Aldo Platini nous a quittés, et nous sommes nombreux à être tristes tant Aldo était estimé et aimé de tous. Il avait de la classe, de l'humour et de la pertinence dans ses propos, et en particulier quand il parlait football. Car il était expert et il avait été un recruteur précieux pour l'AS Nancy Lorraine. Combien de fois me suis-je amusé à écouter ces trois sages si attachants Roger Piantoni, Hervé Collot, et Aldo Platini commenter les matches au stade Marcel Picot, leur passion, leur connaissance du jeu, leurs plaisanteries, leur amitié.
J'avais appelé Aldo Platini, il y a quelques mois, alors qu'il était malade.
Je tiens à présenter mes sincères condoléances à Michel Platini et à sa famille pour le décès d'Aldo, nous sommes nombreux à partager leur peine.
Hervé Féron.
Je tiens à présenter mes excuses à mes invités, lors de cette sympathique soirée consacrée à René Cordier, qui étaient placés sur ma gauche au moment de la photo-souvenir.
Dans l'article de l'Est Républicain d'aujourd'hui, ils n'apparaissent pas sur cette photo. J'avais oublié de les prévenir de ne pas se placer là, puisque depuis plusieurs années, l'Est Républicain découpe régulièrement les photos juste à la limite pour que je n'apparaisse pas, parce que je suis blacklisté... et alors forcément les acteurs de cette soirées qui auraient mérité d'apparaître sur cette photo ont aussi disparu !
Game over !
Désolé...
Hervé Féron.
René Cordier, tout le monde le connait dans le milieu sportif, et tout le monde l'apprécie.
Depuis une dizaine d'années, il entraine les gamins de Tomblaine à l'Espace Jean Jaurès,
qui était , il y a longtemps une usine, où l'on fabriquait des motoculteurs Bouyer...
Un jour René Cordier m'a confié que quand il était jeune, il avait travaillé pendant des
années en atelier dans cette usine, où il passa même son CAP d'ajusteur-tourneur.
Alors nous avons décidé de dénommer la nouvelle salle de boxe flambant neuve à
l'Espace Jean Jaurès "salle de boxe René Cordier".
Hier, mercredi 13 décembre, tous les amis étaient réunis pour cette occasion autour de
René et son épouse et surtout tous les grands champions qu'il a formés pendant des décennies
et qui ont remporté tant de titres prestigieux !
"on a fêté nos retrouvailles"
Ils ont tous été présentés comme pour un grand gala de boxe, René ne s'y attendait pas,
c'était une belle surprise que chacun avait à coeur de lui faire.
"Dominique Natto, vice-président de la Fédération Française de boxe était présent, ainsi que Stéphane Ferrara"
Stéphane Ferrara est ancien grand champion de boxe, reconverti en comédien au cinéma
avec talent (et d'ailleurs le soir même sur ARTE était diffusé le film "le détective" dans lequel
Stéphane Ferrara avait partagé l'affiche avec... Johnny Halliday !)
On en a bien sûr profité pour faire la petite photo collector sur laquelle on reconnait tous ces champions venus pour René Cordier.
Après cela on a dévoilé la plaque de la "salle de boxe René Cordier"
Et puis, avant de partager le verre de l'amitié, on a eu droit à quelques échanges sur le ring tous coachés
par René. Tout d'abord des jeunes tomblainois Luka Bokhorni-Tissier (7 ans), puis Melisse Hildenbrand face
à Stéfyna Vuillaume.
La première surprise a été de voir Stéphane Ferrara mettre les gants pour une petite démo !!!
Et.. Ingrid Baena (qui a été championne de France) s'est opposée (amicalement) à ... Anne-Sophie Mathis,
8 fois championne du monde !!!
Un très grand moment d'émotion, d'amitié, et de reconnaissance pour ce grand monsieur qu'est René Cordier.
Il s'est passé tant de choses en une soirée qu'il était difficile de vous en rendre compte aussi vite. Nous publierons
la semaine prochaine un vrai reportage, avec toutes les photos, les présentations des champions et leur palmarès,
et tout le monde pourra récupérer ces éléments-souvenirs sur le net.
Mercredi 13 décembre à 18 h à l'Espace Jean Jaurès à Tomblaine, la nouvelle salle de boxe sera dénommée
"salle René Cordier" en hommage à ce grand entraineur qui a formé tant de champions et qui y a travaillé en
atelier comme ajusteur-tourneur, pendant plusieurs années, au temps où l'Espace Jean Jaurès était une usine,
l'usine Bouyer (où l'on fabriquait des motoculteurs Bouyer).
Il y aura de l'émotion, mais aussi de belles surprises qu'on ne peut pas dévoiler à l'avance... Venez nombreux,
si vous êtes de nos amis, vous y êtes cordialement invités !
Le Conseil Municipal de Tomblaine a duré plus de deux heures et tout a été voté à l'unanimité.
Avant d'ouvrir la séance, j'ai présenté, avec à l'appui un power point, le projet de
réalisation des 36 logements Batigère avenue de la Paix et boulevard Barbusse. Ce projet
avait été déjà présenté au Conseil très en amont, c'était là un point d'information pour ce
projet qui est en cours. Le journaliste n'en a pas parlé.
Excellent climat, pas de problème.
Si vous lisez encore l'Est Républicain, vous pouvez croire que cela s'est passé différemment.
Le journaliste est arrivé très en retard, il est reparti en avance.
Il sous-titre : "un conseil municipal dense qui a vu s'opposer deux conceptions opposées sur
le travail du dimanche" (sic ! "s'opposer deux conceptions opposées" c'est tout un style ! Chez
ces gens-là, on n'a pas peur des répétitions ou des fautes de style !)
La réalité, c'est qu'une conseillère municipale qui détenait un pouvoir a souhaité s'abstenir (et
non pas s'opposer, c'est donc un mensonge de plus que d'écrire cela) sur le sujet de l'ouverture
d'Auchan le dimanche. Je lui ai donné mon avis, cela n'a pas duré plus de deux minutes sur les
deux heures de Conseil Municipal. Cette délibération a été votée à l'unanimité.
Mais le besogneux journaliste commente quand même"une position qui a irrité le maire..."
Le Conseil Municipal est le lieu où l'on peut débattre, si on ne peut plus donner un avis sans que la presse
vous dise "irrité", il faut supprimer les Conseils Municipaux et il faut que le correspondant local écrive à
l'avance les compte-rendus des Conseils (comme cela se pratique à chaque Conseil de Métropole...).
Je n'étais pas irrité, ce qui m'irrite ce sont les journalistes qui se servent de notre actualité très dense, pour
vivre et tenter de vendre leur journal, mais qui la rapportent à leur façon en étant mal intentionnés.
Ce sont ceux qui sont absents pendant les débats, ceux qui ne comprennent pas, ceux qui boycottent
certains acteurs de la vie publique,... C'est vrai ces méthodes m'irritent et vous êtes nombreux à me témoigner
que vous pensez comme moi à ce sujet.
Il est temps qu'un Conseil Supérieur de la Déontologie Journalistique soit créé dans ce pays pour tenter de
sauver la PQR, mais surtout pour tenter de sauver la démocratie et la pluralité de l'information.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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