Agir pour vous et avec vous

Jour : 1 avril 2014

Malgré la peine qui est la nôtre, il faut bien vous parler un peu de politique. Le résultat des élections à Nancy est particulièrement inquiétant pour la Communauté Urbaine et les Grands Nancéiens. Vous avez été nombreux à suivre sur ce blog les informations que nous vous donnions, malheureusement il n’a pas été possible de faire transmettre ces informations dans la presse locale. C’est un parti pris regrettable.

La nature de la dette, le mode de gouvernance, les relations exécrables, la concentration des pouvoirs, les petits arrangements entre amis que l’on place aux postes qui vont bien juste avant les élections municipales, les délégations de service public, les contrats, concessions et autres largesses qui nous engagent de façon tout à fait irresponsable pour des dizaines d’années, rien de tout ça vous a été dit et pourtant c’était le véritable enjeu. Imaginez un instant qu’Hervé Féron ait refusé la proposition faite à deux reprises par des journalistes de l’Est Républicain de participer à un débat avec André Rossinot, il en aurait eu pour des mois à lire dans la presse locale qu’il avait refusé le débat. Or, Hervé Féron a accepté, c’est André Rossinot qui a refusé et ça, vous n’en avez pas lu un seul mot dans la presse. Ainsi, André Rossinot, quand il a le pouvoir, ne permet pas le débat et quand il ne l’a pas, comme par exemple dans cette période électorale, il refuse le débat.

Hervé Féron a réalisé aux municipales à Tomblaine le plus gros score pour la Gauche de l’agglomération nancéienne et un des plus gros scores pour la Gauche de Lorraine. Le lendemain du premier tour, un bug malheureux n’a pas permis à la presse quotidienne de dire un seul mot sur cette victoire d’Hervé Féron. Etrange, étrange… Le bug dépassé, le mardi, seuls les résultats de Tomblaine étaient communiqués, étaient passées à la trappe les interviews et photos sollicitées par les journalistes le dimanche. Pas de débat, pas d’article, pas de photo, impossibilité d’exister entre le premier et le deuxième tour, alors que dire la vérité au grand public, c’était leur faire savoir que l’un des grands enjeux de la campagne de Mathieu Klein était de faire barrage au système Rossinot.

Le dimanche du deuxième tour, en grande majorité, les maires qui avaient été élus les jours précédents étaient en photo avec article dans la presse quotidienne, eh bien, Hervé Féron ne l’était pas, étrange, étrange… Il a fallu attendre le lundi, il est important de noter que le commentaire est d’ailleurs erroné puisqu’il est dit « le changement dans la continuité (…) même nombre d’élus que lors de la dernière mandature pour la majorité conduite par Hervé Féron (25) ». Ça n’est pas vrai, ça n’est pas le changement dans la continuité puisque la liste conduite par Hervé Féron est renouvelée à 42% et qu’un candidat sur quatre a moins de 25 ans, ce qui n’a été le cas nulle part ailleurs en Meurthe-et-Moselle. Et puis, il est faux de dire qu’on compte le même nombre d’élus dans la majorité conduite par Hervé Féron puisque lors du dernier mandat, il y avait 24 élus, et qu’il y en a désormais 25. Cette liste avait fait 65%, elle en a fait 67,14%. Ça n’est pas très grave, ce ne sont que des erreurs, mais tellement fréquentes qu’elles sont remarquables.

Pendant ce temps-là, André Rossinot est plus arrogant, méprisant que jamais. Le soir du deuxième tour, croisant Hervé Féron à la Préfecture, il a eu la grande médiocrité de le chambrer. Un soir comme celui-là, où beaucoup étaient dans la peine, il s’est permis de faire une de ses plaisanteries d’une stupidité affligeante. C’est médiocre, c’est tout. Vous avez pu lire sur ce blog dès le dimanche matin la réaction d‘Hervé Féron à la terrible nouvelle du décès de Michel Dinet. Lorsque les médias sont venus l’interviewer dimanche soir pour qu’il commente les résultats du deuxième tour des élections municipales, il a commencé chacune de ses interviews en disant « je souhaite tout d’abord parler de Michel Dinet ». Lorsque le lendemain matin dans la presse quotidienne, la rubrique « Les réactions des élus locaux » a fait parler André Rossinot ou Nadine Morano pour commenter le décès de notre ami Michel, il y a quelque chose de l’ordre de la nausée. Juste par amitié pour Michel Dinet et sa famille, Hervé Féron aurait aimé que l’on reprenne ses propos. Tant pis, nous vous invitons à continuer à fréquenter assidument ce blog si vous voulez avoir des informations.

La ville de Tomblaine a mis tous ses drapeaux en berne depuis dimanche matin jusque jeudi soir.

 

Malgré la peine qui est la nôtre, il faut bien vous parler un peu de politique. Le résultat des élections à Nancy est particulièrement inquiétant pour la Communauté Urbaine et les Grands Nancéiens. Vous avez été nombreux à suivre sur ce blog les informations que nous vous donnions, malheureusement il n’a pas été possible de faire transmettre ces informations dans la presse locale. C’est un parti pris regrettable.

La nature de la dette, le mode de gouvernance, les relations exécrables, la concentration des pouvoirs, les petits arrangements entre amis que l’on place aux postes qui vont bien juste avant les élections municipales, les délégations de service public, les contrats, concessions et autres largesses qui nous engagent de façon tout à fait irresponsable pour des dizaines d’années, rien de tout ça vous a été dit et pourtant c’était le véritable enjeu. Imaginez un instant qu’Hervé Féron ait refusé la proposition faite à deux reprises par des journalistes de l’Est Républicain de participer à un débat avec André Rossinot, il en aurait eu pour des mois à lire dans la presse locale qu’il avait refusé le débat. Or, Hervé Féron a accepté, c’est André Rossinot qui a refusé et ça, vous n’en avez pas lu un seul mot dans la presse. Ainsi, André Rossinot, quand il a le pouvoir, ne permet pas le débat et quand il ne l’a pas, comme par exemple dans cette période électorale, il refuse le débat.

Hervé Féron a réalisé aux municipales à Tomblaine le plus gros score pour la Gauche de l’agglomération nancéienne et un des plus gros scores pour la Gauche de Lorraine. Le lendemain du premier tour, un bug malheureux n’a pas permis à la presse quotidienne de dire un seul mot sur cette victoire d’Hervé Féron. Etrange, étrange… Le bug dépassé, le mardi, seuls les résultats de Tomblaine étaient communiqués, étaient passées à la trappe les interviews et photos sollicitées par les journalistes le dimanche. Pas de débat, pas d’article, pas de photo, impossibilité d’exister entre le premier et le deuxième tour, alors que dire la vérité au grand public, c’était leur faire savoir que l’un des grands enjeux de la campagne de Mathieu Klein était de faire barrage au système Rossinot.

Le dimanche du deuxième tour, en grande majorité, les maires qui avaient été élus les jours précédents étaient en photo avec article dans la presse quotidienne, eh bien, Hervé Féron ne l’était pas, étrange, étrange… Il a fallu attendre le lundi, il est important de noter que le commentaire est d’ailleurs erroné puisqu’il est dit « le changement dans la continuité (…) même nombre d’élus que lors de la dernière mandature pour la majorité conduite par Hervé Féron (25) ». Ça n’est pas vrai, ça n’est pas le changement dans la continuité puisque la liste conduite par Hervé Féron est renouvelée à 42% et qu’un candidat sur quatre a moins de 25 ans, ce qui n’a été le cas nulle part ailleurs en Meurthe-et-Moselle. Et puis, il est faux de dire qu’on compte le même nombre d’élus dans la majorité conduite par Hervé Féron puisque lors du dernier mandat, il y avait 24 élus, et qu’il y en a désormais 25. Cette liste avait fait 65%, elle en a fait 67,14%. Ça n’est pas très grave, ce ne sont que des erreurs, mais tellement fréquentes qu’elles sont remarquables.

Pendant ce temps-là, André Rossinot est plus arrogant, méprisant que jamais. Le soir du deuxième tour, croisant Hervé Féron à la Préfecture, il a eu la grande médiocrité de le chambrer. Un soir comme celui-là, où beaucoup étaient dans la peine, il s’est permis de faire une de ses plaisanteries d’une stupidité affligeante. C’est médiocre, c’est tout. Vous avez pu lire sur ce blog dès le dimanche matin la réaction d‘Hervé Féron à la terrible nouvelle du décès de Michel Dinet. Lorsque les médias sont venus l’interviewer dimanche soir pour qu’il commente les résultats du deuxième tour des élections municipales, il a commencé chacune de ses interviews en disant « je souhaite tout d’abord parler de Michel Dinet ». Lorsque le lendemain matin dans la presse quotidienne, la rubrique « Les réactions des élus locaux » a fait parler André Rossinot ou Nadine Morano pour commenter le décès de notre ami Michel, il y a quelque chose de l’ordre de la nausée. Juste par amitié pour Michel Dinet et sa famille, Hervé Féron aurait aimé que l’on reprenne ses propos. Tant pis, nous vous invitons à continuer à fréquenter assidument ce blog si vous voulez avoir des informations.

La ville de Tomblaine a mis tous ses drapeaux en berne depuis dimanche matin jusque jeudi soir.