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Google propose depuis quelques jours « Google classroom », un outil permettant « aux enseignants de donner et de planifier rapidement les devoirs, de communiquer facilement avec les élèves de leurs classes » et aux élèves « d’organiser leur travail, de faire et de remettre leurs devoirs et de communiquer directement avec leurs professeurs et leurs camarades de classe », selon le site consacré à cette nouvelle application. Le contenu semble donc plus que prometteur puisqu’il propose de gagner du temps en organisant ses cours et en permettant une meilleure communication entre les parties. Cette application fait partie d’une démarche globale de Google visant à investir le marché de l’éducation. En effet, l’entreprise propose déjà « Google Play for Education », une section spécifique du marché des applications dédiée à l’enseignement qui propose livres, applications, jeux éducatifs et vidéos. Pour utiliser Google Play for Education, tous les élèves doivent disposer d’un compte Google. Outre l’ambition de la firme de dominer le domaine de l’éducation en proposant une gamme d’outils complète et cohérente, dans une niche de marché de surcroît, Google présente une stratégie plus globale. En effet, l’objectif des dirigeants est, à terme, de transformer leur moteur de recherche en intelligence artificielle, et ils peuvent déjà attester d’importantes avancées. Ainsi, Google contrôle d’ores et déjà des entreprises à fort potentiel d’avenir : Calico, une filiale qui fait le pari d’augmenter l’espérance de vie de vingt ans d’ici à 2035 (via la technique du séquençage d’ADN) ; Nest, une start-up spécialisée autour de la maison intelligente ; et investit dans le domaine de l’intelligence artificielle en employant depuis trois ans au poste d’ingénieur en chef Ray Kurzweil, un spécialiste du secteur. A titre d’exemple, depuis l’année dernière, Google Car, un mélange de robotique et d’intelligence artificielle, roule seule sur des milliers de kilomètres sur les routes de Californie sans accident. Face à cette volonté affichée de Google de contrôler le secteur de l’intelligence artificielle, l’utilisation d’outils produits par la firme dans les classes soulève des interrogations. M. Hervé FERON interroge donc Monsieur le ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur la position du Gouvernement au sujet de l’arrivée de Google sur le marché du numérique en matière d’éducation.
Google propose depuis quelques jours « Google classroom », un outil permettant « aux enseignants de donner et de planifier rapidement les devoirs, de communiquer facilement avec les élèves de leurs classes » et aux élèves « d’organiser leur travail, de faire et de remettre leurs devoirs et de communiquer directement avec leurs professeurs et leurs camarades de classe », selon le site consacré à cette nouvelle application. Le contenu semble donc plus que prometteur puisqu’il propose de gagner du temps en organisant ses cours et en permettant une meilleure communication entre les parties. Cette application fait partie d’une démarche globale de Google visant à investir le marché de l’éducation. En effet, l’entreprise propose déjà « Google Play for Education », une section spécifique du marché des applications dédiée à l’enseignement qui propose livres, applications, jeux éducatifs et vidéos. Pour utiliser Google Play for Education, tous les élèves doivent disposer d’un compte Google. Outre l’ambition de la firme de dominer le domaine de l’éducation en proposant une gamme d’outils complète et cohérente, dans une niche de marché de surcroît, Google présente une stratégie plus globale. En effet, l’objectif des dirigeants est, à terme, de transformer leur moteur de recherche en intelligence artificielle, et ils peuvent déjà attester d’importantes avancées. Ainsi, Google contrôle d’ores et déjà des entreprises à fort potentiel d’avenir : Calico, une filiale qui fait le pari d’augmenter l’espérance de vie de vingt ans d’ici à 2035 (via la technique du séquençage d’ADN) ; Nest, une start-up spécialisée autour de la maison intelligente ; et investit dans le domaine de l’intelligence artificielle en employant depuis trois ans au poste d’ingénieur en chef Ray Kurzweil, un spécialiste du secteur. A titre d’exemple, depuis l’année dernière, Google Car, un mélange de robotique et d’intelligence artificielle, roule seule sur des milliers de kilomètres sur les routes de Californie sans accident. Face à cette volonté affichée de Google de contrôler le secteur de l’intelligence artificielle, l’utilisation d’outils produits par la firme dans les classes soulève des interrogations. M. Hervé FERON interroge donc Monsieur le ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur la position du Gouvernement au sujet de l’arrivée de Google sur le marché du numérique en matière d’éducation.
Les personnes âgées de Tomblaine sont actuellement en vacances pour 2 semaines. Cette année, le choix s’est porté sur Ker Al Lann dans les Côtes d’Armor avec au programme la visite du Mont Saint-Michel ou encore de Dinan.
Le maire Hervé Féron, accompagné de ses adjoints, est allé leur rendre visite durant 2 jours avant de rejoindre Paris hier pour reprendre ses travaux à l’Assemblée Nationale.