A Tomblaine, toutes les personnes âgées de plus de 65 ans se voient offrir, en période de fêtes, un superbe colis.
C'est l'occasion de faire plaisir, mais c'est aussi un temps de rencontre, car ces colis sont distribués par les membres du CCAS (Centre Communal d'Action Sociale), auxquels se joignent de nombreux bénévoles, car il faut savoir que ce sont près de 1500 personnes qui sont ainsi visitées....
C'est vraiment une action de lien social.
Comme c'est aussi un moment joyeux, il arrive même que certains se déguisent en Pères ou Mères Noël pour leur tournée !!!
Sur cette photo on reconnait Hinde Magada et Alexandre Huet, adjoints au Maire, ainsi que Nazah Ajeddig et Tolga Gul, bénévoles...
Un grand merci à tous ces courageux bénévoles qui bravent la froidure de l'hiver, mais qui trouvent parfois refuge chez l'habitant... Car il faut dire que ces personnes âgées les accueillent toujours chaleureusement.
Dans le colis de cette année, au milieu de quelques victuailles, on trouve un mug, cette tasse sur laquelle il y a un cœur qui est noir. Lorsque la tasse est chauffée par le liquide que l'on verse dedans, le cœur devient rouge !
Ce samedi matin, nos quatre Mères et Pères Noël ont terminé leur tournée en faisant un petit détour par le bureau du Maire. Le Maire étant beaucoup trop jeunes pour recevoir un tel colis, ils lui ont cependant amené un petit sachet de chocolats, car tout le monde sait à Tomblaine que le seul défaut du Maire, c'est...le chocolat !
À Tomblaine, chaque année, tous les élèves des écoles maternelles et élémentaires reçoivent en fin d'année, à l'occasion des fêtes, un cadeau de la Municipalité. Peut-être le plus beau des cadeaux, puisque c'est un livre...
Plus de 900 enfants sont concernés (37 classes, dont une classe ULIS). Pour chaque tranche d'âge, Martine Bouf directrice de la Bibliothèque Municipale choisit un livre de qualité et adapté. Et les CM1 se voient, eux, offrir un dictionnaire ! Nul doute que ce dictionnaire leur sera un précieux outil de travail pour de nombreuses années, mais il entre aussi chez l'enfant et pourra être utilisé par toute la famille...
La Bibliothèque Municipale est fréquentée par une famille sur deux à Tomblaine, cela est dû à son implication active et permanente dans la vie tomblainoise. Martine Bouf associe souvent les lecteurs à toutes ces actions, qui répondent volontiers et bénévolement.
L'une d'elle, madame Corinne Weinzoepflen, est ergothérapeute. Elle gère un atelier de reprographie au Centre Pierquin (IRR) et ses patients, mis en situation d'activités gestuelles et posturales autour d'une prise en charge utile et valorisante pour eux, se sont proposés d'emballer et de préparer une partie des livres destinés aux enfants. Un grand merci à Nelly, Isabelle Corentin, Frédéric, Naïma, Redoine et bien sûr Corinne.
Et puis à la Bibliothèque, d'autres bénévoles ont emballé le reste des livres, avec Martine Bouf et ses collègues Isabelle, Sonia et Jonathan.
Le Maire, accompagné de Christiane Defaux adjointe au maire, déléguée à l'Enfance et à l'Accès au Savoir, Martine Bouf et Safia Ihaddadene directrice du service municipal d'animation, se sont rendus dans quelques unes de ces classes pour distribuer ces livres et expliquer aux enfants qu'il est important de lire, d'y trouver du plaisir et d'apprendre.
Un grand merci aux enseignants qui sont toujours de précieux partenaires pour toutes ces actions.
Décidément, il se passe toujours quelque chose à Tomblaine !
En partenariat avec l'association Nancy-France-Pologne, la Ville de Tomblaine avait invité ce jeudi l'ensemble folklorique Polonais Podhale pour leur dernier spectacle de leur tournée dans la Région Grand Est.
S'intéresser à la tradition de nos amis Polonais était l'objectif, mais nous souhaitions aussi tenter l'expérience de l'intergénérationnel en grand nombre. Quelle réussite ! 170 personnes âgées ont répondu à notre invitation à l'Espace Jean Jaurès, auxquels se sont joints plus de 300 enfants des écoles élémentaires de Tomblaine.
En un spectacle d'une heure, 19 chanteurs, musiciens, danseurs en costumes typiques des Tatras-Montagnes du sud polonais, ont fait découvrir au public leurs traditions, chants et danses folkloriques polonais. La première partie était consacrée aux chants et danses populaires et airs traditionnels, la seconde partie aux chants de Noël Polonais.
Le public est sorti ravi !
A l'hôpital à Brabois, je prends l'ascenseur... étant donné le niveau de vétusté, j'évalue que cet ascenseur a été mis en service au XVIIème siècle...
On peut lire difficilement, tant les lettres sont usées par le temps, "5 personnes - 375 kilos"
Un monsieur entre avec moi dans cet ascenseur, il est assez grand et costaud...
On s'arrête au quatrième, un monsieur plutôt fluet monte. L'ascenseur refuse de repartir, un voyant rouge s'allume et une petite sonnerie retentit qui indiquent que l'ascenseur est en surpoids...
Le monsieur fluet est le dernier à être monté, il descend donc. Et notre ascenseur repart...
Mon compagnon de route me regarde alors et me dit, songeur "pourtant, 375 kilos... On a beau être deux beaux bébés..." Je souris.
Il réfléchit et ajoute "375 kilos... moi je fais 130 kilos... et vous ?"
Tout cela entre le quatrième et le rez de chaussée. Là, j'étais carrément énervé.
L'association départementale des Francas de Meurthe et Moselle est un partenaire important de la Ville de Tomblaine dans le cadre de sa politique pour la jeunesse et l'éducation populaire. Ce mercredi les Francas innovaient avec la première Rencontre du Film Jeunes de Tomblaine "Fais ton ciné !"
Et pour une première, ce fut une belle
réussite. Un appel à réaliser des très courts-métrages avaient été lancé via les Centres de Loisirs ou les activités périscolaires menés dans le département par les Francas. Un règlement simple, la participation est réservée aux moins de 25 ans, les films ne peuvent excéder 4 minutes et des défis techniques et/ou artistiques étaient imposés... pour corser un peu le tout !
A l'Espace Jean Jaurès se retrouvaient ainsi plus de 200 enfants venus de tous le département, du Pays-Haut, de Villerupt, d'Auboué, d'Audun le Roman, de Vandoeuvre, du Haut du Lièvre, de Tomblaine,...
Et beaucoup plus encore, car la journée était ouverte en libre accès au public.
Quinze films avaient été réalisés pour 10 Communes différentes. Tous ont été présentés sur écran géant et ovationnés par le public, car ce n'est pas un concours, il n'y a pas de concurrence. Il s'agit juste d'apprendre, de maîtriser une technique, de créer, d'imaginer. Bref, c'est de l'Education Populaire.
La projection de chaque film a été suivie d'une interview sur scène des (très) jeunes comédiens et réalisateurs qui devaient pour cela monter des marches et passer sur un tapis rouge (comme à Cannes !) Tous les films ont ainsi été mis en valeur.
De nombreux animateurs Francas encadraient cette belle manifestation, dont certains sont actuellement en formation BPJEPS. On peut voir sur cette vidéo que parfois, ça a tourné carrément à la fête ! En tous cas ça n'a pas été triste !
Et puis de nombreux stands étaient aussi pris d'assaut par les enfants, zone d'essai de pilotage de drônes, studio de radio, banc de montage de films, etc.
La journée s'est achevée par un grand goûter, dans la bonne humeur. L'Espace Jean Jaurès est unique dans sa conception et par les possibilités qu'il offre pour de telles manifestations, et la Ville de Tomblaine fait de la jeunesse une de ses priorités, c'est pourquoi les Francas ont choisi d'installer cette Rencontre "Fais ton ciné" ici à Tomblaine. Il a été donc décidé de renouveler chaque année cet évènement...
Silence ! On tourne !
Lundi après-midi, j'étais invité au Collège Jean Moulin à Tomblaine dans le cadre de la semaine de la Laïcité. Je suis intervenu en deux fois une heure face à des classes qui avaient travaillé sur le sujet au préalable. Les collégiens m'ont présenté de superbes dessins et textes qu'ils avaient réalisés. Après chacune de mes interventions, une discussion s'est engagée avec ces élèves qui se sont montrés intéressés et intéressants. Bravo aux enseignants qui jouent là un rôle déterminant dans la formation citoyenne de leur élèves.
Puis de 16h à 17h30, je rencontrais l'équipe de la Maison des Solidarités de Tomblaine (les assistantes sociales du Conseil Départemental avec leurs responsables). Denise Gundelwein, Adjointe au Maire, déléguée aux affaires sociales et les personnes qui travaillent au CCAS de la Ville de Tomblaine participaient à cette réunion, dont l'objet était l'aide sociale et la solidarité sur le territoire de la Ville de Tomblaine. Comment mieux harmoniser nos actions ? Une réunion de travail très constructive.
Et puis de 18h30, à 20h30 devant 80 responsables d'associations tomblainoises et d'acteurs de la vie locale, nous avons eu une belle rencontre, à la Mairie, pour évoquer ensemble nos fonctionnements, les évolutions de la Ville de Tomblaine et aussi les grands projets.
En présence d'Hinde Magada, Adjointe au Maire et Présidente du Comité des Fêtes, ainsi que de tous les adjoints au Maire, un temps de rencontre pour mieux se connaitre et porter tous ensemble le projet pour Tomblaine.
C'est un très long article, mais prenez le temps de le lire. On comprend que tant que Macron ne reviendra pas sur la suppression de l'ISF et sur la dépendance de la France aux banques privées (ce qui repose le problème de l'Europe...), il se moque de vous avec ses mesurettes...
DE POMPIDOU À MACRON, LE SYSTÈME ROTHSCHILD TIRE TOUJOURS PROFIT DE LA DETTE PUBLIQUE…
Depuis la loi de 1973, dite
« loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, l’État est obligé de passer par le système des banques privées pour financer son endettement.
Aujourd’hui, Emmanuel Macron, issu lui aussi de la banque Rothschild, ne compte pas bien sûr remettre en cause cette loi, préférant faire des coupes sombres dans les budgets sociaux pour réduire le déficit de l’Etat…
Depuis 1973, le Trésor public ne peut plus présenter ses propres effets à l’escompte de la Banque de France. En clair, l’État est condamné à se financer par des emprunts, contre intérêts, auprès de banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France.
Comment en est-on arrivé
là ? En 1973, après de 30 années de création monétaire, l’économie française était remise à flot. Dans l’esprit de l’ancien président de la République, Georges Pompidou, et des hauts fonctionnaires qui l’entouraient à l’époque, la France était désormais reconstruite suite aux destructions de la deuxième guerre mondiale.
Il ne semblait donc plus aussi nécessaire de laisser persister des mécanismes qui s’étaient avérés bénéfiques pour le financement de dépenses d’investissements structurels, d’autant plus que ces mécanismes de création monétaire avaient été souvent utilisés pour financer le fonctionnement courant de l’Etat.
Il s’agissait avant tout d’instituer un garde-fou afin de préserver le pays de l’inflation et des dévaluations de la monnaie en s’imposant une discipline budgétaire. Il apparut souhaitable à la fois d’encadrer les dérives potentielles de l’Etat et de sortir d’une ère d’économie administrée en établissant un autre système de financement.
Mais le problème, c’est que ces bonnes intentions finirent par faire le jeu du monde de la finance qui a vite vu l’intérêt qu’il pouvait retirer d’un système par lequel l’État devait obligatoirement passer pour emprunter. De ce point de vue, la loi de 1973 fut également le fruit d’un habile lobbying bancaire visant à neutraliser tous ceux qui étaient favorables au système en vigueur jusqu’ici.
Cette loi a été abrogée en 1994 mais après avoir été étendue et confortée au niveau de l’Union européenne par les traités de Maastricht (à compter du 1er novembre 1993, article 104) et Lisbonne (à compter du 1er décembre 2009, article 123) que la France applique à la lettre depuis cette date.
Les critiques de la loi de 1973 :
Contrairement à ce qu’escomptaient les initiateurs de la loi de 1973, l’endettement public non seulement s’est poursuivi mais a augmenté considérablement, l’État étant progressivement devenu l’otage d’un système financier privé.
On le voit aujourd’hui en France mais aussi en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, ce ne sont plus les états qui gouvernent mais la « troïka » (Union européenne, Fond monétaire international et Banque centrale européenne) qui resserre toujours davantage son emprise financière sur les pays, notamment du Sud de l’Europe.
La critique de cette loi a notamment été portée par Étienne Chouard qui a préfacé le livre de l’essayiste altermondialiste André-Jacques Holbecq « La dette publique, une affaire rentable », publié en 2008.
Le webdocumentaire
« L’Argent Dette » (documentaire sur la création monétaire, 2008) de de Paul Grignon, fustige le fait que les États empruntent de l’argent et payent des intérêts, alors qu’ils pourraient créer l’argent. Diffusé en streaming sur le web et en DVD, il nous montre à l’aide d’animations et d’explications claires la façon dont est créé l’argent. Et contrairement à ce que l’on peut croire, la monnaie créée par l’État ne représente que 5% de l’argent en circulation contre 95% créée par quelqu’un signant une reconnaissance de dette à une banque.
Gabriel Galand et Alain Grandjean, membres de l’association « Chômage et Monnaie », créée en 1992, ont dénoncé eux aussi cette loi dans un livre de 1996, » La monnaie dévoilée « , aux Editions L’Harmattan.
Dans le documentaire franco-allemand d’Arte, « La dette, une spirale infernale ? », le pouvoir des banques de créer de l’argent à partir de rien, contre une promesse de remboursement y est critiqué également par le regretté Bernard Maris qui expliquait notamment : « L’argent, qui était devenu un bien public – c’est-à-dire que l’État gérait la création monétaire – est redevenu un bien privé, créé par les banques, de grandes puissances autonomes, dans les années 1970, et après ça n’a fait que s’amplifier ».
C’était aussi l’avis de Michel Rocard qui estimait que cette loi a « interdit à l’État de se financer sans intérêt auprès de la banque de France » et l’a obligé à « aller se financer sur le marché financier privé à 4 ou 5 % ».
Dans son livre « L’Arnaque du siècle » de 2012, Nicolas Dupont-Aignan écrit « Comment pouvons-nous accepter d’avoir transféré la création monétaire au secteur privé, c’est-à-dire aux banques privées ? […] Est-il normal, pour construire une autoroute, pour financer le haut débit, d’emprunter à 3 % à des banques ou par des obligations alors que la banque centrale publique prête à 1 % ? […] Alors même que l’on pourrait, comme la France l’a fait jusqu’en 73 […] financer à un taux abordable nos équipements publics ? ».
Des critiques, comme Emmanuel Todd, vont jusqu’à considérer que la dette est illégitime et ne doit pas être remboursée.
Des chiffres méprisés par Emmanuel Macron :
Si les taux d’intérêt ont fortement diminué ces dernières années, s’établissant à moins de 1% en moyenne ou même négatifs à certaines périodes de l’année depuis 2012, ils ont été très élevés par le passé.
Dans les années 80, le taux d’intérêt moyen à 10 ans était de 11,9%, dans les années 90 de 6,3%, dans les années 2000 de 3,9%. En 2011, les taux d’intérêt à dix ans notamment sur les emprunts d’Etat de la Grèce ont atteint des niveaux record, jusqu’à 17,68 % ! La tension sur la Grèce a poussé à la hausse les taux des autres pays fragiles de la zone euro : les rendements à dix ans de l’Irlande ont atteint jusqu’à 11,31 % et ceux du Portugal 10,46 %.
En 1978, la dette publique de la France représentait 72,8 milliards € et 21,2% du PIB.
En 1988 : 302,8 milliards € et 33,3% du PIB.
En 1998 : 787,4 milliards € et 59,6% du PIB.
En 2005 : 1147,6 milliards € et 66,8% du PIB. La charge de la dette (paiement des intérêts seuls) se montait à 47,4 milliards d’euros, soit la presque totalité de l’impôt sur le revenu payé par les Français. Cette charge était le deuxième poste budgétaire de l’État français, après celui de l’Éducation nationale et avant celui de la Défense.
En 2007 : 1211,6 milliards € et 64,2 % du PIB. La charge des intérêts se montait à plus de 50 milliards d’euros, soit l’équivalent du déficit public.
Fin 2013 : 1 925,3 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
A la fin du 1er semestre 2014, la dette a dépassé officiellement les 2 000 milliards €.
Fin 2015, lorsque Emmanuel Macron était encore ministre de l’Economie, de l’industrie et du Numérique, la dette est montée à 2 098 milliards € !
Fin juillet 2017, la dette s’élevait à 2 226 milliards € (soir 35 441 € par habitant et 70 882 € par ménage)
Un calcul précis révèle en outre que de 1980 à 2008, la dette a augmenté de 1 088 milliards €, les intérêts payés se montant à 1306 milliards d’euros ! Sans les intérêts encaissés par les financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d’euros au lieu de 1 327 milliards € !
Une situation dramatique qui s’est encore aggravée depuis la crise de 2008 où, en volant au secours des institutions financières, l’État est également devenu le fournisseur en premier ressort de ces mêmes institutions qui lui reprochent son endettement et lui appliquent en conséquence des taux usuraires.
Aujourd’hui, Emmanuel Macron occulte systématiquement le problème du financement de la dette publique par des organismes bancaires privés à l’image des « éminents journalistes » que sont les Apathie, Barbier, Calvi, Demorand, Joffrin, Lechypre, Lenglet, Pernaut, Pujadas qui préfèrent parler de « l’insupportable fardeau de la dette », « la France en faillite », « les nécessaires sacrifices à faire », « la nécessité de ne pas vivre au-dessus de nos moyens » etc.
C’est ainsi que s’imposent dans l’opinion françaises et européenne des vérités apparentes qui confortent l’inéluctabilité de l’austérité et la remise en cause le système des créanciers privés pour financer l’endettement des états…
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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