Agir pour vous et avec vous

Jour : 23 janvier 2014

C’est sous un temps mitigé mais dans la bonne humeur que la première pierre de l’extension de la maison de retraite « La Verrière » a été posée ce matin à Villers-lès-Nancy.

Hervé Féron était présent, en compagnie de Pascal Jacquemin, maire de Villers-lès-Nancy, Pierre Baumann, Conseiller général du canton représentant le Président Michel Dinet, Jean Mourey, Président du Comité du 3ème âge de Villers et Isabelle Dollard-Tisserand, Directrice de l’établissement.

La concrétisation de ce projet dont les travaux peuvent enfin démarrer, permettra d’offrir de meilleures conditions de vie aux résidents grâce à une augmentation de la capacité d’accueil et à la suppression des chambres doubles. Une unité dédiée aux malades d’Alzheimer et autres pathologies apparentées sera également constituée, autorisant une prise en charge adaptée à la situation de ces personnes.

 

 

C’est sous un temps mitigé mais dans la bonne humeur que la première pierre de l’extension de la maison de retraite « La Verrière » a été posée ce matin à Villers-lès-Nancy.

Hervé Féron était présent, en compagnie de Pascal Jacquemin, maire de Villers-lès-Nancy, Pierre Baumann, Conseiller général du canton représentant le Président Michel Dinet, Jean Mourey, Président du Comité du 3ème âge de Villers et Isabelle Dollard-Tisserand, Directrice de l’établissement.

La concrétisation de ce projet dont les travaux peuvent enfin démarrer, permettra d’offrir de meilleures conditions de vie aux résidents grâce à une augmentation de la capacité d’accueil et à la suppression des chambres doubles. Une unité dédiée aux malades d’Alzheimer et autres pathologies apparentées sera également constituée, autorisant une prise en charge adaptée à la situation de ces personnes.

 

 

A la lecture du journal « La Semaine » cette semaine, je suis blessé par une phrase: « oubliés les anciens différends, les empoignades et les menaces de se présenter à Nancy ».

Chacun sait qu’il y a eu divergence d’avis sur certains points entre Mathieu Klein et moi mais rien de catastrophique sauf ce qui a été parfois exagéré par la presse. Il n’y a jamais eu d’ « empoignades » et il n’y a jamais eu de menaces de me présenter à Nancy. Chaque fois que les journalistes m’ont interrogé à ce sujet, j’ai systématiquement démenti de tout temps. Je mets le journaliste qui écrit cet article, comme tous les autres qui m’ont interrogé à l’époque, face à cette affirmation de ma part. Aucun ne pourra prétendre le contraire.

Tout comme je n’ai jamais dit qu’il fallait désigner « le chef », mais un « chef de file ». Dans la façon de l’écrire, chacun aura compris la nuance.

Je n’ai jamais eu la moindre intention de division au sein du PS.

Hervé Féron

 

A la lecture du journal « La Semaine » cette semaine, je suis blessé par une phrase: « oubliés les anciens différends, les empoignades et les menaces de se présenter à Nancy ».

Chacun sait qu’il y a eu divergence d’avis sur certains points entre Mathieu Klein et moi mais rien de catastrophique sauf ce qui a été parfois exagéré par la presse. Il n’y a jamais eu d’ « empoignades » et il n’y a jamais eu de menaces de me présenter à Nancy. Chaque fois que les journalistes m’ont interrogé à ce sujet, j’ai systématiquement démenti de tout temps. Je mets le journaliste qui écrit cet article, comme tous les autres qui m’ont interrogé à l’époque, face à cette affirmation de ma part. Aucun ne pourra prétendre le contraire.

Tout comme je n’ai jamais dit qu’il fallait désigner « le chef », mais un « chef de file ». Dans la façon de l’écrire, chacun aura compris la nuance.

Je n’ai jamais eu la moindre intention de division au sein du PS.

Hervé Féron