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Catégorie : Grand Nancy Métropole (Page 57 de 142)

Dernier Conseil de Métropole du mandat hier.
Comme prévu Rossinot avait mis en scène son départ et, comme prévu, toute sa cour s’est levée et l’a applaudi.  Un remake du dernier Conseil Municipal de Nancy. Tels des groupies décérébrés, certains se sont même tapé les deux Conseils à se pâmer devant l’idole des jaunes en une interminable tournée d’adieux.

Et, malheureusement, la presse ne semble avoir retenu que cet épisode comme un évènement marquant, alors qu‘il aurait été  plus important d’évoquer le terrible bilan que l’ensemble des Grands Nancéens devront traîner très longtemps comme un véritable boulet…

Mais cette mise en scène et les 61 délibérations à l’ordre du jour n’avaient d’autre but que de détourner l’attention. Je l’avais prédit, je vous l’avais écrit, il fallait absolument passer le sujet du bilan sous silence.

J’avais aussi prédit que le vice-président aux finances, qui a fait allégeance au monarque depuis longtemps, après lui avoir fait un brin de cour, cirage et lustrage de pompes, rappellerait « qu’entre 2014 et 2020, ils ont investi 700 millions, sans augmenter l’encours (il ne précise pas « de la dette », car il avait promis de ne pas dire le mot !) et la capacité de remboursement a légèrement diminué… » fin de citation. C’est terrible de cacher une telle situation derrière ce genre de considération… 
Explication : 1) ils ont investi 700 millions, combien de centaines de millions ont été de mauvais investissements, inutiles, sur des décisions non partagées et pour faire travailler les amis ?
2) L’encours de la dette n’aurait pas augmenté. Oui, mais durant ces 7 années budgétaires, nous avons énormément remboursé en capital comme en intérêts et si l’encours de la dette n’a pas augmenté on aurait donc pu espérer qu’il diminue d’autant, pour une Métropole qui est la plus mal classée de toutes les métropoles de France dans le rapport dette par habitant…
3) L’encours de la dette n’aurait pas augmenté, ils oublient de dire qu’ils ont voté au début de l’année 2019 des autorisations de programme qui décalent d’énormes dépenses sur les prochaines années et qui feront que nous serons tous endettés collectivement à hauteur d’un Milliard d’euros dès 2020, ce que la Métropole ne sera pas en capacité d’assumer !!!
4) Si la capacité de remboursement, comme il le dit, a légèrement diminué, ce n’est pas une bonne nouvelle ! Cela signifie que la situation s’est encore dégradée !!!

Il est gentil Pierre Boileau, c’est vraiment le mot, il est gentil (« on l’aime bien au village »), mais là, c’est carrément de l’irresponsabilité.

J’avais dit que celles et ceux qui voteraient contre ce budget 
« retrouveraient honneur et cohérence ». On peut donc se réjouir que la « gauche » (du moins s’intitulent-ils comme ça eux mêmes) ait voté contre. Même si c’est un peu tard pour tenter de donner des leçons, après s’être tus si longtemps et Avoir aussi peu travaillé… La gauche molle, quand elle s’efforce devient demi-molle, mais reste insuffisante. Ce qui étonne, c’est qu’on puisse continuer à cautionner le scandale financier du Grand Nancy Thermal, le scandale écologique de Nancy Grand Coeur (avoir laissé faire, c’est cautionner) ou encore le scandale écologique et financier du tram-balafre du jardin botanique…

Heureusement, il y a Annie Lévi Ciferman qui, elle, a toujours tenu le même discours, il y a Stéphanie Gruet, Hinde Magada qui n’ont jamais manqué de courage. 

Mais si la compromission de toute la droite n’étonnera personne, on remarquera que P. Jacquemin, le traitre de service, le Ganelon de Villers, s’est une fois de plus tristement illustré en s’abstenant ! Le Président de la Commission des Finances s’abstient sur le vote du budget, messieurs-dames ! Un monument de lâcheté et d’incompétence ! C’est effectivement Pascal Jacquemin qui m’avait dit être d’accord avec moi et mon analyse sur le dossier du Grand Nancy Thermal, mais qui m’avait confié ne pas pouvoir signer le recours au Tribunal Administratif, car il espérait que Werner embauche sa fille à la Mairie de Villers ! Désolé, mais il y a un moment où il faut dire les choses !
Et puis, celui qui décroche le pompon, c’est S. Hablot, le Jacquemin de Vandoeuvre… Celui qui est capable de se déclarer dans la presse gilet jaune et en même temps de s’acoquiner avec la droite Grand Nancéenne dans toutes les magouilles, celui qui se dit de gauche et qui s’affiche avec Rossinot sur son tract de campagne, celui qui est le plus grand cumular de toute la Lorraine…
Comme s’il n’avait pas encore assez trahi, il vote bien sûr pour ce budget (il faudra qu’on s’en souvienne à Vandoeuvre !) et en plus il intervient en séance pour faire de la lèche à Rossinot !!!

Les électeurs iront bientôt aux urnes, il faut faire savoir dans toutes les 20 Communes les comportements qu’ont eus pendant ce mandat, chacun des candidats aux prochaines municipales.

Dernier Conseil de Métropole du mandat hier.
Comme prévu Rossinot avait mis en scène son départ et, comme prévu, toute sa cour s’est levée et l’a applaudi.  Un remake du dernier Conseil Municipal de Nancy. Tels des groupies décérébrés, certains se sont même tapé les deux Conseils à se pâmer devant l’idole des jaunes en une interminable tournée d’adieux.

Et, malheureusement, la presse ne semble avoir retenu que cet épisode comme un évènement marquant, alors qu‘il aurait été  plus important d’évoquer le terrible bilan que l’ensemble des Grands Nancéens devront traîner très longtemps comme un véritable boulet…

Mais cette mise en scène et les 61 délibérations à l’ordre du jour n’avaient d’autre but que de détourner l’attention. Je l’avais prédit, je vous l’avais écrit, il fallait absolument passer le sujet du bilan sous silence.

J’avais aussi prédit que le vice-président aux finances, qui a fait allégeance au monarque depuis longtemps, après lui avoir fait un brin de cour, cirage et lustrage de pompes, rappellerait « qu’entre 2014 et 2020, ils ont investi 700 millions, sans augmenter l’encours (il ne précise pas « de la dette », car il avait promis de ne pas dire le mot !) et la capacité de remboursement a légèrement diminué… » fin de citation. C’est terrible de cacher une telle situation derrière ce genre de considération… 
Explication : 1) ils ont investi 700 millions, combien de centaines de millions ont été de mauvais investissements, inutiles, sur des décisions non partagées et pour faire travailler les amis ?
2) L’encours de la dette n’aurait pas augmenté. Oui, mais durant ces 7 années budgétaires, nous avons énormément remboursé en capital comme en intérêts et si l’encours de la dette n’a pas augmenté on aurait donc pu espérer qu’il diminue d’autant, pour une Métropole qui est la plus mal classée de toutes les métropoles de France dans le rapport dette par habitant…
3) L’encours de la dette n’aurait pas augmenté, ils oublient de dire qu’ils ont voté au début de l’année 2019 des autorisations de programme qui décalent d’énormes dépenses sur les prochaines années et qui feront que nous serons tous endettés collectivement à hauteur d’un Milliard d’euros dès 2020, ce que la Métropole ne sera pas en capacité d’assumer !!!
4) Si la capacité de remboursement, comme il le dit, a légèrement diminué, ce n’est pas une bonne nouvelle ! Cela signifie que la situation s’est encore dégradée !!!

Il est gentil Pierre Boileau, c’est vraiment le mot, il est gentil (« on l’aime bien au village »), mais là, c’est carrément de l’irresponsabilité.

J’avais dit que celles et ceux qui voteraient contre ce budget 
« retrouveraient honneur et cohérence ». On peut donc se réjouir que la « gauche » (du moins s’intitulent-ils comme ça eux mêmes) ait voté contre. Même si c’est un peu tard pour tenter de donner des leçons, après s’être tus si longtemps et Avoir aussi peu travaillé… La gauche molle, quand elle s’efforce devient demi-molle, mais reste insuffisante. Ce qui étonne, c’est qu’on puisse continuer à cautionner le scandale financier du Grand Nancy Thermal, le scandale écologique de Nancy Grand Coeur (avoir laissé faire, c’est cautionner) ou encore le scandale écologique et financier du tram-balafre du jardin botanique…

Heureusement, il y a Annie Lévi Ciferman qui, elle, a toujours tenu le même discours, il y a Stéphanie Gruet, Hinde Magada qui n’ont jamais manqué de courage. 

Mais si la compromission de toute la droite n’étonnera personne, on remarquera que P. Jacquemin, le traitre de service, le Ganelon de Villers, s’est une fois de plus tristement illustré en s’abstenant ! Le Président de la Commission des Finances s’abstient sur le vote du budget, messieurs-dames ! Un monument de lâcheté et d’incompétence ! C’est effectivement Pascal Jacquemin qui m’avait dit être d’accord avec moi et mon analyse sur le dossier du Grand Nancy Thermal, mais qui m’avait confié ne pas pouvoir signer le recours au Tribunal Administratif, car il espérait que Werner embauche sa fille à la Mairie de Villers ! Désolé, mais il y a un moment où il faut dire les choses !
Et puis, celui qui décroche le pompon, c’est S. Hablot, le Jacquemin de Vandoeuvre… Celui qui est capable de se déclarer dans la presse gilet jaune et en même temps de s’acoquiner avec la droite Grand Nancéenne dans toutes les magouilles, celui qui se dit de gauche et qui s’affiche avec Rossinot sur son tract de campagne, celui qui est le plus grand cumular de toute la Lorraine…
Comme s’il n’avait pas encore assez trahi, il vote bien sûr pour ce budget (il faudra qu’on s’en souvienne à Vandoeuvre !) et en plus il intervient en séance pour faire de la lèche à Rossinot !!!

Les électeurs iront bientôt aux urnes, il faut faire savoir dans toutes les 20 Communes les comportements qu’ont eus pendant ce mandat, chacun des candidats aux prochaines municipales.

Le dernier Conseil de Métropole du Grand Nancy aura lieu cet après-midi avec au programme pas moins de 61 délibérations dont… le budget. Quand on entend « Métropole », « Grand Nancy », « 61 délibérations », on se dit que cette intercommunalité a été nourrie aux hormones de l’oligarchie, bouffie d’orgueil et de prétention, gonflée d’ambitions et d’arrogance. Tout est dans la démesure et l’irresponsabilité.
Ce dernier Conseil du mandat et de l’ère Rossinot (avec qui on n’en aura pas fini pour autant) devrait permettre de faire le bilan, si triste soit-il. Mais une fois de plus, personne n’en sera dupe, mettre à l’ordre du jour 61 délibérations dont le budget, assommera les participants à cette nouvelle mascarade et noiera le poisson dans d’interminables bavardages de substitution. A force, la ficelle est un peu grosse.

Pour le budget, c’est clair (même si Jacquemin, Président de la Commission des Finances et néo-Wernérien converti n’y comprend rien), ils vont asséner des chiffres et des phrases toutes faites, vides de sens et conformes aux codes de langage qui leur auront été transmis par la technocratie locale…
Ils vont nous dire (on parie ?) que l’épargne brute et l’épargne nette s’améliore (si peu !), il ne diront pas que cela est dû aux économies générées par la diminution de tous les services de proximité dans les 20 communes qui sont la variable d’ajustement budgétaire de ce « machin trop lourd » qu’est la Métropole. Il passeront si vite sur l’état de la dette. Car ils ne diront pas (or, c’est facilement vérifiable et c’est juste mathématique) que la dette de 2019, ajoutée aux autorisations de programme qu’ils ont votées au début de l’année 2019 pour les années suivantes nous infligera une dette dépassant le Milliard d’euros dès 2022 ! 
Voilà pour le budget, pour le bilan, on sait que le Grand Nancy termine 16ème sur 18 au classement général de l’attractivité des métropoles, avec un flop particulier sur l’emploi et les transports, on a remarqué que sur l’enseigne commerçante malheureusement la plus fréquente quand on se promène au centre-ville de Nancy, on peut lire « liquidation avant fermeture », au CHRU de Nancy, après avoir supprimé 500 postes ces dernières années, on annonce 598 nouvelles suppressions, dont 210 rien qu’en 2020 (!), les Grands Nancéiens, qui travaillent où qui vivent sur le plateau de Brabois, vivent l’enfer deux fois par jour pour se déplacer… Et puis, une question… qui peut donner la somme des dettes cumulées de la Métropole, de la Ville de Nancy et du CHRU ? Trois entités présidées depuis des décennies par A. Rossinot, puis L. Hénart ?
Alors celui ou celle qui votera le budget de la Métropole du Grand Nancy ce vendredi 31 janvier 2020, assumera ce triste bilan et signera le fait qu’il en est co-responsable. S’abstenir serait fuir.
Celles et ceux qui voteront contre retrouveront honneur et cohérence.

Le dernier Conseil de Métropole du Grand Nancy aura lieu cet après-midi avec au programme pas moins de 61 délibérations dont… le budget. Quand on entend « Métropole », « Grand Nancy », « 61 délibérations », on se dit que cette intercommunalité a été nourrie aux hormones de l’oligarchie, bouffie d’orgueil et de prétention, gonflée d’ambitions et d’arrogance. Tout est dans la démesure et l’irresponsabilité.
Ce dernier Conseil du mandat et de l’ère Rossinot (avec qui on n’en aura pas fini pour autant) devrait permettre de faire le bilan, si triste soit-il. Mais une fois de plus, personne n’en sera dupe, mettre à l’ordre du jour 61 délibérations dont le budget, assommera les participants à cette nouvelle mascarade et noiera le poisson dans d’interminables bavardages de substitution. A force, la ficelle est un peu grosse.

Pour le budget, c’est clair (même si Jacquemin, Président de la Commission des Finances et néo-Wernérien converti n’y comprend rien), ils vont asséner des chiffres et des phrases toutes faites, vides de sens et conformes aux codes de langage qui leur auront été transmis par la technocratie locale…
Ils vont nous dire (on parie ?) que l’épargne brute et l’épargne nette s’améliore (si peu !), il ne diront pas que cela est dû aux économies générées par la diminution de tous les services de proximité dans les 20 communes qui sont la variable d’ajustement budgétaire de ce « machin trop lourd » qu’est la Métropole. Il passeront si vite sur l’état de la dette. Car ils ne diront pas (or, c’est facilement vérifiable et c’est juste mathématique) que la dette de 2019, ajoutée aux autorisations de programme qu’ils ont votées au début de l’année 2019 pour les années suivantes nous infligera une dette dépassant le Milliard d’euros dès 2022 ! 
Voilà pour le budget, pour le bilan, on sait que le Grand Nancy termine 16ème sur 18 au classement général de l’attractivité des métropoles, avec un flop particulier sur l’emploi et les transports, on a remarqué que sur l’enseigne commerçante malheureusement la plus fréquente quand on se promène au centre-ville de Nancy, on peut lire « liquidation avant fermeture », au CHRU de Nancy, après avoir supprimé 500 postes ces dernières années, on annonce 598 nouvelles suppressions, dont 210 rien qu’en 2020 (!), les Grands Nancéiens, qui travaillent où qui vivent sur le plateau de Brabois, vivent l’enfer deux fois par jour pour se déplacer… Et puis, une question… qui peut donner la somme des dettes cumulées de la Métropole, de la Ville de Nancy et du CHRU ? Trois entités présidées depuis des décennies par A. Rossinot, puis L. Hénart ?
Alors celui ou celle qui votera le budget de la Métropole du Grand Nancy ce vendredi 31 janvier 2020, assumera ce triste bilan et signera le fait qu’il en est co-responsable. S’abstenir serait fuir.
Celles et ceux qui voteront contre retrouveront honneur et cohérence.

Pour les élections municipales des 15 et 22 mars 2020, je vous l’ai déjà dit, j’apporterai 
mon soutien à plusieurs listes sur la Métropole du Grand Nancy, dès lors qu’il me semblera 
que leurs propositions iront dans le sens de la justice sociale, de la solidarité, du respect 
de l’environnement, du changement dans les fonctionnements démocratiques au sein de 
la Métropole, par la reconnaissance à part entière des Citoyens et des Communes.

Dans l’état actuel des choses, cela ne pourra être qu’un soutien à des listes qui ne se 
reconnaissent pas dans les propositions et dans le passif des deux blocs en présence :
la droite de Rossinot-Hénart et consorts, comme la gauche molle de compromis (ou plutôt de compromission) que l’on connait trop…
Décidément ces idées commencent à faire leur petit bout de chemin… puisque j’apporterai tout mon soutien à une nouvelle liste, sur Vandoeuvre cette fois-ci !
VANDOEUVRE EN COMMUN.
Un beau projet pour Vandoeuvre et surtout une autre façon de faire de la politique…

Pour une vraie alternative dans la Métropole du Grand Nancy, au service des Communes
et des habitants et non pas « à la place des Communes et des habitants », j’en appelle à
une rencontre en amont de toutes les listes qui veulent s’investir et agir autrement.

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