J’ai été une fois de plus très étonné de lire le titre d’un billet aujourd’hui dans l’Est Républicain : « La colère d’Hervé Féron ».
Très étonné, parce que ce n’est pas la première fois que dans ce journal on explique que je suis en colère pour telle ou telle raison. Mais je tiens à rassurer tout le monde, je vais bien, je vais très bien, je suis zen, je reste serein.
Simplement, je revendique le fait d’être libre et de dire ce que je pense.
Mais aujourd’hui, il semblerait que quand on sort de la case dans laquelle on vous a enfermé, quand on sort des normes établies, on apparaît comme étant excessif, voire en colère.
Vous voici donc tous rassurés, lecteurs de mon blog, comme lecteurs de ce quotidien. Le côté très positif, c’est que ce commentaire de la journaliste a permis à l’Est Républicain de rappeler la situation difficile que vivent les ouvriers de Presstalis, car ça c’est aujourd’hui le sujet grave.
Je continue à être un fidèle soutien du Président de la République, mais je continuerai à dire mes désaccords chaque fois que ce sera le cas. Je pense avoir été élu en grande majorité par les classes populaires et je leur dois ce respect.