Précisions...

Tomblaine
jeudi 18 octobre 2012 09:01

Dans la presse locale, on remarque quelques erreurs récurrentes, alors comme vous êtes très nombreux à consulter ce site (bientôt 100.000 visites en 5 mois !), nous apportons parfois quelques précisions...

1) Pour une fois, il y a un article en rubrique "Tomblaine"! C'est de plus en plus rare.

Article plutôt bien fait sur la soirée de mardi 16 octobre. Il a juste été oublié de préciser que l'organisateur de la soirée est l'association "Aux Actes Citoyens" ! On se demande bien pourquoi cet oubli ? 

Les nombreux bénévoles de l'association apprécieront.

 

2) Et puis à la une du journal local et en deuxième page, on a droit à deux photos et un article sur la sécurité autour du match de foot Nancy-Sochaux. Jamais le mot "Tomblaine" n'est écrit ! Tout est situé à Picot ! Comme si le mot "Tomblaine" était un gros mot...

Pourtant on parle des nuisances du stade et les riverains les plus immédiats sont bien Tomblainois ! Parlez-en avec les habitants du "chardon rouge" ou de la rue Louise Michel !

Et, dans la série "les copinages ça continue", dans l'article (et en photo !) c'est Pensalfini qui est cité... comme maire de Saint-Max ! (cherchez l'erreur). Il n'a aucune légitimité à être là, même comme Vice-Président de la CUGN, puisqu'il n'a pas la compétence des grands équipements. Tiens, tiens, où est passé son "ami" Michel Dufraisse ? 

Un compte-rendu correct aurait situé ce stade à Tomblaine, belle petite ville en devenir de l'agglomération et c'est Jean-Pierre Laurency qui aurait été cité, Conseiller Général et Premier Adjoint au Maire de Tomblaine. Jean-Pierre Laurency avait été désigné par le Maire de Tomblaine pour le représenter. Car c'est toujours le Maire de Tomblaine qui participe à ce GLTD à l'invitation de Monsieur le Procureur et c'est toujours le Maire de Tomblaine qui a le pouvoir de police à l'extérieur du stade. N'en déplaise à ceux qui bafouent la démocratie. A la lecture de cet article, une fois encore, les Tomblainois apprécieront la façon dont ils sont méprisés.