Tomblaine

Des rescapés du Génocide contre les Tutsis au Rwanda à Tomblaine

Hier, la Ville de Tomblaine accueillait le Tour de France Imbere Heza, organisé par l'EGAM (Mouvement antiracsiste européen) et son président Benjamin Abtan. Ce Tour de France est celui des rescapés et des descendants de victimes du Génocide contre les Tutsis au Rwanda, dont l'AERG (l'Association des Étudiants et Élèves Rescapés du Génocide) et son Président Olivier.

La journée fut riche en échanges, les rwandais sont là pour témoigner du drame que leur pays a vécu et continue à vivre. Après un repas partagé au Foyer de personnes âgées de Tomblaine, ce qui a permis de rencontrer les enfants des écoles sur le temps de restauration scolaire et des personnes âgées du Foyer, les huit rwandais et Benjamin Abtan, accompagnés par Hervé Féron, se sont rendus au Collège Jean Moulin pour une rencontre d'une soixantaine de collégiens. Cet événement, très bien organisé par Madame Chaleix - Principale du Collège - et Madame Isabelle Gérard - Professeure -, fut très enrichissant à la fois pour les élèves et pour les intervenants. On peut se féliciter de la qualité d'écoute des élèves et de la pertinence de leurs questions, preuve d'un intérêt remarquable, d'une très grande maturité due certainement au travail des enseignants en amont.

Ensuite, la délégation rwandaise, s'est rendue en Mairie pour participer à l'inauguration d'une plaque commémorative, au pied de l'Arbre de la Paix, en hommage aux victimes des Génocides, portant l'inscription : "Arbre de la Paix, à la mémoire des victimes de tous les Génocides et des Justes. La ville de Tomblaine contre toutes formes de négationnisme".
Puis, il y a eu l'accueil officiel en Mairie avec un temps d'échange en présence des élus municipaux.
Les jeunes rwandais ont à nouveau présenté leur combat de tous les jours pour une plus grande reconnaissance de ce Génocide contre les Tutsis au Rwanda et pour que la vérité soit faite sur les responsabilités de certains dirigeants français à l'époque. Le problème a été également posé des génocidaires qui vivent impunément en France sans être inquiétés.

(La plaque commémorative est dévoilée devant la Mairie)

 

Les jeunes rescapés rwandais se sont ensuite rendus à l'Espace Jean Jaurès pour participer à une répétition de la batucada de Tomblaine, moyen festif pour une belle rencontre avec les jeunes tomblainois. Jeunes rwandais et tomblainois ont dansé et joué des percussions. 
Enfin l'Association "Aux Actes Citoyens" avait organisé une belle soirée chansons avec les groupes "Broken Arrow" et les "Culs trempés". Cette soirée a rencontré un très grand succès puisque plus de 350 personnes avaient réservé. Cela a été une très belle occasion pour que les jeunes rescapés rwandais puissent à nouveau s'adresser à ce public. Le message est passé à Tomblaine. Chacun sait ce qu'il reste à faire, ne pas oublier le peuple rwandais et sans cesse militer pour la Vérité.

 

Un grand merci à l'EGAM et à l'ensemble des rwandais présents pour leur participation à tous ces événements et pour leurs témoignages. 

Hervé Féron rend visite au foyer Marcel Grandclerc

Hervé Féron a rencontré, comme il le fait régulièrement, les résidents du Foyer Marcel Grandclerc. Il y est allé avec Ségolène, la Directrice, actuellement en congé maternité afin de présenter aux résidents du foyer le petit Timéo, âgé d'environ un mois. Ce fut l'occasion de prendre ensuite un pot de l'amitié très convivial avec l'ensemble des personnes présentes. 

 

Curley Taylor & Zydeco Trouble

La soirée de vendredi a été chaude, chaude, chaude à l'Espace Jean Jaurès de Tomblaine,

en partenariat avec NJP et l'association "Aux Actes Citoyens".

C'est le groupe américain Curley Taylor & Zydeco Trouble qui a mis le feu.
Le public n'est pas resté assis jusqu'au bout, les spectateurs n'ont pas résisté à l'envie
d'aller danser. 

Et puis surprise lorsqu'un musicien qui joue du wash-board a invité Hinde Magada à monter
sur scène, il lui a fait enfiler le wash-board, il s'est positionné derrière elle pour jouer
de son instrument.


Hinde Magada Conseillère Municipale, Conseillère Métropolitaine déléguée aux relations internationales, et joueuse de wash-board pour un soir.

Tomblaine récompensé pour la réalisation du parc Georges Brassens

En présence d'Alexandre Huet, adjoint au Maire et d'Emmanuel Rosina, conseiller municipal, Tomblaine a reçu un "Prix Spécial" départemental pour le parc Georges Brassens lors de la remise des prix de l'opération Villes et Villages fleuris 2016 du Conseil Départemental. Après le développement d'un espace naturel sensible de 17 hectares, de la façade végétalisée de la Maison de Santé Pluriprofessionnelle et maintenant du parc Georges Brassens, c'est la politique de Tomblaine, tournée vers le développement durable, qui est à l'honneur.

 

Dans quel pays vivons-nous ?

Comme tous les ans, la presse locale s’empare des impôts fonciers, car on sait très bien que le sport national préféré des journalistes consiste à pointer du doigt les élus. Il  faut reconnaitre que le journaliste tient compte des remarques que j’avais faites sur mon blog l’an dernier avec honnêteté. Mais, si le journaliste était venu à ma rentrée politique, il aurait été un peu informé sur la question. Les taux d’imposition à Tomblaine, pour le foncier bâti, sont élevés parce que les bases à Tomblaine sont plus basses qu’ailleurs. Il est donc toujours faux de comparer des taux et à force d’insister cela devient quasi-mensonger. Ce que les gens payent, c’est le produit des bases par les taux. Les bases de Tomblaine étant très basses, le produit des bases par les taux, pour un habitant de Tomblaine, est dans la moyenne de ce qui se pratique dans les autres communes de l’agglomération de la même strate en nombre d’habitants, c’est-à-dire entre 5 et 10 000, et bien sûr, à logement comparable. Toujours sur Tomblaine, c’est bien de rappeler que sur 3 ans, le taux d‘imposition n’a pas augmenté sauf que ce n’est pas depuis 3 ans, mais depuis 12 ans !

Après, il est évident que l’on paye trop d’impôts dans ce pays. Mais comment vouloir toujours plus de services publics, vouloir en même temps payer moins d’impôts et accepter les baisses de dotations de l’État. Les dotations de fonctionnement constituent une grande partie des recettes des communes qui leur permet de donner du service public. De 2008 à 2017, soit autant sous Sarkozy que sous Hollande, les dotations de fonctionnement de l’État pour la ville de Tomblaine auront baissé de 52% !!!

Alors arrêtons de montrer du doigt les Maires, qui travaillent beaucoup. Ceux qui ont, dans les trois dernières années, augmenté leurs impôts, ne pouvaient pas faire autrement. Désignons l’État comme seul responsable de ces difficultés que connaissent toutes les communes de France.

De plus, tout cela ne suffit pas aux services de l’État. Lorsque la Chambre des Comptes fait un rapport, lorsque le comptable du trésor analyse les situations budgétaires, ils osent écrire qu’ils préconisent à la commune d’augmenter les impôts locaux (par exemple, à Tomblaine, sous prétexte que les taux d’imposition seraient beaucoup plus bas que dans les villes de la même strate en France), c’est vraiment la double peine pour les élus. Comment ces fonctionnaires d’État peuvent-ils se permettre de donner des avis d’opportunité aux élus de la République ? D’autant plus qu’ils communiquent ces informations aux banques et alors là, c’est la triple peine pour ces élus, et par conséquent, pour les citoyens.

Tout Tomblaine avec Anne-Sophie Mathis

Elle a grandi à Tomblaine. Christiane, sa mère, habite encore à Tomblaine. Anne-Sophie était d’ailleurs présente lors de la projection, à l’Espace Jean Jaurès, du film de Stéphane Ferrara, avec Dominique Nato et René Cordier, son entraîneur. On a eu alors l'occasion d'évoquer son choix de reprendre les gants. Elle s’entraîne intensément, maintenant depuis plusieurs semaines pour le match de samedi, à Oslo, contre Cecilia Brækhus, actuelle championne du monde WBA, WBO et WBC des welters. Ce retour sur le ring sera diffusé le samedi 1er octobre à 22h30, sur la chaîne Eurosport 2.

 

Rémi Walter, un Tomblainois à l’OGC Nice

Contrairement à ce qu’on a pu lire une fois de plus dans la presse, Rémi Walter, joueur professionnel de l’OGC Nice, est bien un enfant de Tomblaine. Il a grandi à Tomblaine où ses parents habitent toujours et où il revient de temps en temps. Encore un grand sportif qui fait honneur à Tomblaine.

 

Avant-première du court-métrage : « J’ai vu une étoile » vendredi 23 septembre 2016

À l’Espace Jean Jaurès de Tomblaine, ce fut un grand moment d’émotion ce vendredi lors de la diffusion en avant-première du court-métrage « J’ai vu une étoile » tourné avec des jeunes Tomblainois et des Unités Educatives d’Activités de Jour (U.E.A.J.) en présence du réalisateur, Stéphane FERRARA. Est-il nécessaire de rappeler la notoriété de cet ancien boxeur, devenu comédien et réalisateur ? Ce court-métrage réalisé autour de la boxe, traite en particulier de la confiance entre parents et enfants.

Cette première diffusion publique qui a réuni tous les partenaires qui ont permis la réalisation de ce film, ainsi que les familles des jeunes acteurs, Anne-Sophie Mathis, René Cordier, son entraineur, et Dominique Nato, ancien entraineur de l’équipe de France olympique de boxe, a permis d’engager une discussion sur l’intérêt des pratiques sportives pour la confiance en soi, le respect d’autrui, etc.

À noter que ce court-métrage sera proposé à la diffusion à plusieurs chaines de TV et lors de différents festivals.

Avant cette diffusion, 3 films ont été proposés au public pour montrer la palette d’activités offerte aux jeunes Tomblainois pendant l’été : la Batucada au festival d’Avignon, le stage de Tomblaine Danse en Italie, le chantier international de jeunes volontaires environnement/culture en Algérie.

Que du positif pour ces jeunes de Tomblaine !

... Quand le foot-ball chinois s'éveillera...

L'annonce du possible rachat du club ASNL, fait couler de l'encre dans la presse locale, on le comprend. Chacun a son idée là-dessus, et à titre personnel, je pense que cela peut-être une bonne chose, il faut regarder cela avec discernement.

Mais l'achat du club est une chose, l'achat du stade en est une autre.

Le club n'est pas très riche, le recrutement a été fait à minima pour assurer le maintien en L1. Est-ce que ce sera suffisant ? Pas sûr... Un repreneur qui aurait l'intention d'investir beaucoup sur ce club serait donc le bienvenu.
C'est une bonne chose pour Jacques Rousselot, qui a tant donné (en énergie, en passion, mais également qui a tant donné de sa poche ), dans un contexte général où les collectivités ne peuvent plus aider les clubs pros. Ce serait donc une bonne solution que de trouver un repreneur privé.
Et puis Jacques Rousselot peut légitimement espérer accéder à la Présidence de la Fédération Française de foot-ball prochainement et dans ce cas là, il ne pourrait plus être actionnaire d'un club quel qu'il soit. Il est aujourd'hui actionnaire à 70%. Mais l'ASNL est son bébé et il a à coeur de trouver une sortie qui laisse présager un bel avenir au club, c'est tout à son honneur.
Cela dit l'ASNL appartient aussi à notre région, à ses supporters, aux contribuables qui ont eux aussi souvent participé (et en ne le sachant pas toujours). Car l'ASNL fait partie du patrimoine local et participe et participera au rayonnement et au développement économique de notre région.

Ce n'est pas un hasard si les Chinois s'intéressent au foot-ball en France et en Europe, leur  gouvernement a vraisemblablement l'intention de candidater un jour pour l'organisation d'une prochaine grande compétition... quand le foot-ball chinois s'éveillera ! Mais en même temps il ne faut pas s'emballer, regardons attentivement ce que dautres riches chinois ont fait avec le club de Sochaux ou encore avec l'aéroport de Toulouse-Blagnac...

Si Jacques Rousselot discute avec ce consortium, on lui fait confiance, on se doute bien qu'il doit s'entourer des meilleurs conseils. Et il serait malvenu de ne pas considérer avec bienveillance une opportunité aussi rare.
N'oublions pas que l'ASNL, c'est aussi de l'emploi pour des habitants du Grand Nancy et qu'un propriétaire étranger est forcément le bienvenu si il pérennise ces emplois locaux.

Mais là où je commence à être inquiet, c'est sur l'attitude du Grand Nancy. Jacques Rousselot nous a mis dans la confidence André Rossinot et moi, il y a deux mois. Aujourd'hui, on voit arriver monsieur Pensalfini qui vient faire son numéro habituel devant les caméras et les stylos tendus !
Je le cite "concernant Marcel Picot, je lui avais moi-même donné l'idée qu'une vente était possible"... C'est un peu grotesque.

Mais qui est-il pour dire des choses comme ça ?
Comment peut-on imaginer que l'on commence à parler de la vente de cette infrastructure métropolitaine sans en avoir discuté avec les élus de la Commission et du Conseil de Métropole ?
Comment peut-on imaginer que de telles propositions se fassent sans concertation avec le Maire de la Ville de Tomblaine sur le territoire de laquelle se trouve le stade Picot ?
Quand arrêtera-t-il ses impostures ?

Voyez-vous, ce qui me dérange, c'est leurs méthodes toujours claniques, exclusives.

Quand un candidat de droite aux prochaines législatives, qui n'a encore pas fait grand chose dans l'intérêt public et qui ne s'est jamais intéressé à l'ASNL vient s'assoir ce samedi aux côtés du Maire de Nancy et du Président de l'ASNL en tribune officielle, c'est utiliser l'infrastructure métropolitaine, c'est à dire l'argent public pour se montrer, faire semblant de s'intéresser et faire campagne...

Mais surtout, j'ai fait des propositions depuis des années pour améliorer les conditions d'accès, de stationnement autour du stade et le rendre plus confortable, plus vivable pour les spectateurs, comme pour les riverains (je suis leur maire, je dois pouvoir les représenter). En juin dernier, je lançais un nouvel appel dans la presse pour qu'on acte plusieurs solutions complémentaires : intensifier les transports en communs du côté St Max (Place Barrois) et du côté Tomblaine (Rond Point de la Fraternité) une heure avant et une heure après chaque match, pour inciter les Grands Nancéens à venir en tram ou en bus, laisser s'installer des entreprises sur la Plaine Flageul qui pourront mutualiser des places de stationnement avec le stade les jours de matches (13 entreprises en 12 ans, proposées au Grand Nancy qui les a empêchées de s'installer), réserver des navettes gratuites depuis le Parc des Expositions pour les abonnés de l'ASNL qui viennent de loin, ces navettes seraient prioritaires pour repartir après les matches, etc.

Depuis le mois de juin, je n'ai toujours pas obtenu de réunion sur ce sujet, le Grand Nancy me mène en bateau avec de très nombreuses réunions sur d'autres sujets (réunionite sécuritaire), mais rien concernant mes propositions. Elles ne sont même pas étudiées.
J'en suis à ne pas pouvoir répondre aux associations de supporters tant je suis désaisi de mes responsabilités sur le territoire de ma commune par l'attitude de ceux qui se nomment eux-même dans cet article de presse "les dirigeants du Grand Nancy" !

Ce sont les supporters et les riverains qui en subissent les conséquences.

Si un investisseur privé souhaite acheter le stade, il faut des garanties quant aux respect des règles d'urbanisme, quant au fonctionnement du stade pour en limiter les nuisances pour les riverains et en optimiser la jouissance pour les spectateurs. Il faut négocier des investissement privés aux abords du stade. Et puis, je disais que l'ASNL appartient aussi à la région et à ses supporters tant elle participe à son rayonnement...mais un privé aura-t-il le droit de faire tout ce qu'il veut en matière de naming si il devient propriétaire du stade ? Bonjour l'image du Grand Nancy, bonjour l'image de Tomblaine !!!

Dans ces conditions, comment peut-on imaginer que le Maire de la Ville concernée, Tomblaine, soit exclu de cette négociation ? Qu'est-ce que c'est que ces méthodes en République ? Quel mépris pour les électeurs !
C'est même lui qui devrait être le pilote de ce genre de dossier sur sa commune, interrogez les habitants, demandez leur ce qu'ils en pensent.

La vérité, c'est aussi que de tels acquéreurs, on le sait, seraient prêts à investir beaucoup pour leur image à proximité du stade dans d'autres infrastructures que le stade. Or, à proximité du stade, il y a de quoi faire... à Tomblaine en terme d'investissement. Tomblaine qui a été si longtemps empêchée de développement par le Grand Nancy.
Si le Président du Grand Nancy exclue le Maire de Tomblaine de ces discussions, c'est qu'il a besoin d'investisseurs sur d'autres projets, ailleurs, on le découvrira par la suite. C'est un traitement inégalitaire des territoires.
Ces méthodes ne peuvent durer, les beaux discours, pour ne pas dire bavardages sur le Projet Métropolitain doivent laisser la place à un fonctionnement démocratique et solidaire.

La décison de vendre l'ASNL appartient à Jacques Rousselot, la décision de vendre le stade doit, elle, se discuter, être réfléchie, elle doit donner lieu à des contreparties, à des engagements, dans le seul intérêt public. Tout cela demande sérieux, responsabilité, discernement, à mille lieues des déclarations intempestives de monsieur Pensalfini dans la presse sans aucune concertation.

Hervé Féron au foyer Marcel Grandclerc

Hervé Féron a rencontré, comme il le fait régulièrement, les résidents du Foyer Marcel Grandclerc. Il a ainsi présenté la personnes qui, pendant quelques mois, va remplacer Ségolène, la Directrice, elle-même en congé maternité. Ce fut ensuite l'occasion d'un déjeuner très convivial avec les résidents du Foyer Marcel Grandclerc.

 

 

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