Agir pour vous et avec vous

Mois : janvier 2014 (Page 6 de 12)

  50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 27 – 17 janvier 2014

 

Depuis de nombreuses années, la ville de Tomblaine reçoit des propositions d’entreprises qui souhaitent s’installer à proximité de la zone aéroportuaire et en particulier sur la plaine Flageul. Ces terrains, anciennes propriétés de l’Etat, appartiennent à la Communauté Urbaine du Grand Nancy depuis le 1er janvier 2007. Chaque fois que le Maire de Tomblaine a proposé au Président de la Communauté Urbaine l’installation d’une entreprise, il s’est heurté à un mur. Le Président de la Communauté Urbaine ne dit jamais non mais, soit il renvoie à des études, soit il ne répond pas, ce qui finit par dissuader toutes les entreprises. C’est sur ce secteur que le Maire de Tomblaine a proposé à plusieurs reprises l‘installation de surfaces commerciales qui auraient pu mettre à disposition leurs parkings pour les besoins du stade Marcel Picot et de l’AS Nancy Lorraine mais toujours pareil, aucune réponse favorable. Il y a la volonté d’empêcher le développement sur Tomblaine et surtout d’empêcher de nouvelles recettes sur la ville de Tomblaine.

Au printemps 2013, à la grande surprise du Maire de Tomblaine, les services de la Communauté Urbaine prenaient contact avec lui pour lui demander son avis sur l’éventuelle implantation d’une nouvelle entreprise, à l’angle de la rue Eugène Potier et de l’avenue Nelson Mandela sur un terrain, propriété de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Lors d’un premier rendez-vous, le Maire de Tomblaine était agréablement surpris et s’est dit « il y a une évolution dans les méthodes du Président de la CUGN. Voilà qu’il me demande mon avis, voilà qu’il favorise l’implantation d‘entreprises sur ma commune, c’est vraiment une bonne chose ». Le 21 juin, en présence du Vice-Président au Patrimoine Monsieur DESSEIN, des services de la Communauté Urbaine et de l’ADUAN, le Maire de Tomblaine a rencontré cette entreprise. Cette implantation était vraiment très importante puisque plusieurs dizaines d’emplois arrivaient sur Tomblaine. C’est alors qu’Hervé Féron comprenait les raisons de ce brusque changement d’attitude du Président de la CUGN. L’entreprise en question, actuellement implantée à Saint-Max, est très à l’étroit et cause donc des nuisances pour le voisinage. Cela arrangeait le Maire de Saint-Max qu’elle puisse déménager, d’autant plus qu’à Saint-Max, il n’y a plus de place ni pour construire, ni pour recevoir d’autres entreprises. Conscient de cette nouvelle filouterie, le Maire de Tomblaine a continué à se dire content d’accueillir cette nouvelle entreprise. Il a été convenu qu’un permis de construire pouvait être déposé en septembre 2013 pour un démarrage des travaux au printemps 2014. Pour cela, il fallait que la Communauté Urbaine transmette une proposition chiffrée à l’entreprise pour la vente du terrain après estimation des Domaines. Nous sommes début 2014, la Communauté Urbaine n’a pas donné suite et le permis de construire qui aurait pu être déposé en septembre 2013 n’a toujours pas été déposé.

Par ailleurs, toujours sur le même secteur mais dans le cadre des terrains que gère aujourd’hui la Chambre de Commerce et d’Industrie qui a une délégation de service public de la CUGN, le Maire de Tomblaine entendait parler depuis au moins 2 ans du souhait d’une implantation d’un karting couvert. Certains Vice-Présidents de la Communauté Urbaine laissant courir le bruit que le Maire de Tomblaine était en désaccord avec cette idée, assez régulièrement, il revenait à ses oreilles que l’investisseur se désespérait de l’opposition du Maire. Le Maire de Tomblaine a fait savoir au Président de la CCI qu’il suffisait tout simplement que cet investisseur vienne le voir et lui présente son projet. Cela s’est fait il y a un an, le projet a été validé. Il s’agissait d’un dépôt de permis de construire en septembre 2013 et aujourd’hui il n’y a toujours rien.

Il est urgent de changer de majorité à la Communauté Urbaine du Grand Nancy pour que, sur l’ensemble des communes, il puisse y avoir en termes de développement possible égalité de traitement.

 

Le Ministère de l’Education Nationale a récemment annoncé un nouveau plan de soutien en direction de l’éducation prioritaire. Cet après-midi, Hervé Féron a interrogé le Ministre afin de connaître les actions qui seront menées dans les établissements concernés, rappelant la nécessité de redéfinir le périmètre de l’éducation prioritaire afin d’affecter davantage de moyens pour les élèves les plus fragiles.

 


Question au Gouvernement d’Hervé Féron sur l… par herveferon

 

Retranscrit de l’intervention :

 

Ma question s’adresse à Monsieur le Ministre de l’Education nationale.

Le nombre des établissements concernés par la politique d’éducation prioritaire n’a pratiquement fait qu’augmenter dans l’ensemble depuis l’instauration des « zones prioritaires » au début des années 80 ; et certains établissements scolaires ont vu leur situation se dégrader de manière préoccupante. Cette situation a été aggravée par la dernière majorité qui considérait l’éducation comme un fardeau financier et non un investissement pour l’avenir. La dernière étude Pisa a, en effet, confirmé que, depuis 10 ans, les écarts de niveau entre élèves se sont creusés, et le poids des inégalités sociales sur la réussite scolaire s’est alourdi.

Nous nous félicitons donc, Monsieur le Ministre, de la mise en œuvre d’un nouveau plan de l’éducation prioritaire.

Cette dernière a pour objectif de rétablir l’égalité des chances entre les élèves en renforçant l’action éducative là où les conditions sociales, économiques et culturelles constituent un obstacle à la réussite scolaire. Elle vise à faire acquérir aux élèves concernés les connaissances et les compétences du socle commun, en personnalisant les parcours, en individualisant les aides, et à insuffler dynamisme et esprit de réussite aux établissements.

Vous l’avez dit Monsieur le Ministre, l’éducation prioritaire concerne aujourd’hui 20% des enfants de France.  La qualité des actions éducatives qui ciblent ces enfants va de pair avec la mise en cohérence du travail des différents intervenants, avec la concertation pédagogique et l’accompagnement des personnels de ces dispositifs.

Pour répondre aux préoccupations des personnels et des familles, pouvez-vous nous dire quelles sont les orientations du ministère pour ce plan et les critères autres que sociaux et économiques sur lesquels vous allez vous fonder pour établir une sélection des établissements et quels en seront les conséquences pour les personnels concernés ? Car la question qui est posée est bien aussi celle des moyens mis en œuvre.

Aujourd’hui notre société a évolué. Il reste beaucoup à faire, notamment en matière d’égalité des chances et de prévention de l’échec scolaire.  L’importante paupérisation des zones qui étaient déjà défavorisées il y a quelques années nous montre qu’il est urgent de redessiner les contours de cette politique de l’éducation prioritaire afin de l’adapter aux réalités actuelles, afin de recentrer les moyens au profit des élèves les plus en difficultés.

 

 

Le Ministère de l’Education Nationale a récemment annoncé un nouveau plan de soutien en direction de l’éducation prioritaire. Cet après-midi, Hervé Féron a interrogé le Ministre afin de connaître les actions qui seront menées dans les établissements concernés, rappelant la nécessité de redéfinir le périmètre de l’éducation prioritaire afin d’affecter davantage de moyens pour les élèves les plus fragiles.

 


Question au Gouvernement d’Hervé Féron sur l… par herveferon

 

Retranscrit de l’intervention :

 

Ma question s’adresse à Monsieur le Ministre de l’Education nationale.

Le nombre des établissements concernés par la politique d’éducation prioritaire n’a pratiquement fait qu’augmenter dans l’ensemble depuis l’instauration des « zones prioritaires » au début des années 80 ; et certains établissements scolaires ont vu leur situation se dégrader de manière préoccupante. Cette situation a été aggravée par la dernière majorité qui considérait l’éducation comme un fardeau financier et non un investissement pour l’avenir. La dernière étude Pisa a, en effet, confirmé que, depuis 10 ans, les écarts de niveau entre élèves se sont creusés, et le poids des inégalités sociales sur la réussite scolaire s’est alourdi.

Nous nous félicitons donc, Monsieur le Ministre, de la mise en œuvre d’un nouveau plan de l’éducation prioritaire.

Cette dernière a pour objectif de rétablir l’égalité des chances entre les élèves en renforçant l’action éducative là où les conditions sociales, économiques et culturelles constituent un obstacle à la réussite scolaire. Elle vise à faire acquérir aux élèves concernés les connaissances et les compétences du socle commun, en personnalisant les parcours, en individualisant les aides, et à insuffler dynamisme et esprit de réussite aux établissements.

Vous l’avez dit Monsieur le Ministre, l’éducation prioritaire concerne aujourd’hui 20% des enfants de France.  La qualité des actions éducatives qui ciblent ces enfants va de pair avec la mise en cohérence du travail des différents intervenants, avec la concertation pédagogique et l’accompagnement des personnels de ces dispositifs.

Pour répondre aux préoccupations des personnels et des familles, pouvez-vous nous dire quelles sont les orientations du ministère pour ce plan et les critères autres que sociaux et économiques sur lesquels vous allez vous fonder pour établir une sélection des établissements et quels en seront les conséquences pour les personnels concernés ? Car la question qui est posée est bien aussi celle des moyens mis en œuvre.

Aujourd’hui notre société a évolué. Il reste beaucoup à faire, notamment en matière d’égalité des chances et de prévention de l’échec scolaire.  L’importante paupérisation des zones qui étaient déjà défavorisées il y a quelques années nous montre qu’il est urgent de redessiner les contours de cette politique de l’éducation prioritaire afin de l’adapter aux réalités actuelles, afin de recentrer les moyens au profit des élèves les plus en difficultés.

 

 

Hervé Féron est intervenu ce matin en Commission des Affaires Culturelles et de l’Education à l’occasion de l’audition des auteurs du rapport sur « L’apport de la culture à l’économie en France ».

 


Intervention d’Hervé Féron en Commission des… par herveferon

 

Retranscrit de l’intervention :

 

La seule question qui se pose aujourd’hui est : comment préserver l’ambition artistique par temps de crise ?

Face à des moyens en diminution, il est urgent d’affirmer des priorités et de repenser la place de l’économie de la culture.  Je salue en cela ce rapport qui nous permet de mieux mesurer l’importance de la culture dans l’économie et de mieux utiliser le potentiel de croissance des industries culturelles. Vous nous proposez ici un éclairage original sur les fondements et les incidences économiques des politiques culturelles, je vous en remercie. Car oui, la culture est un secteur productif, elle doit être considérée comme une activité économique à part entière et l’aide aux entreprises culturelles doit être une priorité.

Les dépenses publiques en direction de ce secteur stimulent l’économie et c’est bien ce que montre ce rapport qui chiffre à 57,8 milliards d’euros, soit 3,2 % du PIB, le poids de la culture dans la richesse nationale. Il comptabilise aussi 670 000 emplois dans les entreprises culturelles – soit 2,5 % de l’emploi en France –, et 870 000 emplois culturels, toutes entreprises confondues.

Le vieux débat opposant les artistes aux technocrates de l’économique ne fait plus sens aujourd’hui. Néanmoins, si la culture fait effectivement partie d’un enjeu économique et commercial non négligeable, les Etats doivent continuer de chercher à affirmer l’importance de la diversité culturelle et ne pas ouvrir la voie à l’ultralibéralisme.

En effet, le soutien aux pratiques amateurs, aux associations dans les quartiers, aux infrastructures doit être prioritaire. L’aide doit se tourner vers la création, véritable signe de vitalité culturelle, de vitalité économique. Cela ne pourra se faire qu’à travers des mesures telles que la réduction du taux de TVA à 5,5% dont nous nous félicitons et qui représente une bouffée d’oxygène pour tout le secteur de l’industrie cinématographique, tout en favorisant la création.

Il conviendrait aujourd’hui de nous inspirer de votre démonstration pour faire des propositions nouvelles, notamment réadapter le cadre de l’intermittence et le valoriser pour les contrats précaires dans le spectacle vivant.

Qui plus est, il est indispensable de s’adapter aux évolutions de notre société tout en protégeant l’exception culturelle. Le numérique transformant en profondeur les usages et modes de consommation des produits culturels, comment préserver la diversité de l’offre et de l’expression artistique ? La dématérialisation des supports n’implique pas la perte de la notion de propriété intellectuelle mais l’adaptation du mode de perception du droit d’auteur et de la rémunération des interprètes et des producteurs.

De plus, si l’engagement de l’Etat est fondamental, les municipalités sont dotées de responsabilités croissantes dans ce domaine (maîtrise d’ouvrage de projets urbains et projets de développement territorial). L’implication des collectivités locales est donc essentielle : l’effort total de ces dernières en faveur de la culture (pour la métropole et les DOM) est de 7,6 M d’euros en 2010. L’articulation entre les différents niveaux administratifs est donc aujourd’hui une nécessité. L’action des collectivités locales a des conséquences visibles sur le territoire : la dimension patrimoniale, par exemple, doit faire partie des projets d’aménagement territoriaux.

En France, les activités culturelles locales sont aussi étroitement liées au secteur privé. La collaboration de ce secteur sous forme de mécénat semble en effet être très répandue. Comment les collectivités peuvent-elles s’emparer de cette question ? Quel bénéfice en retirer pour la culture, les équipements et les acteurs artistiques et culturels territoriaux ?

Il est donc temps d’en finir avec cette conception dépassée de la culture la réduisant au premier sacrifice à faire sur l’autel de la maîtrise des dépenses publiques. Refondons donc l’économie de la culture sans qu’elle soit soumise à un traitement orienté vers des fins exclusivement commerciales mais en faisant de cette dernière un levier de sortie de crise, un acteur économique de poids.

 

Hervé Féron est intervenu ce matin en Commission des Affaires Culturelles et de l’Education à l’occasion de l’audition des auteurs du rapport sur « L’apport de la culture à l’économie en France ».

 


Intervention d’Hervé Féron en Commission des… par herveferon

 

Retranscrit de l’intervention :

 

La seule question qui se pose aujourd’hui est : comment préserver l’ambition artistique par temps de crise ?

Face à des moyens en diminution, il est urgent d’affirmer des priorités et de repenser la place de l’économie de la culture.  Je salue en cela ce rapport qui nous permet de mieux mesurer l’importance de la culture dans l’économie et de mieux utiliser le potentiel de croissance des industries culturelles. Vous nous proposez ici un éclairage original sur les fondements et les incidences économiques des politiques culturelles, je vous en remercie. Car oui, la culture est un secteur productif, elle doit être considérée comme une activité économique à part entière et l’aide aux entreprises culturelles doit être une priorité.

Les dépenses publiques en direction de ce secteur stimulent l’économie et c’est bien ce que montre ce rapport qui chiffre à 57,8 milliards d’euros, soit 3,2 % du PIB, le poids de la culture dans la richesse nationale. Il comptabilise aussi 670 000 emplois dans les entreprises culturelles – soit 2,5 % de l’emploi en France –, et 870 000 emplois culturels, toutes entreprises confondues.

Le vieux débat opposant les artistes aux technocrates de l’économique ne fait plus sens aujourd’hui. Néanmoins, si la culture fait effectivement partie d’un enjeu économique et commercial non négligeable, les Etats doivent continuer de chercher à affirmer l’importance de la diversité culturelle et ne pas ouvrir la voie à l’ultralibéralisme.

En effet, le soutien aux pratiques amateurs, aux associations dans les quartiers, aux infrastructures doit être prioritaire. L’aide doit se tourner vers la création, véritable signe de vitalité culturelle, de vitalité économique. Cela ne pourra se faire qu’à travers des mesures telles que la réduction du taux de TVA à 5,5% dont nous nous félicitons et qui représente une bouffée d’oxygène pour tout le secteur de l’industrie cinématographique, tout en favorisant la création.

Il conviendrait aujourd’hui de nous inspirer de votre démonstration pour faire des propositions nouvelles, notamment réadapter le cadre de l’intermittence et le valoriser pour les contrats précaires dans le spectacle vivant.

Qui plus est, il est indispensable de s’adapter aux évolutions de notre société tout en protégeant l’exception culturelle. Le numérique transformant en profondeur les usages et modes de consommation des produits culturels, comment préserver la diversité de l’offre et de l’expression artistique ? La dématérialisation des supports n’implique pas la perte de la notion de propriété intellectuelle mais l’adaptation du mode de perception du droit d’auteur et de la rémunération des interprètes et des producteurs.

De plus, si l’engagement de l’Etat est fondamental, les municipalités sont dotées de responsabilités croissantes dans ce domaine (maîtrise d’ouvrage de projets urbains et projets de développement territorial). L’implication des collectivités locales est donc essentielle : l’effort total de ces dernières en faveur de la culture (pour la métropole et les DOM) est de 7,6 M d’euros en 2010. L’articulation entre les différents niveaux administratifs est donc aujourd’hui une nécessité. L’action des collectivités locales a des conséquences visibles sur le territoire : la dimension patrimoniale, par exemple, doit faire partie des projets d’aménagement territoriaux.

En France, les activités culturelles locales sont aussi étroitement liées au secteur privé. La collaboration de ce secteur sous forme de mécénat semble en effet être très répandue. Comment les collectivités peuvent-elles s’emparer de cette question ? Quel bénéfice en retirer pour la culture, les équipements et les acteurs artistiques et culturels territoriaux ?

Il est donc temps d’en finir avec cette conception dépassée de la culture la réduisant au premier sacrifice à faire sur l’autel de la maîtrise des dépenses publiques. Refondons donc l’économie de la culture sans qu’elle soit soumise à un traitement orienté vers des fins exclusivement commerciales mais en faisant de cette dernière un levier de sortie de crise, un acteur économique de poids.

 

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