Tomblaine

Le Salon de la Promotion de l'Apprentissage : une première à Tomblaine

Jeudi 24 avril prochain, la ville de Tomblaine en lien avec le Comité Local pour l'Emploi organise son premier Salon de la Promotion de l'Apprentissage, événement exceptionnel au regard des animations qui seront proposées au public.

35 Centres de Formation d’Apprentis de la Région et de nombreuses entreprises ont souhaité s’associer à cette manifestation originale, démontrant sa pertinence pour l’orientation et l’insertion des jeunes. Un large panel de métiers, près de 200, seront présentés dans des secteurs d'activité variés dont certains sont caractéristiques de l'identité régionale et source de débouchés importants sur notre territoire (industrie, métiers de bouche, de la forêt et de la papeterie, verrerie, ...).

Les participants pourront s'entretenir avec les professionnels et de nombreuses offres d'apprentissage leur seront proposées. Afin de donner un aperçu plus concret de la teneur des métiers exposés, des démonstrations seront réalisées en extérieur avec la possibilité pour les jeunes de s'initier à leur pratique. La journée sera également marquée par la tenue de quatre tables rondes qui permettront aux participants d'échanger avec les apprentis et les professionnels et de bénéficier de leur retour d'expérience.

A travers l’organisation de ce salon, la ville de Tomblaine s’engage résolument en faveur de l’insertion de ses jeunes.

Rendez-vous jeudi prochain à partir de 9h30 à l’Espace Jean Jaurès. L’entrée est libre et ouverte à tous.

 

Retrouvez ci-dessous l'article paru dans l'édition d'aujourd'hui de l'Est Républicain :

 

Salon de l'Apprentissage

 

Belle soirée à l’EJJ de Tomblaine avec Jean-Paul Ollivier

En prélude à l’étape du Tour de France Tomblaine – Gérardmer, la ville de Tomblaine avait invité vendredi Jean-Paul Ollivier, dit Paulo la Science, pour une conférence très interactive sur la légende du Tour. Projection de films, commentaires, anecdotes savoureuses, il fallait aller dans le détail et être très précis car les spécialistes étaient nombreux dans la salle.

Le Tour de France, c’est de l’émotion, des exploits, des histoires, des tranches de vie, des drames aussi. Tous les ingrédients pour faire une soirée de grande qualité, animée par Jean-Paul Ollivier, grand reporter, journaliste, auteur (il a écrit une centaine de livres : romans, biographies, livres sportifs, BD, …).

En fin d'intervention, Jean-Paul Ollivier a demandé à Gilbert Bauvin, héros du Tour de France dans les années 1950 à 1960 de le rejoindre pour un témoignage culte très apprécié de tous.

Une soirée conviviale pour les passionnés et pour les autres.

 

Jean-Paul Ollivier à l'Espace Jean Jaurès

 

Jean-Paul Ollivier à Tomblaine !

Droit de réponse

Madame, Monsieur,

 

Ce dimanche 23 mars auront lieu les élections municipales. Nous avons eu l’occasion de vous présenter notre bilan et notre projet pour Tomblaine. Nous vous avons présenté notre liste depuis longtemps déjà, pour que vous ayez connaissance de qui se présente à vos suffrages, où habitent les candidats de notre liste et quelles sont leurs activités. Nous avons organisé une réunion publique.

Face à nous, une dame est tête de liste, beaucoup d’entre vous ne la connaissent pas, même si elle était élue d’opposition depuis 6 ans.

Cette dame ne sachant pas comment valoriser sa campagne a imprimé des tracts et se répand en porte-à-porte ou sur internet, en nous attaquant d’une façon que nous qualifions d’indigne.

Elle ne fait que des propositions qui ont déjà été présentées, initiées, voire votées au Conseil Municipal par la majorité conduite par votre Maire Hervé Féron, à l’exception de deux propositions :

- Une police municipale. C’est la règle, la droite réveille toutes les animosités et agite l’argument de l’insécurité à chaque rendez-vous des élections municipales. Or à Tomblaine, nous n’avons pas de police municipale, mais nous avons un Groupe Local de Traitement de la Délinquance qui se réunit régulièrement sous la coprésidence du Maire Hervé Féron et de Monsieur le Procureur de la République, en présence des services de police nationale et de tous les partenaires sur le territoire de Tomblaine. A Tomblaine plus qu’ailleurs, nous avons développé une offre associative pour la culture, les loisirs, le sport. Plus qu’ailleurs, nous avons travaillé avec l’école publique, nos trois écoles élémentaires sont des écoles numériques. Et cela a porté ses fruits car les faits de délinquance ou d’incivilité ont considérablement baissé sur notre ville (-46%, chiffres de la police). Bien sûr, on trouvera toujours ici ou là une incivilité ou un acte de délinquance et cela est intolérable. Nous continuons à les combattre énergiquement mais nous n’acceptons pas la démagogie.

- L’autre proposition est un EHPAD. Cette dame montre ainsi son manque de compétence. Construire et gérer un tel établissement n’est pas de la responsabilité d’une commune mais du Conseil Général.

Nous trouvons injustes et incorrectes les attaques de cette dame qui se permet dans une réunion de la droite avec André Rossinot de dire que « le Maire de Tomblaine n’est pas dans le dialogue, n’accepte pas la contradiction et n’est jamais présent sauf pour ceux qui le soutiennent ». C’est une accusation stupide et gratuite. Cette dame, en six ans de mandat n’a eu qu’une présence passive au Conseil Municipal, aucune proposition, elle n’a conduit aucune action, ni municipale, ni associative, par contre vous connaissez l’engagement permanent pour Tomblaine d’Hervé Féron. Vous savez très bien qu’il est un Maire très présent, proche des habitants et au service de tous.

Cette dame, qui se présente à vos suffrages, est en fait inféodée à André Rossinot qui a lui-même maltraité Tomblaine, votre ville, durant tout ce mandat. Sa démarche est essentiellement politicienne. Ce n’est pas un hasard si cette dame, étiquetée divers droite, a sur sa liste un ex-collaborateur de Nadine Morano aujourd’hui au cabinet d’André Rossinot et même de la famille de Nadine Morano. Ne vous laissez pas tromper, ces gens-là en agissant de la sorte ne cherchent pas l’intérêt de Tomblaine, des Tomblainoises et des Tomblainois.

Et puis, ils commencent à distribuer la photocopie du « Livre Blanc du Grand Nancy à Tomblaine ». Ce Livre Blanc a été écrit par André Rossinot qui n’a même pas le courage de le signer.

- Tout comme le premier tract de cette liste, ce Livre Blanc est diffusé de façon tout à fait illégale sans la moindre mention d’un imprimeur. Question : qui paie ces documents ?

- Question : pourquoi André Rossinot n’a-t-il pas le courage de signer ce document ?

- Question : combien de temps a-t-il fait travailler les services de la Communauté Urbaine pour argumenter ce Livre Blanc et combien cela a-t-il coûté en argent public ?

- Question : pourquoi André Rossinot édite-t-il un Livre Blanc sur Tomblaine et pourquoi ne le fait-il pas sur les autres communes ? Réponse : parce qu’il a peur de perdre les élections et qu’il craint que le Maire de Tomblaine devienne le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Ce Livre Blanc est un tissu de mensonges, il agresse votre Maire à toutes les pages.

- Dernière question : pourquoi cette dame vote-t-elle contre le budget de la commune sans donner en Conseil Municipal aucune explication ? Réponse : parce qu’elle est aux ordres d’André Rossinot, parce qu’elle agit contre l’intérêt des Tomblainoises et des Tomblainois.

 

Vous nous connaissez, vous connaissez notre engagement pour Tomblaine, ne vous laissez pas tromper, soyons ensemble très nombreux à voter pour la liste « A Gauche pour Tomblaine » menée par Hervé Féron dimanche 23 mars 2014.

 

Hervé Féron

Maire de Tomblaine

Conseiller communautaire

Jean-Pierre Laurency

1er adjoint

Conseiller communautaire

De nouveaux maillots pour le GSAT

Lundi à 19h15, Hervé Féron rencontrait les seniors du club de football de Tomblaine, le GSAT, et avec la sympathique présidente, Hinde Magada, il remettait les nouvelles tenues à l'équipe 1 du club.

Petit moment de convivialité.

 

Hervé Féron au GSAT

 

Avis à tous !

Je vous rappelle qu’une soirée exceptionnelle a lieu à l’initiative de l’association « Aux Actes Citoyens » au Forum de l’Espace Jean Jaurès à Tomblaine ce vendredi 7 mars à 20h30. Il s’agira de saluer notre ami Maurice Olls, chanteur-auteur-compositeur-poète décédé en septembre dernier.

Ses amis, eux-mêmes chanteurs, diseurs, conteurs qui l’ont connu, qui l’ont croisé sur scène ou qui ont chanté ses textes, se retrouveront pour une grande soirée de chanson française. Ils seront nombreux à se succéder sur scène : Lobo Et Mie, le groupe Piccolo, Michel Gelhaye, Jacques Nimsgern, Jean-Pascal Oyo, Hugo F., Maurice Olls (fils de Maurice Olls), Pascale Olls (fille de Maurice Olls) et en seconde-partie, L’amer à boire avec Philippe Olls accompagné de Julien Moneret à la contrebasse et Pierre Brouant à la guitare.

 

Entrée : 10 euros.

Renseignements et réservations : Espace Jean Jaurès, 3 avenue de la Paix à Tomblaine.

Téléphone : 03.83.33.27.50.

 

Venez nombreux, dites-le autour de vous.

 

Soirée Maurice Olls

 

Bal municipal de Tomblaine : plus de 350 personnes

Vous trouverez ce matin dans votre quotidien régional un article sur le traditionnel bal municipal de Tomblaine qui s'est tenu samedi soir à la salle des fêtes.

 

Est Républicain - Bal municipal

 

Inauguration de l'avenue Nelson Mandela

Hervé Féron a inauguré cet après-midi l'avenue Nelson Mandela. Vous trouverez ci-dessous le texte de son intervention prononcée sur place.

 

Inauguration de l'avenue Nelson Mandela

 

Monsieur le Conseiller Général,

Mesdames, Messieurs les Elus,

Mesdames, Messieurs les Présidents d’Associations,

Mesdames et Messieurs en vos grades et qualités,

 

Le 5 décembre 2013, Nelson Mandela nous a quittés. Dès le lendemain, j’ai fait connaître publiquement mon intention de proposer au Conseil Municipal de Tomblaine de dénommer cette voie ouverte au public qui mène à l’aéroport du Grand Nancy – Tomblaine avenue Nelson Mandela. Je regrette sincèrement que pour des raisons uniquement polémiques, un journaliste se soit permis non pas d’annoncer cette décision comme il l’avait fait pour le maire de Nancy mais de ne parler de cette décision prise à Tomblaine que pour insinuer qu’il y avait là une manœuvre peut-être électoraliste. Nous vivons une époque trouble où les médias nous serviraient beaucoup plus à défendre les valeurs humanistes plutôt que de chercher le scoop en usant de commentaires au goût douteux. A Tomblaine, nous n’avons de leçons à recevoir de personne quant à la dénomination des rues. Nous avons été la première commune de Meurthe-et-Moselle à dénommer une allée du 19 Mars 1962, pour commémorer la date officielle de fin de la guerre d’Algérie. Nous avons été une des premières communes de France à dénommer au lendemain de la disparition de François Mitterrand, la place François Mitterrand. Notre centre socio-culturel s’appelle Espace Jean Jaurès parce que Jean Jaurès a été assassiné, coupable d’avoir défendu la paix. Le Conseil Municipal de Tomblaine a décidé à l’unanimité de dénommer cette avenue Nelson Mandela. Nous en sommes très fiers.

Nelson Rolihlahla Mandela est né dans l'ancien Bantoustan, en Afrique du Sud. Son père était l'un des chefs de l'ethnie Xhosa. Après avoir obtenu un diplôme en droit en 1942 à l'Université du Witwatersrand de Johannesburg, il entre à l'ANC (l’African National Congress) qui est alors un parti politique modéré de la bourgeoisie noire.

Avec Oliver Tambo, Nelson Mandela fonde le premier cabinet d'avocats noirs en Afrique du Sud, puis, en mars 1944, crée la Ligue de la jeunesse de l'ANC (Youth League). Au moment où l'apartheid est "officialisé" par le premier ministre sud africain Daniel Malan en 1948, Nelson Mandela et Olivier Tambo parviennent à accéder à la tête de l'ANC avec la Ligue de la jeunesse.

Après plusieurs années de lutte contre l'Apartheid, d'arrestations et de procès, Nelson Mandela est condamné en 1964 avec sept de ses compagnons à la prison à vie pour sabotage, trahison et complot. Durant toute sa captivité, il refuse d'être libéré contre le renoncement public à la lutte anti-apartheid. En 1986 ont lieu des rencontres avec les autorités qui le placent en résidence surveillée à partir de 1988.

Nelson Mandela est finalement libéré le 11 février 1990 après avoir passé 27 ans et demi en prison. Le gouvernement sud africain légalise le Parti communiste et l'ANC dont Mandela devient le président en 1991.

En 1993, avec le président De Klerk, il reçoit le prix Nobel de la paix. Les premières élections pluralistes et multiraciales ont lieu en 1994. L'ANC remporte une très large victoire. La même année, Nelson Mandela est investi Président de l'Afrique du Sud, poste qu'il occupe jusqu'en 1999 pour laisser la place à Thabo Mbeki.

Nelson Mandela crée en 1999 la Fondation Nelson Mandela et se consacre à la lutte contre le sida après la mort de son fils en 2005.

Il nous a quitté le 5 décembre 2013 et est enterré dans son village natal à Kunu.

Nous allons donc inaugurer cette avenue Nelson Mandela aujourd’hui. Je me proposerai de vous dire quelques mots dans quelques instants dans le forum de l’Espace Jean Jaurès avant que nous partagions le verre de l’amitié. Nelson Mandela disait « en faisant scintiller nos lumières, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant ». Conformément à la délibération du Conseil Municipal de Tomblaine le 18 décembre 2013, nous dénommons aujourd’hui l’avenue Nelson Mandela, 1918-2013, homme politique et prix Nobel de la Paix, symbole de la lutte contre l’apartheid.

 

Inauguration de l'avenue Nelson Mandela

 

Puis, tout le monde s'est retrouvé à l'Espace Jean Jaurès où Hervé Féron a prononcé un second discours que vous trouverez ci-dessous.

Mesdames, Messieurs,

 

Nous vivons une période terrible où le racisme, l’antisémitisme, la xénophobie sont terriblement banalisés. Il y a peu de temps, c’était la Ministre de la Justice qui était lamentablement insultée par des gens réputés a priori responsables, de façon répétitive et avec insistance. Actuellement, la France vit le feuilleton Dieudonné pour lequel j’avais préconisé qu’on le condamne pour ses délits systématiquement et que la peine soit appliquée mais en aucun cas qu’on lui interdise a priori de présenter un spectacle pour ne pas lui faire de publicité. Je crois qu’aujourd’hui le pire est arrivé puisque de toute sa carrière, il n’a jamais connu autant de publicité. Des dizaines de milliers d’affiches, des émissions de télévision n’ont jamais réussi à le faire connaître à ce point-là. Et ça n’est pas fini, il est aujourd’hui définitivement victimisé et tous les paumés qui se prennent pour des damnés de la Terre, et qui sont prêts à la moindre occasion à céder à la tentation, à la dérive raciste sont prêts à partager le statut de victime avec lui. Quel paradoxe avec l’incroyable manifestation fraternelle, solidaire et universelle de peine à laquelle on a assisté à l’occasion de la disparition de Nelson Mandela. Lui, avait été une vraie victime, il a été pour son peuple un Guide, il est pour l’Humanisme dans sa conception universelle un Repère pour toujours. Alors tout cela fait forcément parler et j’apprends aujourd’hui que tout près de nous, des enfants auraient eu récemment des réflexions particulièrement racistes vis-à-vis de personnels municipaux, que des adultes auraient eu des blagues plus que douteuses dans le même sens. Ce qui est terrible, c’est la banalisation. Tout est grave, rien n’est insignifiant. Nous avons collectivement la responsabilité de considérer que ces remarques, ces insultes, ces blagues sont graves et doivent être combattues. Pour cela, il faut revenir à des fondamentaux. Je souhaite vous lire deux extraits du préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 : « Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. Il réaffirme solennellement les droits et les libertés de l’homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des Droits de 1789 et les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République. ». « La France forme avec les peuples d’outre-mer une Union fondée sur l’égalité des droits et des devoirs, sans distinction de race ni de religion. »

Il s’agit du préambule de la Constitution Française, acte fondateur de notre République. Et puis dans le discours prononcé par Aimé Césaire à Dakar le 6 avril 1966, il disait : « je dirai, à propos de la négritude, que, dans la perspective de la réification, le racisme et le colonialisme avaient tenu à transformer le Nègre en chose. L’homme noir n’était plus appréhendé par l’homme blanc qu’à travers le prix d’une déformation, de stéréotypes, car c’est toujours de stéréotypes que vivent les préjugés. Et c’est cela le racisme. Le racisme, c’est la non-communication. C’est la chosification de l’autre, du Nègre ou du Juif ; la substitution à l’autre de la caricature de l’autre, une caricature à laquelle on donne valeur d’absolu. L’apparition de la littérature de la négritude et de la poésie de la négritude n’a produit un tel choc que parce qu’elles ont dérangé l’image que l’homme blanc se faisait de l’homme noir, qu’elles ont marqué avec ses qualités, avec ses défauts, donc avec sa charge d’homme, dans le monde des abstractions et des stéréotypes que l’homme blanc s’était jusque-là fabriqué à son sujet de manière unilatérale.

Et c’est bien cela, je crois, le service que la négritude a rendu au monde. C’était par-là contribuer à l’édification d’un véritable humanisme, de l’humanisme universel, car enfin il n’y a pas d’humanisme s’il n’est pas universel, et il n’y a pas d’humanisme sans dialogue, et il ne peut y avoir de dialogue entre un homme et une caricature.

En restituant l’homme noir dans sa stature humaine, dans sa dimension humaine, pour la première fois, la littérature de la négritude a rétabli les possibilités de dialogue entre l’homme blanc et l’homme noir et ce n’est pas un de ses moindres mérites. Il est très vrai que la littérature de la négritude a été une littérature de combat, une littérature de choc et c’est là son honneur ; une machine de guerre contre le colonialisme et le racisme, et c’est là sa justification. »

Si je vous ai lu cet extrait du discours d’Aimé Césaire, c’est parce que je pense qu’il faut proposer à Dieudonné et à ceux qu’il amuse encore de lire et ainsi de s’instruire. Je suis très fier d’être le maire d’une commune qui vient de dénommer une avenue Nelson Mandela, 1918-2013, homme politique et prix Nobel de la Paix, symbole de la lutte contre l’apartheid.

 

Cérémonie des voeux du maire de Tomblaine

Comme chaque année, suivant la tradition, Hervé Féron a adressé ses meilleurs vœux pour 2014 à la population de Tomblaine ainsi qu’aux personnels municipaux et aux partenaires de la ville, mercredi soir dans le Forum de l’Espace Jean Jaurès.

 

Voeux d'Hervé Féron

 

Précédé par le propos de la Directrice Générale des Services, Hervé Féron a prononcé un discours éminemment politique et manifestement consensuel devant plus de 250 personnes, dressant un bilan très positif de l’action menée par la municipalité au cours de l’année passée. Ce fut également l’occasion de dresser des perspectives : accueil du Tour de France, avancées sur le projet de Maison de Santé Pluriprofessionnelle, ... Les enjeux des prochaines élections municipales de mars 2014 ont été également évoqués, Hervé Féron rappelant que les électeurs choisiront directement et pour la première fois leurs représentants au Conseil de Communauté Urbaine. En raison des compétences multiples qui lui sont dévolues, la Communauté Urbaine du Grand Nancy est un acteur incontournable de la vie locale et par conséquent, il sera déterminant d'en changer la gouvernance.

 

Voeux d'Hervé Féron

 

La cérémonie s’est poursuivie par la mise à l’honneur de plusieurs agents municipaux, récompensés pour leurs états de service et la qualité de leur travail, par la remise de médailles d’honneur régionales, départementales et communales. Deux retraités de la commune ont également été remerciés pour leur action au service de la population lors de leur carrière professionnelle.

La soirée s’est achevée autour d’un apéritif et d’un buffet dans une ambiance conviviale et musicale.

 

Voeux d'Hervé Féron

 

Hommage de la commune de Tomblaine à Nelson Mandela

Hervé Féron a annoncé au lendemain de la disparition de Nelson Mandela qu’il allait proposer au Conseil Municipal de Tomblaine la dénomination de la route de l’Aéropole du Grand Nancy – Tomblaine, avenue Nelson Mandela.

Né le 18 juillet 1918 à Mvezo en Afrique du Sud, Nelson Mandela restera surtout connu pour sa lutte contre le régime de l’apartheid, contre le racisme et toutes les inégalités sociales, et pour avoir été le premier président noir d’Afrique du Sud.

En 1961, il décide de lutter moins pacifiquement contre l’Etat mais cette lutte lui vaudra d’être arrêté par la police sud-africaine le 12 juillet 1963. Il est alors condamné à la prison à perpétuité avec travaux forcés.  Les autorités finissent par le libérer le 11 février 1990 après 27 années d’emprisonnement. Le 9 mai 1994, il devient le premier président noir de l’Afrique du Sud. Pendant toute la durée de son mandat, il mènera une politique de réconciliation entre Noirs et Blancs et luttera contre les inégalités économiques et sociales. Le monde entier lui témoignera sa reconnaissance pour son engagement de toujours contre l’apartheid.

Cette voie sera dénommée : avenue Nelson Mandela (1918 – 2013), homme politique et prix Nobel de la Paix, symbole de la lutte contre l’apartheid.

 

 

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
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Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
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