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Mois : juillet 2012 (Page 1 de 7)

Fête de la Ruche de Clairlieu

Hier soir jeudi, Hervé Féron s’est rendu à la Fête de la Ruche, dans le quartier de Clairlieu à Villers-lès-Nancy. Accompagné de Pierre Baumann (conseiller général du canton de Laxou-Villers), de Claudine Baillet-Bardeau (présidente de la CSF, la Confédération Syndicale des Familles de Laxou et Villers), et de Christophe Gérardot (conseiller municipal de Laxou), il a pu assister aux animations et au barbecue géant, tout comme les nombreux parents et enfants présents.

La Ruche de Clairlieu, c’est une structure qui fonctionne en partenariat avec les associations familiales de Villers-lès-Nancy, Laxou et Vandœuvre. Le cadre qui accueille la Ruche est particulièrement agréable : un grand espace vert, entouré de bois, à proximité du site archéologique de l’ancienne abbaye de Clairlieu.

Un grand bravo au jeune et dynamique directeur de la structure, Nicolas Selvanayagon, et à toute son équipe d’animateurs pour leur grand professionnalisme !

Avec Pierre Baumann et Claudine Baillet-Bardeau.

Avec Claudine Baillet-Bardeau, Nicolas Selvanayagon, et une animatrice.

Les conditions d’emploi dans les métiers artistiques à l’étude à l’Assemblée

Hervé Féron a été nommé aujourd’hui pour participer à une mission d’information commune à la commission des affaires culturelles et à la commission des affaires sociales, sur les conditions d’emploi dans les métiers artistiques.

Les 24 députés nommés auront la tâche d’analyser l’adaptation des règles en vigueur aux spécificités des métiers artistiques, au développement de l’emploi culturel et à l’épanouissement de la création. Entreront notamment dans le champ d’étude tant les secteurs du spectacle vivant, de l’audiovisuel que ceux des arts plastiques ou de la création littéraire. La mission examinera la situation des artistes comme celle des techniciens. Elle étudiera les conditions d’emploi des salariés, qu’ils soient employés de manière permanente ou intermittente, comme les conditions d’exercice des indépendants. 

Les leçons de l’UMP sur PSA…

Plusieurs responsables de l’opposition ont eu, aujourd’hui, des expressions particulièrement agressives quant à la politique du gouvernement concernant la situation de PSA et particulièrement contre Arnaud Montebourg.

Il est pour le moins surprenant que des responsables de l’UMP se croient habilités à mettre en cause l’action de l’actuel gouvernement qui a la responsabilité de gérer les conséquences de leur absence de stratégie industrielle pour la France. Les résultats calamiteux de l’ancienne majorité devraient les appeler à plus de modestie. La politique industrielle qu’ils ont menée a été un échec patent : le déficit commercial de notre pays a atteint les 70 milliards d’euros en 2011, tandis que l’emploi industriel connaissait une saignée sans précédent avec la perte de 750 000 emplois dans ce secteur.

Alors que les difficultés de PSA sont connues depuis de nombreux mois, l’ancien gouvernement n’a eu qu’une seule obsession, les mettre sous le tapis en attendant les élections. L’incurie de la droite sur ce dossier comme sur tant d’autres ne l’autorise pas à faire la leçon au ministre du redressement productif, moins encore en des termes aussi grotesques.

Face à ces attaques indignes, le groupe socialiste à l’Assemblée nationale réaffirme son soutien à la politique menée par le gouvernement et par Arnaud Montebourg pour faire face aux difficultés rencontrées par PSA.

Rétablissement d’un impôt sur la fortune à hauteur de 4 milliards d’euros

Les Français ont voulu que la justice soit le cœur du redressement national.

En cinq ans la droite a augmenté tous les impôts sur les ménages (CSG, TVA, taxes). Le seul impôt qu’elle a baissé – en pleine crise ! – c’est l’ISF, distribuant ainsi 2 milliards d’euros au 1% des Français les plus fortunés !

C’est à cette inégalité que nous remédions aujourd’hui, en rétablissant une contribution normale sur la fortune au titre de l’année 2012.

C’est une mesure juste et efficace qui rééquilibre notre système fiscal en taxant davantage la rente et le patrimoine, au profit du travail et de l’économie productive.

Dans la période que nous connaissons, il est nécessaire que l’exemple de l’effort vienne de ceux qui ont le plus.

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