtout mensongers. Il y aura de nouveaux contrats aidés en 2018… 

Le changement c’est maintenant : ça ne s’appellera plus des CAE (grotesque, encore une idée géniale d’un technocrate de Bercy qui va nous coûter une fortune rien que dans les changements des formulaires et d’en-tête de courriers…).

Mais pour l’instant on ne sait pas comment vont s’appeller ces nouveaux contrats. On sait juste que leur nombre sera diminué par deux, que les critères d’éligibilité seront plus resserrés encore qu’avant (comment inventer le moyen de rendre la pauvreté variable d’ajustement budgétaire…) et aussi que Pôle Emploi viendra faire des contrôles sur place (décidément, c’est une obssession !). Ridicule, chacun sait que c’est impossible et que ça coûterait là aussi une fortune ! 

Macron rêverait-il d’un Etat définitivement policier pour faire taire tout ceux qui ne l’idolâtre pas ?

En attendant, quand on interroge la Préfecture pour savoir quand on pourra signer ces nouveaux contrats et qui pourra en bénéficier, il n’y a pas de réponse. Waterloo morne plaine, comme si on avait honte de porter des politiques publiques aussi minables…

Les communes, elles, sont exangues à force de baisses de dotations et de transfert de charges, on les étrangle. Les associations se voient de plus en plus couper leurs vivres. L’Etat, parce qu’il est inculte, ignore que ce sont les Communes et les associations qui sont garantes de la Cohésion Sociale, de la Solidarité et de la Fraternité dans notre pays.

Non, mais allo ? Quoi… Macron ! C’est les pauvres qu’on abandonne !!!

Avant, il y avait les emplois aidés (dernière dénomination : CAE). Certes ça n’était que de l’emploi précaire, mais ça permettait aux Communes et aux associations qui jouaient le jeu de proposer de l’emploi aux personnes les plus en difficulté, de la formation, et un accompagnement pour rechercher le retour à l’emploi pérenne. Cela restait de l’espoir. 

Et puis est arrivé Emmanuel Macron, son gouvernement et ses députés godillots.

En tant que Maire, au plus près de la population,  je souhaite apporter un témoignage factuel.

 

Parce que Macron ne défend l’intérêt que des banques, les pauvres il ne connait pas, il les méprise.

Son gouvernement et ses députés sont incompétents, donneurs de leçons et complètement hors sol, il ne savent pas ce que c’est qu’un pauvre. Ils ne sont là que par opportunisme et les médias sont complices.

Ce gouvernement est amateur, il fait des effets d’annonce, il présente des réformes et le lendemain matin quand il se réveille, il se demande « comment on fait ? ». Les exemples sont nombreux : suppression de la taxe d’habitation, accès au logement social, etc.

Les résultats sur le terrain, dans la vraie vie (pas celle des salons mondains), est catastrophique.

Sans aucune concertation, en septembre 2017, les Préfectures ont été missionnées pour les basses besognes : plus de CAE signés = des milliers de pauvres gens de tous âges qui attendaient, qui espéraient, se sont retrouvés du jour au lendemain sur le carreau.

De temps en temps on entend des discours édulcorés, mais surtout mensongers. Il y aura de nouveaux contrats aidés en 2018… 

Le changement c’est maintenant : ça ne s’appellera plus des CAE (grotesque, encore une idée géniale d’un technocrate de Bercy qui va nous coûter une fortune rien que dans les changements des formulaires et d’en-tête de courriers…).

Mais pour l’instant on ne sait pas comment vont s’appeller ces nouveaux contrats. On sait juste que leur nombre sera diminué par deux, que les critères d’éligibilité seront plus resserrés encore qu’avant (comment inventer le moyen de rendre la pauvreté variable d’ajustement budgétaire…) et aussi que Pôle Emploi viendra faire des contrôles sur place (décidément, c’est une obssession !). Ridicule, chacun sait que c’est impossible et que ça coûterait là aussi une fortune ! 

Macron rêverait-il d’un Etat définitivement policier pour faire taire tout ceux qui ne l’idolâtre pas ?

En attendant, quand on interroge la Préfecture pour savoir quand on pourra signer ces nouveaux contrats et qui pourra en bénéficier, il n’y a pas de réponse. Waterloo morne plaine, comme si on avait honte de porter des politiques publiques aussi minables…

Les communes, elles, sont exangues à force de baisses de dotations et de transfert de charges, on les étrangle. Les associations se voient de plus en plus couper leurs vivres. L’Etat, parce qu’il est inculte, ignore que ce sont les Communes et les associations qui sont garantes de la Cohésion Sociale, de la Solidarité et de la Fraternité dans notre pays.

Non, mais allo ? Quoi… Macron ! C’est les pauvres qu’on abandonne !!!

Vous vous souvenez certainement de Khadija Al Salami cette réalisatrice Yéménite et de son film « Moi Nojoom, 10 ans, divorcée ». J’avais invité Khadija à présenter son film à l’Assemblée Nationale, puis avec Najat Vallaud Belkacem nous avions reçu Khadija Al Salami au Ministère de l’Education Nationale dans le cadre des « Entretiens Jean Zay » et puis elle était venue présenter ce film le 8 mars 2016, dans le cadre de la Journée internationale des Droits des femmes, soirée organisée par l’association « Aux Actes Citoyens », à Tomblaine. Le lendemain elle présentait une nouvelle fois son film devant 200 collégiens et lycéens à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine et chaque fois ces projections ont été suivies de discussions très intéressantes avec le public. C’est l’histoire vraie du combat d’une petite fille mariée de force qui obtient le droit de divorcer et de retourner à une vie normale de petite fille, d’aller à l’école.  

Aujourd’hui, Khadija Al Salami continue son merveilleux combat, elle sera ce soir sur France 2 dans l’émission « Envoyé Spécial » à 21h.

 

Hervé Féron.

Vous vous souvenez certainement de Khadija Al Salami cette réalisatrice Yéménite et de son film « Moi Nojoom, 10 ans, divorcée ». J’avais invité Khadija à présenter son film à l’Assemblée Nationale, puis avec Najat Vallaud Belkacem nous avions reçu Khadija Al Salami au Ministère de l’Education Nationale dans le cadre des « Entretiens Jean Zay » et puis elle était venue présenter ce film le 8 mars 2016, dans le cadre de la Journée internationale des Droits des femmes, soirée organisée par l’association « Aux Actes Citoyens », à Tomblaine. Le lendemain elle présentait une nouvelle fois son film devant 200 collégiens et lycéens à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine et chaque fois ces projections ont été suivies de discussions très intéressantes avec le public. C’est l’histoire vraie du combat d’une petite fille mariée de force qui obtient le droit de divorcer et de retourner à une vie normale de petite fille, d’aller à l’école.  

Aujourd’hui, Khadija Al Salami continue son merveilleux combat, elle sera ce soir sur France 2 dans l’émission « Envoyé Spécial » à 21h.

 

Hervé Féron.

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