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Mois : janvier 2014 (Page 5 de 12)

  50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 29 – 23 janvier 2014

INTERIM

 

Nous sommes en plein période électorale mais coïncidence du calendrier, il semble que ce soit également la saison des nominations à la Communauté Urbaine du Grand Nancy, du moins dans les structures et les instances qui lui sont directement liées. Rien de gênant en cela, il faut bien répondre aux exigences statutaires pour permettre le travail de ces différentes instances, ainsi qu’à la nécessité d’entendre les personnes que le Grand Nancy n’a daigné écouter. Le souci réside dans l’ordre de ces deux processus.

En effet, la logique aurait voulu qu’on attende le résultat des élections municipales et communautaires qui interviendront dans 2 mois (jour pour jour en ce qui concerne le premier tour). Mais c’est l’inverse qui se produit, les élus sont invités à désigner leurs représentants dans ces structures et instances avant d’être fixés sur leur sort. Résultat : ils vont prochainement nommer en leur sein des personnes qui ne seront peut-être plus en poste à l’issue des prochaines échéances. A la Communauté Urbaine, on met la charrue avant les bœufs !

C’est ainsi que par courrier du 19 décembre 2013, la Présidente de la SPL Grand Nancy Habitat convoquait ce soir les membres de l’Assemblée Spéciale avec, à l’ordre du jour, la nomination de son Président et la désignation de 3 représentants au Conseil d’Administration. Mais au sein de cette Assemblée siègent des conseillers municipaux ou communautaires.

La situation est identique pour la Commission consultative de l’environnement de l’aérodrome de Nancy-Essey (sic). Une réunion d’installation a été convoquée par le Préfet le 31 janvier prochain. Encore une fois, cette instance comporte des représentants de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Il ne s’agit pas dans cette affaire de critiquer la Préfecture qui a été obligée de répondre légalement à la demande de constitution d’un tel organe. Mais c’est la Communauté Urbaine qui a décidé de procéder à l’allongement de la piste, sans consulter au préalable les riverains comme le demandait le Maire de Tomblaine. De ce fait, c’est maintenant qu’on s’attèle à écouter les usagers et à concerter les personnes intéressées. Autant dire que ce groupe de travail démarre sous de bien mauvais auspices…

Mais le problème ne se posera cependant que quelques mois pour cette Commission consultative. En effet, l’article R571-77 du Code de l’Environnement concernant une telle instance dispose que « le mandat des représentants des collectivités territoriales [incluant les représentants des EPCI] s’achève avec le mandat des assemblées auxquelles ils appartiennent » ! On désigne ainsi des représentants pour 2 ou 3 mois, et dans 2 à 3 mois, on reprend presque les mêmes et on recommence mais à zéro.

Est-ce cela la gouvernance renouvelée que nous propose André Rossinot ? C’est là une bien curieuse conception de la démocratie. Il a encore vraisemblablement besoin de travailler sur ce dossier.

Encore une bonne raison pour que la majorité change en 2014 à la Communauté Urbaine.

 

  50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 28 – 21 janvier 2014

C’ETAIT LA DERNIERE SEANCE…

 

A l’issue d’un ultime Conseil de Communauté insipide et interminable, le Président a apporté quelques conclusions. On retiendra qu’il lui est soudainement apparu qu’il faudra à l’avenir faire évoluer la gouvernance (sic). Un frisson d’inquiétude est passé sur les bancs lorsque le Président a expliqué que « des sommes considérables ont été investies, on ne pourra plus faire autant. Mais c’est toujours ça de pris ». On se demande pris à qui mais il y a là clairement l’aveu d’investissements inconsidérés qui mettent la Communauté Urbaine dans une situation difficile pour la suite. Et lorsque le Président est fier de constater que 92% des délibérations ont été votées à l‘unanimité, on peut se demander s’il a su mettre en place toutes les conditions pour le nécessaire débat contradictoire et constructif. D’autant plus que la façon dont les dossiers sont présentés en Commission fait qu’il n’y a pas à notre connaissance une seule délibération qui ait été refusée par une Commission. C’est une conception de la démocratie qui interroge. Le côté positif, c’est que l’on sait aujourd’hui ce qu’il ne faudra pas faire demain.

Une autre bonne raison pour que la Communauté Urbaine change de majorité en mars 2014.

 

Hervé Féron, accompagné d’une délégation d’élus, s’est rendu ce week-end à la Clusaz, où les classes de neige de Tomblaine et de Houdemont sont accueillies. 112 enfants de Tomblaine vivent 3 semaines de classe de neige et 1 classe de 22 enfants de Houdemont y sont pour une dizaine de jours.

Pas franchement de soleil mais suffisamment de neige pour bien skier, partout sur tout le domaine. Les enfants sont hébergés dans des conditions idéales à Saint-Jean de Sixt et skient tous les jours sur le domaine de la Clusaz. Au menu : ski, randonnées en raquette, patinoire en pleine air, visites…

Tous les enfants vont bien, les enseignants aussi, l’ambiance est au beau fixe. Le Député-Maire de Tomblaine qui s’était fait une entorse au genou il y a quelques jours en sortant des vœux du maire de Seichamps, a profité de ce week-end à la neige pour se faire une petite déchirure musculaire à la cuisse en plus. Autrement, tout va bien.

 

(Cliquez sur la photo pour agrandir en taille réelle)

 

Hervé Féron, accompagné d’une délégation d’élus, s’est rendu ce week-end à la Clusaz, où les classes de neige de Tomblaine et de Houdemont sont accueillies. 112 enfants de Tomblaine vivent 3 semaines de classe de neige et 1 classe de 22 enfants de Houdemont y sont pour une dizaine de jours.

Pas franchement de soleil mais suffisamment de neige pour bien skier, partout sur tout le domaine. Les enfants sont hébergés dans des conditions idéales à Saint-Jean de Sixt et skient tous les jours sur le domaine de la Clusaz. Au menu : ski, randonnées en raquette, patinoire en pleine air, visites…

Tous les enfants vont bien, les enseignants aussi, l’ambiance est au beau fixe. Le Député-Maire de Tomblaine qui s’était fait une entorse au genou il y a quelques jours en sortant des vœux du maire de Seichamps, a profité de ce week-end à la neige pour se faire une petite déchirure musculaire à la cuisse en plus. Autrement, tout va bien.

 

(Cliquez sur la photo pour agrandir en taille réelle)

 

  50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 27 – 17 janvier 2014

 

Depuis de nombreuses années, la ville de Tomblaine reçoit des propositions d’entreprises qui souhaitent s’installer à proximité de la zone aéroportuaire et en particulier sur la plaine Flageul. Ces terrains, anciennes propriétés de l’Etat, appartiennent à la Communauté Urbaine du Grand Nancy depuis le 1er janvier 2007. Chaque fois que le Maire de Tomblaine a proposé au Président de la Communauté Urbaine l’installation d’une entreprise, il s’est heurté à un mur. Le Président de la Communauté Urbaine ne dit jamais non mais, soit il renvoie à des études, soit il ne répond pas, ce qui finit par dissuader toutes les entreprises. C’est sur ce secteur que le Maire de Tomblaine a proposé à plusieurs reprises l‘installation de surfaces commerciales qui auraient pu mettre à disposition leurs parkings pour les besoins du stade Marcel Picot et de l’AS Nancy Lorraine mais toujours pareil, aucune réponse favorable. Il y a la volonté d’empêcher le développement sur Tomblaine et surtout d’empêcher de nouvelles recettes sur la ville de Tomblaine.

Au printemps 2013, à la grande surprise du Maire de Tomblaine, les services de la Communauté Urbaine prenaient contact avec lui pour lui demander son avis sur l’éventuelle implantation d’une nouvelle entreprise, à l’angle de la rue Eugène Potier et de l’avenue Nelson Mandela sur un terrain, propriété de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Lors d’un premier rendez-vous, le Maire de Tomblaine était agréablement surpris et s’est dit « il y a une évolution dans les méthodes du Président de la CUGN. Voilà qu’il me demande mon avis, voilà qu’il favorise l’implantation d‘entreprises sur ma commune, c’est vraiment une bonne chose ». Le 21 juin, en présence du Vice-Président au Patrimoine Monsieur DESSEIN, des services de la Communauté Urbaine et de l’ADUAN, le Maire de Tomblaine a rencontré cette entreprise. Cette implantation était vraiment très importante puisque plusieurs dizaines d’emplois arrivaient sur Tomblaine. C’est alors qu’Hervé Féron comprenait les raisons de ce brusque changement d’attitude du Président de la CUGN. L’entreprise en question, actuellement implantée à Saint-Max, est très à l’étroit et cause donc des nuisances pour le voisinage. Cela arrangeait le Maire de Saint-Max qu’elle puisse déménager, d’autant plus qu’à Saint-Max, il n’y a plus de place ni pour construire, ni pour recevoir d’autres entreprises. Conscient de cette nouvelle filouterie, le Maire de Tomblaine a continué à se dire content d’accueillir cette nouvelle entreprise. Il a été convenu qu’un permis de construire pouvait être déposé en septembre 2013 pour un démarrage des travaux au printemps 2014. Pour cela, il fallait que la Communauté Urbaine transmette une proposition chiffrée à l’entreprise pour la vente du terrain après estimation des Domaines. Nous sommes début 2014, la Communauté Urbaine n’a pas donné suite et le permis de construire qui aurait pu être déposé en septembre 2013 n’a toujours pas été déposé.

Par ailleurs, toujours sur le même secteur mais dans le cadre des terrains que gère aujourd’hui la Chambre de Commerce et d’Industrie qui a une délégation de service public de la CUGN, le Maire de Tomblaine entendait parler depuis au moins 2 ans du souhait d’une implantation d’un karting couvert. Certains Vice-Présidents de la Communauté Urbaine laissant courir le bruit que le Maire de Tomblaine était en désaccord avec cette idée, assez régulièrement, il revenait à ses oreilles que l’investisseur se désespérait de l’opposition du Maire. Le Maire de Tomblaine a fait savoir au Président de la CCI qu’il suffisait tout simplement que cet investisseur vienne le voir et lui présente son projet. Cela s’est fait il y a un an, le projet a été validé. Il s’agissait d’un dépôt de permis de construire en septembre 2013 et aujourd’hui il n’y a toujours rien.

Il est urgent de changer de majorité à la Communauté Urbaine du Grand Nancy pour que, sur l’ensemble des communes, il puisse y avoir en termes de développement possible égalité de traitement.

 

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