"Monsieur le Président,
Chers Collègues,
Ma question s'adresse à Monsieur le Ministre du travail et de l'emploi.
La semaine dernière, un sondage publié dans un grand quotidien a révélé une triste image que les Français auraient de la jeunesse : « égoïstes, paresseux, intolérants » : voilà comment les Français verraient leurs jeunes.
Mais comment les considérer comme paresseux quand les seules portes s'ouvrant à eux sont celles de Pôle Emploi ?
Comment les considérer comme égoïstes quand ils constituent la classe la plus pauvre du pays et qu'ils n'ont rien d'autre à partager que leur désespoir. 22,5% d'entre eux en effet vivent sous le seuil de pauvreté !
Comment les considérer comme intolérants quand vous ne savez pas les entendre.
Monsieur le Ministre, en considérant la jeunesse comme un problème a priori, vous vous trompez, car la jeunesse est une chance, une opportunité pour notre société.
En matière de politique pour l'emploi, vos chiffres sont consternants. Vos résultats sont synonymes d'un échec cuisant.
440 000 jeunes de moins de 25 ans sont demandeurs d'emploi.
Le chômage des jeunes vient d'augmenter de 0,6% en un mois.
Quelles perspectives proposez-vous aux jeunes en matière de formation professionnelle ou d'emploi ?
Depuis 5 ans, vous avez beaucoup promis, mais à l'heure du bilan, votre réponse est toujours la même : récession, récession, récession !
Le 10 novembre 2010, Nicolas Sarkozy déclarait : « le chômage reculera l'année prochaine, l'économie repart ». Un an plus tard, 130 000 chômeurs de plus !
Nous voulons dire aux jeunes de ce pays qu'une autre politique économique et sociale est possible. Une véritable ambition pour la jeunesse est possible. Les choix que vous avez faits pour enrichir les nantis ont donné les résultats que nous constatons aujourd'hui.
Monsieur le Ministre, vous avez sacrifié toute une génération, cette génération qui est en droit d'attendre et d'espérer."
La presse vous a habitués à relayer toutes les informations, même les plus fantaisistes, qui lui proviennent des dirigeants de l’A.S. Nancy-Lorraine ou de Michel Dufraisse, mais bien sûr elle ne vous communique pas mes prises de positions…
C’est pourquoi je vous informe que je suis intervenu (comme vous ne l’avez pas lu du tout dans votre quotidien préféré…) en ouverture du Conseil de Communauté Urbaine, vendredi 25 novembre. Voilà en quelques mots ce que j’ai pu dire :
- Ce qui se passe au niveau des jardins ouvriers de la Méchelle n’est absolument pas de ma responsabilité. Le propriétaire de ces terrains était Monsieur Lignac, ex-PDG de l’Est Républicain (ceci explique cela…), qui les a vendus à la communauté urbaine du Grand Nancy (cela explique ceci…). Il est prévu depuis 8 ans dans le cadre du Plan Local d’Urbanisme de Tomblaine de supprimer ces jardins ouvriers. Je fais remarquer que pour cela, des enquêtes publiques ont été menées très largement et que pas une personne ne s’est opposée à cette décision. Je fais remarquer encore que les personnes qui exploitent ces jardins à cet endroit ont été interpellées à plusieurs reprises sur l’état déplorable de certains jardins (baraquements délabrés non autorisés, bidons en triste état, clôtures faites avec de la tôle ondulée, impression parfois de bidonville), même si souvent certains potagers étaient réellement cultivés et dans de bonnes conditions. La plupart de ces jardiniers n’habitent pas Tomblaine, et aucun n’était propriétaire de ces parcelles. On peut trouver anormal une telle concentration sur Tomblaine de jardins dans un tel état quand d’autres communes n’en veulent pas. J’ai fait remarquer à André Rossinot que je trouvais particulier que l’on parle du stade Marcel Picot de Nancy, de l’aérodrome de Nancy-Essey, de la piscine du Lido comme de la piscine de la Rive Droite, alors que tous ces équipements sont sur le territoire de Tomblaine, et que là, parce qu’il y a problème, on parle des jardins ouvriers de Tomblaine, alors que je viens de vous expliquer que nous ne sommes pas responsables de la situation.
- Personne n’est en mesure de me donner des leçons quant au développement durable. Par exemple, j’étais très seul pendant plusieurs années quand je me suis battu pour faire reconnaître l’île du Foulon et l’île de l’Encensoir en espace naturel sensible, et ainsi faire protéger ces 17 hectares de poumon vert au milieu de la ville.
J’ai proposé aux jardiniers de venir me voir. Malheureusement, ils ne sont jamais venus me rencontrer. Je leur aurais dit que depuis que je suis maire, j’ai fait acheter par la commune de Tomblaine en tout une quarantaine de parcelles que j’ai mis à la disposition de personnes souhaitant jardiner dans la proximité, moyennant une location de 5 euros par an. Je leur aurais dit aussi que j’ai discuté avec André Rossinot, et que nous sommes prêts à leur proposer des parcelles dans les mêmes conditions, c’est-à-dire qu’il faudra bien les entretenir, sur la Plaine Flageole, à 300 mètres de là. Les gens qui s’agitent, qui font beaucoup de bruit autour de ce sujet, sont-ils bien intentionnés ? Quelles sont leurs intentions réelles ? En tout cas, ces personnes me nuisent puisque les médias locaux ne racontent pas l’histoire dans sa réalité.
- Cela dit, au Conseil de Communauté Urbaine, j’ai aussi dit à André Rossinot que les quelques personnes qui protestent à propos des jardins le font parce qu'elles sont contre le projet d’agrandissement du stade et qu’elles ne comprennent pas qu’on ne les informe pas, qu’on ne les entende pas, alors que la presse publie des informations fantaisistes. J’ai alors fait référence à l’effet d’annonce « Aréna », rappelant que je suis le seul à dénoncer depuis le début l’incohérence du projet, sur un plan économique, environnemental, et démocratique, puisque les élus de la seule ville concernée, Tomblaine, ne sont ni informés, ni entendus. Je suis le seul aussi à dire depuis le début que d’autres infrastructures communautaires seront mises en difficulté par un tel projet, et en particulier le Zénith. Aujourd’hui, le journal local se fait à nouveau le relais de Michel Dufraisse par une annonce qui surprend tout le monde quant à des travaux à venir au Zénith. Tiens, tiens… Vous avez dit bizarre ? Comme c’est bizarre ! De deux choses l’une : soit Michel Dufraisse veut calmer les personnes qui s’inquiètent du devenir du Zénith en raison de l’inutile projet d’agrandissement de Picot, soit il commence à préparer l’opinion publique grâce au relais que lui donne le journal local dans l’éventualité d’un prochain abandon du projet d’agrandissement de Picot. La suite risque d’être croustillante !
Cela dit, je me permets à travers mon blog qui, je le sais, est fort lu, de prendre à témoin l’ensemble des conseillers communautaires du Grand Nancy, de la majorité comme de l’opposition : n’êtes-vous pas étonnés d’apprendre dans la presse que Monsieur Dufraisse ait l’intention d’engager de nouveaux travaux au Zénith ? Personnellement, je trouve que ce serait vraiment très bien, mais ce qui est étonnant, c’est que nous n’en avons jamais entendu parler, alors que lui communique cela à la presse. On est là sur les mêmes façons de faire que pour le projet d’agrandissement du stade Marcel Picot.
En tout cas, le président Rossinot était très embêté pour me répondre succinctement après mon intervention au Conseil de Communauté Urbaine ? Manifestement, ils sont embarrassés…
Cet après-midi, entre 15h et 16h, lors de la séance des questions au gouvernement, j'interpellerai le Premier Ministre sur la précarité des jeunes et les mauvais chiffres du chômage qui pénalise en particulier la jeunesse.
Vous pouvez suivre la question en direct sur France 3, LCP, ainsi que sur le site de l'Assemblée Nationale en cliquant ici.
Un article paru dans le journal Métro, qui résume parfaitement les enjeux de ce dossier :
(Cliquez sur les images pour agrandir)
La presse locale continue à être le porte-parole de toujours les mêmes... Cette fois-ci, voilà qu'on nous annonce carrément une Aréna à la place du stade Marcel Picot. Je rappelle que depuis le début, je dénonce le fait que les coûts annoncés étaient sous évalués, tout comme la participatiion en argent public.
Ils nous ont parlé au départ de 63 millions d'euros, puis 70, puis 80, alors que l'Aréna de Lille est estimé à 280 millions d'euros ! Jusqu'où va-t-on aller dans ce délire ? Même André Rossinot me confirme que cette annonce, c'est du n'importe quoi !
Chaque fois que Jacques Rousselot ou Michel Dufraisse annonce quelque chose, la presse s'en fait le porte-parole. Je rappelle que dans les deux pages achetées par Monsieur Rousselot aux frais de l'ASNL il y a deux mois, on a pu lire un tissu de mensonges, qui d'ailleurs se confirme dans le journal d'aujourd'hui, puisqu'il y a deux mois, il était annoncé qu'un permis de construire avait été déposé en janvier 2010 pour l'agrandissement du stade, et aujourd'hui voilà qu'on nous dit dans le même journal qu'il n'y a toujours pas de permis de déposé.
Le plus grand scandale est que les élus de Tomblaine n'ont aucune information sur le projet, sur les tractations, on continue à nous annoncer qui seront les attributaires du marché public sans vergogne, alors que celui-ci n'a toujours pas été attribué.
Très majoritairement, les Grands Nancéiens ne veulent pas de ce projet inutile et coûteux. Les Tomblainois riverains sont contre à la quasi unanimité, le conseil municipal de Tomblaine a voté contre très majoritairement. Je dis depuis le début, et je suis tout seul à le dire, que ce genre de projet va plomber l'avenir d'autres infrastructures du Grand Nancy comme le Zénith. Et pendant ce temps-là, certains (oh, pas nombreux, c'est sûr !) s'agitent et se font plaisir en m'envoyant des messages insultants à mon égard, ou me tenant comme responsable de la suppression des jardins de la Méchelle, et en prétendant que je ne peux pas ignorer les projets pharaoniques de l'agrandissment du stade.
Alors que, vous le savez, si aujourd'hui vous êtes très nombreux à être opposés à ce projet, très longtemps j'ai été très seul pour le combattre. Ceux qui ne veulent entendre que les informations mensongères sur ce sujet font le jeu de la droite et des petits intérêts privés, et ils le savent bien...
Il y a quelques mois, j'avais interpellé à plusieurs reprises la Secrétaire d'Etat chargée de la Santé au sujet des vertus bactéricides du cuivre, et de l'utilisation que nous pourrions en faire dans la lutte contre les infections nosocomiales, ces maladies que nous pouvons toutes et tous attraper lors d'une hospitalisation. Pour certaines questions, je n'ai eu aucune réponse. Pour celle que j'ai posée le 28 juin dernier, la réponse n'était pas satisfaisante (cliquez ici pour revoir cette intervention).
Les derniers résultats scientifiques étant encourageants au-delà de ce qu'on pouvait imaginer, j'ai décidé de relancer le débat en posant une nouvelle question écrite à Madame Nora BERRA, Secrétaire d'Etat chargée de la Santé, et pour lui renouveler ma proposition de mise en place d'un plan pluriannuel d'équipement en cuivre des matériels utilisés dans les hôpitaux français. Je vous en fais part ci-dessous :
"Monsieur Hervé Féron interroge Madame la Secrétaire d’Etat auprès du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, chargée de la Santé, sur l’utilisation du cuivre dans les hôpitaux dans la lutte contre les infections nosocomiales. Le député avait déjà interpellé Madame la Secrétaire d’Etat à ce sujet par Question Ecrite du 27 avril 2011, restée sans réponse, puis par Question Orale le 28 juin dernier, en s’appuyant sur des rapports parlementaires et des études scientifiques. Il en rappelle les principaux éléments : en 2006, le sénateur Alain Vasselle a établi dans son rapport relatif à la politique de lutte contre les infections nosocomiales que 750.000 hospitalisations sur 15 millions annuelles sont compliquées par ces infections. En établissant une fourchette de surcoût allant de 3.500 à 8.000 euros par cas, le sénateur Vasselle estime donc que le surcoût total généré est de l’ordre de 2,4 à 6 milliards d’euros chaque année. En France, un patient sur vingt est touché par des maladies nosocomiales, plus de 4.000 en meurent tous les ans (chiffres de l’office parlementaire d’évaluation des politiques de santé). C’est autant que de morts par accident de la route chaque année. Par ailleurs, une étude de l’Université de Southampton, publiée en 2006, révèle que 99% des germes pathogènes sont éradiqués en moins de deux heures. Suite à ces éléments, le député avait proposé à Madame la Secrétaire d’Etat de mettre en place un plan pluriannuel d’équipement en cuivre des matériaux utilisés dans les hôpitaux. Elle avait alors exprimé le souhait d’attendre davantage de résultats avant de prendre une quelconque décision. Puis, Hervé Féron avait réinterrogé Madame la Secrétaire d’Etat par Question Ecrite du 28 juillet 2011, question à nouveau restée sans réponse. Depuis, de nouveaux éléments concrets sont venus confirmer les propos tenus par le député. Déjà, le Professeur Schmidt, de l’Université de Caroline du Sud, a conduit une expérimentation, dans les services de soins intensifs de trois hôpitaux militaires américains, sur les effets du cuivre sur les infections nosocomiales. Le 2 juillet 2011, lors de la Conférence ICPIC (Conférence Internationale pour la Prévention et le Contrôle des Infections) à Genève, il a ainsi révélé que l’utilisation du cuivre avait permis de réduire de 40,4% l’incidence des infections nosocomiales. De plus, l’hôpital de Rambouillet a inauguré le 7 octobre dernier ses nouveaux équipements en cuivre ou alliage de cuivre installés dans les services de réanimation et de pédiatrie (rampes, robinetterie, distributeurs de savon…). Le CICLA (Centre d’Information du Cuivre, Laitons et Alliages) a fourni 400 kg de cuivre, soit 2.500 euros de matière première, auxquels se sont ajoutés 10.000 euros d’installations mis en œuvre par le personnel de l’établissement de Rambouillet. Bien que le protocole d’évaluation soit en cours et que plusieurs mois seront nécessaires pour connaître l’impact réel des installations sur l’organisme humain, la direction de l’hôpital est particulièrement optimiste et ne doute pas que les résultats seront similaires à ceux du Professeur Schmidt. En se basant sur ces nouvelles données et sur le rapport Vasselle, on peut estimer que l’équipement des hôpitaux français en cuivre permettrait à l’assurance maladie de réaliser une économie allant de 960 millions à 2,4 milliards d’euros par an, ce qui n’est pas négligeable dans le contexte économique que nous connaissons actuellement. A cet aspect purement financier s’ajouteraient les nombreuses vies qui pourraient être sauvées. Le député demande donc à Madame la Secrétaire d’Etat pourquoi le gouvernement tarde-t-il à lancer le plan pluriannuel qu’il a proposé, alors que les nouveaux éléments attendus ne laissent plus aucun doute sur la pertinence d’une telle mesure."
Il me semble que la réussite d'un club sportif professionnel pour une collectivité a pour intérêt l'image qu'elle donne de cette collectivité (ville, agglomération), son rayonnement qui participe à la rendre économiquement attractive et puis bien sûr le plaisir apporté aux spectateurs et les belles valeurs du sports lorsqu'elles sont honorablement portées.
Je souhaiterais vous parler du SLUC Nancy Basket, qui vit une période exceptionnelle. Champion de France en titre, leader de l'actuel championnat, le SLUC se comporte plutôt bien en Euroligue. Oui, ses résultats sont exceptionnels, alors que le budget est moyen pour le championnat de France et... lilliputien dans l'univers des géants de l'Euroligue. La saison dernière, malgré de superbes résultats (et cela dure depuis plusieurs années), le SLUC a été en difficulté pour boucler son bilan, et la CUGN a voté un avenant à la convention qui la lie au SLUC, une rallonge de 250.000 euros.
Le SLUC a fini champion de France, c'est exceptionnel. Il s'est qualifié pour l’Euroligue, c'est exceptionnel. Il a réussi à attirer un très grand joueur, Nicolas Batum (en profitant de l'opportunité du lock-out aux USA), c'est encore exceptionnel. Et le SLUC a peut-être la possibilité de se qualifier dans le top 16 européen parce qu'il a une très grande équipe (avec un banc performant) et un grand coach.
Bref, rien que de l'exceptionnel, il ne faudrait donc pas rater cette opportunité.
Là où ça commence à se gripper, c'est que le SLUC a perdu un ou deux matches de peu, et qu'il paraît évident que sa faiblesse est au rebond. Pour franchir la marche supérieure, il faudrait recruter un bon rebondeur, ou encore Mickael Gelabale (dont la compagne vit à Nancy). Gelabale est international, presque disponible, et semble intéressé par Nancy. Le SLUC pourrait recruter, puisque sa qualification à l'Euroligue lui a rapporté 700.000 euros... Eh bien non ! La CUGN, représentée (par devinez qui ?) au conseil de surveillance du SLUC, souhaite que cet argent soit gardé précieusement ! Pour renforcer les finances du SLUC, pour recapitaliser. Il me semble que c'est une erreur, un manque d'ambition. Avec cette somme, le SLUC a de quoi faire ce recrutement. Ne pas lui permettre ce recrutement signifie ignorer que cette situation exceptionnelle ne se reproduira peut-être pas d'ici longtemps. Et puis, si le SLUC pouvait recruter et si cela lui permettait d'accéder au Top 16 européen, n'oublions pas que ce serait synonyme d'une nouvelle manne financière importante.
Comparons maintenant avec le football.
La CUGN envisage de mettre 25 millions, plus 8 millions que l’Etat doit lui donner (au début c’était pour les extérieurs du stade), plus la caution d’un emprunt de 30 millions, plus tout ce qu’on ne nous dit pas (études, acquisitions de terrains) pour l’agrandissement d’un terrain de football qui sera inutile.
Il ne s’agit pas là d’opposer le club du SLUC Nancy Basket à l’AS Nancy-Lorraine. Mais la somme dont dispose le SLUC et que la CUGN lui refuse d’investir, est 100 fois moins importante que la somme que la CUGN envisage de mettre dans l’inutile agrandissement du stade Marcel Picot sur fonds publics.
Je pose juste une question : pourquoi ?
La sagesse serait de permettre au SLUC Nancy Basket de recruter vite.
La sagesse aurait été d’aider autrement l’ASNL et quand il était temps. Cela aurait évité à l’époque qu’après avoir recruté un excellent entraineur, l’ASNL ne soit obligée de brader une bonne équipe complète de Ligue 1. Elle serait moins en difficulté aujourd’hui.
J’en reviens au conseil que je donnais en conseil de CUGN de façon plus générale au moment du budget : « Pour que nous soyons moins endettés, investissez mieux (c’est-à-dire plus malin…) ! ».
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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