A la lecture du journal « La Semaine » cette semaine, je suis blessé par une phrase: « oubliés les anciens différends, les empoignades et les menaces de se présenter à Nancy ».
Chacun sait qu’il y a eu divergence d’avis sur certains points entre Mathieu Klein et moi mais rien de catastrophique sauf ce qui a été parfois exagéré par la presse. Il n’y a jamais eu d’ « empoignades » et il n’y a jamais eu de menaces de me présenter à Nancy. Chaque fois que les journalistes m’ont interrogé à ce sujet, j’ai systématiquement démenti de tout temps. Je mets le journaliste qui écrit cet article, comme tous les autres qui m’ont interrogé à l’époque, face à cette affirmation de ma part. Aucun ne pourra prétendre le contraire.
Tout comme je n’ai jamais dit qu’il fallait désigner « le chef », mais un « chef de file ». Dans la façon de l’écrire, chacun aura compris la nuance.
Je n’ai jamais eu la moindre intention de division au sein du PS.
Hervé Féron