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"Ecole: les moyens attribués renforcent les inégalités"

Voici un article publié aujourd'hui sur le site du journal Le Monde, par Maryline BAUMARD. Le titre et le contenu parlent d'eux-mêmes...


Ecole: les moyens attribués renforcent les inégalités


L'éducation n'est plus nationale. Un rapport d'observations provisoires de la Cour des comptes que Le Monde s'est procuré montre pour la première fois l'injustice de la répartition des moyens d'enseignement sur le territoire. Quelque 93 pages d'un travail inédit dévoilent ligne après ligne comment l'Etat donne plus à ceux qui ont déjà plus et moins à ceux qui cumulent tous les risques de réussir moins bien. Un favoritisme qui s'est aggravé ces dernières années.

L'académie de Créteil, qui était en 2006 dans la moyenne nationale pour la dépense par élève dans le primaire, est tombée au 22e rang sur 26. Et c'est la même injustice dans les lycées et collèges. Pour la rentrée 2011, Créteil, qui gagnait 3 836 élèves dans le second degré, a perdu 426 postes, quand l'académie de Paris, qui gagnait, elle, 1 000 élèves, a obtenu 20 emplois de plus.


Ce travail est entre les mains du ministère et de quelques recteurs invités à faire part de leurs remarques à la Cour. La procédure classique prévoit que leurs réponses soient annexées au rapport définitif. Selon la chronologie évoquée dans ces pages, il a fallu une année aux rapporteurs de la Cour des comptes pour obtenir les données nécessaires à leur travail. Les magistrats racontent avoir dû batailler ferme pour obtenir certaines informations du ministère de l'éducation, et précisent que leurs demandes "n'ont pas toujours abouti".


SITUATION ANCIENNE

Même si la situation est ancienne, le gouvernement n'a aucun intérêt à laisser sortir ces comparaisons, qui montrent qu'en 2010 l'Etat a dépensé 47 % de plus pour former un élève parisien que pour former un banlieusard de Créteil ou de Versailles. 51 % de plus pour former un Parisien qu'un Niçois... Il est décrit, noir sur blanc, comment sous couvert d'une éducation censée offrir à tous la même chose, voire donner plus à ceux qui ont moins, l'école française entérine des situations acquises qui sont profondément injustes. Paris a des enseignants expérimentés, une offre de formation bien plus large que d'autres académies et, même si son taux d'encadrement n'est pas plus élevé, cela privilégie le Parisien.

En France, on sait où sont les élèves défavorisés, mais on ferme les yeux sur cette donnée lors de l'allocation des moyens. Le ministère octroie les postes d'enseignants aux académies ni vraiment en fonction du nombre d'élèves, ni en fonction de leur milieu social, ni en fonction des résultats aux évaluations, s'étonnent les magistrats. "Il est impossible à partir des données fournies par le ministère de mettre en regard l'évolution des moyens financiers alloués par l'Etat, celle du nombre d'élèves et celle de leurs résultats", jugent-ils.

Preuve que les situations de fait sont entérinées, les calculs se font toujours par rapport aux moyens dont dispose déjà une académie. S'y ajoutent deux principes, selon la Cour : plus une académie est grande, plus elle est ponctionnée en période de récupération de postes. Et plus son tour arrive tard dans le dialogue de gestion entre le ministère et les académies, moins il reste de postes de profs à distribuer. Dommage pour Créteil et Versailles qui couvrent la banlieue parisienne et ses quartiers difficiles mais répondent à ces deux critères ! Interrogé sur ce rapport, l'actuel directeur de l'enseignement scolaire, Jean-Michel Blanquer, répond que "son affectation des moyens tient compte des nécessités de compensation". Et que son mode d'attribution est "complexe mais pas opaque".



Pourtant, la différence de traitement commence dès qu'un enfant met un pied dans l'école. Pour un élève de primaire de l'académie la plus défavorisée de France métropolitaine, le pays dépense 2861euros par an. Pour un Parisien, il en dépense 3 134. De la maternelle au CM2, cela fait un différentiel d'une année d'enseignement... Et la scolarité des enfants de 2 ans, qui doit être un accélérateur de réussite pour ceux qui sont les plus éloignés des apprentissages? Les "pauvres" sont les premiers à en être écartés. Le rapport révèle qu'en Seine-Saint-Denis, seuls 0,9 % des moins de 3 ans ont une place à l'école contre un peu plus de 4 % dans l'académie de Créteil tout entière et 13,4 % en moyenne nationale (jusqu'à 49 % en Lozère).


BONNE CONSCIENCE

Le ministère se donne bonne conscience en calculant l'argent qu'il distribue, en primes et autres crédits pédagogiques, aux zones d'éducation prioritaires (ZEP). Il estime que ces zones bénéficient d'une manne annuelle de 922 millions d'euros. Mais il oublie de prendre en compte le fait qu'on affecte dans les zones défavorisées les profs qui coûtent le moins chers. A Créteil, 21,6 % des enseignants ont moins de 30 ans (pour une moyenne nationale à 9,2 %) et 8,6 % sont non titulaires (contre 4,9% en moyenne). A contrario, à Paris, 24,2 % des profs sont agrégés pour une moyenne nationale deux fois moins élevée. Un établissement de ZEP de Créteil coûte moins cher à l'Etat qu'un établissement classique à Paris! Par ailleurs, selon l'académie où il se trouve, un établissement de ZEP sera différemment doté. Dans l'académie de Marseille, en 2010, l'éducation prioritaire comptait des taux d'encadrement de 4,3 % inférieur à la moyenne d'encadrement de l'académie quand les écoles non ZEP étaient 1,6 % au-dessus, a observé la Cour.

A ces écarts de dotation de l'Etat s'ajoute le différentiel important d'une collectivité territoriale à une autre. En lycée, la participation des régions varie du simple au double, et celle des mairies, pour le primaire, de 1 à 10. Mais le comble est que le ministère ne dispose pas de ces éléments. C'est ce qu'il a répondu à la Cour dans un courrier du 13 octobre 2011! Difficile dans ces conditions d'en tenir compte.


CONSTAT ACCABLANT

Tout cela pose la question du pilotage politique du système éducatif. S'il est une prérogative que la Rue de Grenelle est la seule à pouvoir exercer, c'est bien la correction des inégalités. Or, elle les entérine, selon le constat accablant de la rue Cambon: "Au vu de ces chiffres et de leur évolution récente, aucun élément attestant d'une politique particulière en matière de réduction des inégalités n'apparaît donc de manière flagrante. (...) Alors même que les outils sont disponibles, le ministère ne se met pas en position d'analyser précisément les inégalités territoriales, leurs causes et leurs moyens de les limiter." La Cour ne fait pas de recommandations.

Elle conclut que, "si le ministère souhaite réellement lutter contre les inégalités géographiques de résultats des élèves, une profonde inflexion de ses politiques et une réforme de son mode d'allocation des moyens apparaissent indispensables". En revanche, elle interroge le ministère: "Envisage-t-il une évolution dans sa répartition nationale des moyens ? Si oui, quels en seraient les principes et modalités ?" La réponse apportée à cette question sera un bon indicateur du courage politique du prochain ministre.

Le Tribunal administratif de Nancy casse une décision d'OQTF du Préfet !

Il y a quelques semaines, Hervé FERON était intervenu auprès du Préfet de Meurthe-et-Moselle et du Ministre de l'Intérieur, au sujet d'une mère d'origine gabonaise et de ses trois enfants, menacés d'expulsion. L'obligation de quitter le territoire français (OQTF) émise par le Préfet et reçue par cette mère, semblait injuste et injustifiée, eu égard à la parfaite intégration de cette famille.

Hervé FERON vient d'apprendre ce matin que le Tribunal administratif de Nancy  a cassé la décision d'OQTF du Préfet ! Ce n'est pas forcément son intervention qui a joué sur la décision, mais au moins, les choses vont dans le bon sens ! La famille a reçu un titre de séjour et va pouvoir reprendre sa vie et se concentrer sur ses projets !

Communiqué de presse : Banque de stockage de sang de cordon à Nancy : le dossier doit impérativement être débloqué !

Banque de stockage de sang de cordon à Nancy : le dossier doit impérativement être débloqué ! 


Aucune raison, même en période électorale, ne justifie que l’on attende plus longtemps !

Hervé FERON a posé une question écrite au Ministre de la Santé, suite à l’assemblée générale de l’ADDOTH (Association Départementale pour le Don d'Organes et de Tissus Humains). 

Lors de cette réunion, le député a pris conscience de l’importance d’organiser la collecte et le stockage du don de sang de cordon. C’est une formidable opportunité pour les personnes qui sont dans une situation dramatique d’attente d’un donneur potentiel de moelle osseuse. 

Il existe actuellement une quarantaine de maternités collectrices, et une douzaine de banques de stockage en France. La maternité régionale de Nancy attend depuis plusieurs mois maintenant l’ouverture d’une banque. Il apparaît que tous les éléments sont réunis pour que cette collecte et ce stockage soient organisés à Nancy, mais malheureusement pour des raisons dites « administratives », cela traîne... 

Le député craint que la triste réalité soit des raisons purement économiques. Ce dossier doit absolument être débloqué ! Aucune raison ne justifie que ce dossier n’avance pas, même les élections !



"Le député Hervé FERON interroge Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, sur la banque publique de sang de cordon de la maternité régionale de Nancy. Prévue depuis longtemps, l’ouverture de cette banque semble tarder suite à un blocage administratif, et aucune date précise n’a pour l’heure été avancée. Le député rappelle que la loi de bioéthique du 7 juillet 2011 reconnaît le sang de cordon comme un tissu salvateur aux vertus thérapeutiques avérées, alors qu’il était considéré jusque-là comme un déchet opératoire. Le sang de cordon constitue aujourd’hui une alternative aux greffes de moelle osseuse dès lors qu’il y a urgence ou incompatibilité de la moelle osseuse à greffer. C’est pourquoi le nombre de greffes de sang de cordon a quadruplé entre 2003 et 2008. Eu égard à ces constats, le développement de banques publiques permettant de stocker le sang de cordon apparaît comme un enjeu majeur dans le traitement de maladies sanguines, osseuses, génétiques, et du système immunitaire, notamment chez les enfants. Le député demande à Monsieur le Ministre où en est le dossier spécifique à la maternité régionale de Nancy."


La maternité régionale de Nancy, qui attend depuis quelques temps sa banque publique de sang de cordon...

Morceaux choisis du Canard Enchaîné du 28 mars 2012

Morceaux choisis du Canard Enchaîné du 28 mars 2012...




Sarko à Nancy : propagande douteuse...

Je vous redonne pour information le communiqué de presse que j’ai tenté de faire passer il y a quelques jours. Pour l’instant, aucun journal ne l’a relayé.


Nicolas SARKOZY et les 4.000 emplois fantômes du Pôle de compétitivité de Tomblaine…


Vandœuvre, le 30 mars 2012


Hervé FERON est étonné de constater que sur le site du candidat Nicolas SARKOZY, la France Forte, circule l’information selon laquelle l’Etat aurait investi plusieurs millions d’euros dans un pôle de compétitivité, nommé « Hydreos », qui se situerait à Tomblaine. Il regrouperait 26 entreprises, dont 14 PME, et 4.000 emplois…

Si « Hydreos » existe bien à Tomblaine, avec une dizaine de personnes qui travaillent sur le site, où sont passés les 4.000 emplois ? Les Tomblainois auraient sans doute apprécié que l’UMP en fasse autant pour eux, mais ça n’est malheureusement pas le cas…

Plus sérieusement, le député Hervé FERON trouve cela triste qu’on mente de cette façon aux gens au moment d’élections aussi importantes. On pourrait d’ailleurs se demander si cette information, publiée juste avant la venue de SARKOZY à Nancy, ne serait pas un hasard qui ferait bien les choses… 

Une chose est sûre, si 4.000 emplois avaient été créés en Meurthe-et-Moselle, ça se saurait… Hervé FERON rappelle simplement le bilan de l’emploi de Nicolas SARKOZY dans le département. En 1997, Lionel JOSPIN et la gauche arrivent au gouvernement et découvrent un taux de chômage en Meurthe-et-Moselle de 9,5%. En 2002, quand l’UMP reprend le pouvoir, le chômage était descendu à 7% ! Après 10 années de droite, dont 5 années de Sarkozysme, le chômage retrouve son triste niveau de 1997, 9,5%... Il a suffi aux Meurthe-et-Mosellans de vivre sous 10 années de droite pour anéantir les efforts réalisés par le gouvernement Jospin.


Communiqué de presse du député Hervé FERON : Nicolas SARKOZY et les 4.000 emplois fantômes du Pôle de compétitivité de Tomblaine…

Vandœuvre, le 30 mars 2012


Hervé FERON est étonné de constater que sur le site du candidat Nicolas SARKOZY, la France Forte, circule l’information selon laquelle l’Etat aurait investi plusieurs millions d’euros dans un pôle de compétitivité, nommé « Hydreos », qui se situerait à Tomblaine. Il regrouperait 26 entreprises, dont 14 PME, et 4.000 emplois…

Si « Hydreos » existe bien à Tomblaine, avec une dizaine de personnes qui travaillent sur le site, où sont passés les 4.000 emplois ? Les Tomblainois auraient sans doute apprécié que l’UMP en fasse autant pour eux, mais ça n’est malheureusement pas le cas…

Plus sérieusement, le député Hervé FERON trouve cela triste qu’on mente de cette façon aux gens au moment d’élections aussi importantes. On pourrait d’ailleurs se demander si cette information, publiée juste avant la venue de SARKOZY à Nancy, ne serait pas un hasard qui ferait bien les choses… 

Une chose est sûre, si 4.000 emplois avaient été créés en Meurthe-et-Moselle, ça se saurait… Hervé FERON rappelle simplement le bilan de l’emploi de Nicolas SARKOZY dans le département. En 1997, Lionel JOSPIN et la gauche arrivent au gouvernement et découvrent un taux de chômage en Meurthe-et-Moselle de 9,5%. En 2002, quand l’UMP reprend le pouvoir, le chômage était descendu à 7% ! Après 10 années de droite, dont 5 années de Sarkozysme, le chômage retrouve son triste niveau de 1997, 9,5%... Il a suffi aux Meurthe-et-Mosellans de vivre sous 10 années de droite pour anéantir les efforts réalisés par le gouvernement Jospin.


Des questions qui dérangent...


Hervé FERON a visiblement posé des questions qui dérangent, lorsqu'il a demandé au Ministre des Affaires Etrangères et Européennes s'il était au courant de la vente d'armes technologiques françaises au régime de Kadhafi. Des armes qui ont permis le massacre des opposants en Libye... Dans la mesure où Alain JUPPE considère que la vente de ces produits est libre et légale, peut-on imaginer qu'un tel matériel ait été exporté également en Syrie, avec les résultats que nous pouvons constater aujourd'hui ?

Dès la publication de la question d'Hervé FERON et de la réponse d'Alain JUPPE, plusieurs journaux, comme le Canard Enchaîné, ont relayé l'information


En décembre dernier, Hervé FERON avait sollicité le Ministre des Affaires Etrangères et Européennes, Alain JUPPE, sur le rôle de la France dans la vente et l’emploi d’armes technologiques destinées à la surveillance de l’Internet (et donc de la population…) en Lybie. Il demandait que l’exportation des DPI (Deep Packet Inspection) soit soumise au contrôle et à l’autorisation des autorités françaises, car ils sont assimilables à des armes technologiques. Et finalement, ll a posé la question qui aujourd’hui dérange : la France est-elle au courant d’une telle vente et l’avait-elle autorisée ?

Le logiciel mis en cause, appelé Eagle, est conçu et vendu par Amesys, une société française de services en ingénierie informatique. Eagle est un DPI. Mis entre de mauvaises mains, ce DPI peut servir notamment à la censure sur l’Internet. Mis entre les TRES mauvaises mains de Kadhafi, l’outil a été utilisé pour surveiller l’ensemble des communications sur les réseaux Internet, téléphonie mobile et satellite de la Libye. Et finalement, il a permis à Kadhafi de surveiller, traquer et, à terme, éliminer ses opposants ! 

Certains médias français ont rapidement dénoncé ces faits, et le grand quotidien américain The Wall Street Journal a accusé Amesys d’avoir participé à la vague d’espionnage et de répression menée par le Colonel Kadhafi à l’encontre de ses opposants (article du 30 août 2011).

Dans la foulée, la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme et la Ligue des Droits de l’Homme ont mis en cause Amesys, et porté plainte contre X à Paris le 19 octobre 2011 pour ces faits.

Alors que les eurodéputés ont récemment demandé aux Etats d’empêcher ces transactions commerciales avec les régimes autoritaires, allant dans le sens d’Hervé FERON, la réponse d’Alain JUPPE à la question du député, publiée il y a quelques jours, laisse sans voix…

En effet, il considère tout bonnement que les produits vendus par Amesys aux régimes autoritaires, tels que le régime libyen de Kadhafi, n’entraient pas dans la catégorie des armes technologiques. Mieux ! Selon lui, il s’agit simplement d’outils « développés sur la base de produits du marché grand public » et, à ce titre, « l’exportateur [Amesys] n’avait donc pas besoin d’obtenir une autorisation à cette fin, ni d’en informer l’administration » !

Qu’on s’entende bien :

- Le 30 août 2011, le Wall Street Journal accuse la société Amesys d’avoir aidé Kadhafi à espionner et réprimer ses opposants.

- Le 19 octobre 2011 : La Fédération Internationale de la LDH et la LDH mettent en cause Amesys et portent plainte contre X pour les faits reprochés par le Wall Street Journal.

- Le 6 décembre 2011 : le député Hervé FERON interpelle Alain JUPPE sur ces faits.

- Le 12 mars 2012 : Reporter Sans Frontières publie son rapport 2012 des pays ennemis d’Internet, et classe pour la seconde année consécutive la France dans les pays sous surveillance.

- Le 13 mars 2012 : Alain JUPPE explique à Hervé FERON que le commerce des logiciels de surveillance est libre !

Bref, tout va bien ! D’autant plus que si l’exportation de ces armes technologiques est libre et autorisée, on peut très bien imaginer la facilité de la France à s’en procurer…

Aujourd’hui, Hervé FERON pose cette question : puisqu’Alain JUPPE considère que la vente de ces armes technologiques est libre et légale, la France n’en aurait-elle pas exporté également en Syrie, avec les résultats qu’on peut aujourd’hui constater ?



La retraite à 57 ans, c'est possible !



Les nouveaux dérapages de Rosso-Debord

Les nouveaux dérapages de Rosso-Debord


Le 21 Mars 2012 par Bernard Cazeneuve


Les propos de Valerie Rosso-Débord et de certains membres de l'UMP accusant François Hollande d'instrumentalisation  du drame de Toulouse sont indignes et méritent d'être condamnés le plus fermement possible par la direction de leur parti.

Depuis le drame de Toulouse, François Hollande, comme l'ensemble des responsables du Parti socialiste ont appelé au rassemblement de tous les Français autour de la République et de ses valeurs, en s'interdisant toute polémique, par respect pour les victimes, leurs familles et les policiers actuellement en action à Toulouse et dont certains sont blessés.

Face à la tragédie qui a frappé notre pays, aucune polémique n'est de mise, aucun abaissement ne saurait être toléré. Cette éthique de la responsabilité, cette retenue dans les circonstances devrait s'imposer à chacun. Il est regrettable que Valérie Rosso-Debord et certains de ses amis ne se soient pas conformés à cette exigence républicaine. Il appartient à la direction de l'UMP de rappeler ces principes à ses membres.


Assemblée générale de Clairlieu Ecodéfi

Hervé FERON était ce mardi à l'assemblée générale de l'association "Clairlieu Ecodéfi", à Villers-lès-Nancy.

Dans le cadre d'un projet d'éco-rénovation solidaire, cette association, créée en 2009 à l'initiative des habitants du quartier de Clairlieu à Villers, a pour objectif de mutualiser ses moyens pour rénover les pavillons de Clairlieu suivant des normes énergétiques et environnementales qui permettent à la fois de réduire les émissions en CO², et d'effectuer des économies de consommation d'énergie. Cet aspect est important tant les prix de l'énergie ont augmenté lors du dernier quinquennat (+20% sur l'essence, +25% sur l'électricité, +50% sur le gaz).

Dans le cadre des subventions parlementaires 2012, Hervé FERON a obtenu 3.000 euros pour donner un coup de pouce à cette initiative qui mérite d'être développée.

Jacques TREMON, président de l'association, Hervé FERON, et Yves WILLER, Vice-président de la commission Aménagement au conseil général de Meurthe-et-Moselle, et Président du Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et d'Environnement de Meurthe-et-Moselle (CAUE).

Les cérémonies du 19-Mars : une journée marathon !

Hervé FERON participe aujourd'hui aux différentes cérémonies du 19-Mars, commémorant l'anniversaire du cessez-le-feu officiel de la guerre d'Algérie faisant suite à la signature des Accords d'Evian.

Il a débuté la journée à 10h30, avec la cérémonie départementale, organisée au monument aux morts situé devant le conseil général de Meurthe-et-Moselle. Dans son intervention, Claude VAGNIER, le président départemental de la FNACA, a souligné l'absence regrettable des représentants de l'Etat et des autorités militaires locales, qui suivaient l'ordre émanant de leurs ministères respectifs de ne pas participer à cette cérémonie.


Sur la photo à gauche, de bas en haut : Jean-Paul BOLMONT et Dominique Olivier (conseillers généraux), Evelyne GAREAUX (conseillère régionale), et Hervé FERON. A droite : Michel DINET (président du Conseil général), Claude VAGNIER (président départemental de la FNACA), et Jean-Paul VINCHELIN (conseiller général délégué aux Anciens Combattants et au Devoir de Mémoire).


A 17h45, Hervé FERON était au monument aux morts d'Heillecourt, invité par le responsable de la section locale de la FNACA, Jean-Claude TISSERAND, qui l'a chaleureusement remercié de sa présence. René MANGIN, conseiller général du canton de Jarville, participait à la cérémonie.


A 18h15, Hervé FERON a enchaîné avec la cérémonie de Jarville en présence de Jean-Pierre HURPEAU, le maire de la ville. Là encore, c'est Jean-Claude TISSERAND qui l'a invité à participer. 

Avec le maire Jean-Pierre HURPEAU.


Jean-Claude TISSERAND, président de la section locale de la FNACA (Laneuveville/Jarville/Heillecourt).


A 19h00 enfin, Hervé FERON a participé à la cérémonie du 19-Mars à Tomblaine. Les élus de la ville, le maire honoraire de la ville Job DURUPT, et les adhérents du comité local de la FNACA dirigé par Jean-Claude PELTIER, étaient présents.

Lors de cette cérémonie, Hervé FERON a eu l'occasion de décorer officiellement François PIERRON de la médaille de la Reconnaissance de la Nation.

Puis les participants se sont rendus à l'espace Jean Jaurès pour le discours du député-maire, qui a souhaité rendre hommage à la section FNACA de Tomblaine et à son Président Jean-Claude PELTIER ; aux anciens combattants ; aux porte-drapeaux, qui sont les gardiens de la mémoire et du patriostisme ; au médaillé, François PIERRON ; à Eugène PHILBERT, un très ancien adhérent de la FNACA décédé en novembre 2008 ; et à Maurice CASSAN, appelé sous les drapeaux, parti en mission dans le Constantinois et tombé au combat en 1959. Son épouse Lucienne, présente à la cérémonie, est aujourd'hui la marraine de la section locale de la FNACA.

Autour d'Hervé FERON : les élus de Tomblaine, et Job DURUPT, maire honoraire de Tomblaine.


Hervé FERON remet la médaille de la Reconnaissance de la Nation à Monsieur François PIERRON.


De gauche à droite : Jean-Pierre LAURENCY, adjoint au maire de Tomblaine et conseiller général de Meurthe-et-Moselle, Jean-Claude PELTIER, responsable de la section locale de la FNACA, François PIERRON, et Hervé FERON. 


Avec Jean-Claude PELTIER et Lucienne CASSAN, épouse de Maurice CASSAN, tombé au combat en 1959.

Quelques nouvelles de ce dimanche

Ce matin, dimanche 18 février, Hervé FERON était présent à la 33ème édition du Tour Pédestre de Villers-lès-Nancy, pour donner au revolver le coup d'envoi du semi-marathon, à 9h20.

Puis à 11h45, il s'est rendu au Parc Richard Pouille à Vandœuvre, où l'association "La Gaule Vandopérienne" organisait son concours de pêche annuel, au petit étang du parc. Hervé FERON a remis la coupe au vainqueur de la compétition.

Hervé FERON et Marie-Thérèse MATTERA, conseillère municipale de Vandœuvre déléguée aux personnes âgées.



Avec François THOMASSIN, président de "La Gaule Vandopérienne".


Hervé FERON, Marie-Thérèse MATTERA, Stéphane Hablot maire de Vandœuvre, et Jean-Paul BERNARD délégué à l'animation.


Concours de démagogie...

Après les multiples promesses non tenues par le Président-candidat Sarkozy devant les sidérurgistes d'Arcelor Mittal, c'est au tour de Valérie Rosso-Debord d'en mettre une couche, en affirmant que l'Etat était "prêt à prendre des parts dans le capital d’ArcelorMittal si nécessaire". Elle va bientôt devenir plus démago que lui... 

Inauguration de la Quinzaine des Créateurs à Villers-lès-Nancy

Mercredi 14 mars à 18h30, Hervé FERON a assisté aux côtés de Pascal JACQUEMIN, maire de Villers-lès-Nancy, et de plusieurs élus de la ville, à l'inauguration de la 11ème édition de la Quinzaine des Créateurs 2012, dans la galerie du Château de Mme de Graffigny.

Chaque année, Idalina, créatrice de mode villaroise, réunit 6 designers tout au long de la semaine. Pour cette onzième édition, se trouvent aux côtés d'Idalina :

- Brigitte Maillard Cary (Artiste Peintre)

- Stéphanie Coupade (Sculptures fer)

- André Babel-le-Borgne (Poterie d'Art)

- Marie Christine Rigaux  (Verriers d'Art)

- Jean Hugues Harbonnier (Verriers d'Art)

L'entrée de l'exposition est gratuite, et la galerie est ouverte jusqu'à dimanche 18 mars. N'hésitez pas, c'est un plaisir pour les yeux !

Pour plus de renseignements, rendez-vous sur le site de la Ville de Villers-lès-Nancy.

Sur la photo : Hervé FERON, Pascal JACQUEMIN (maire de Villers), Idalina.

 

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