Agir pour vous et avec vous

Jour : 18 mars 2015

C’est avec une grande émotion que nous avons appris la disparition d’Alain Pora, figure du syndicalisme bien connue dans notre département.

En 1972, il était entré à la Poste et avait rejoint les rangs de la CGT au sein de laquelle il s’est montré particulièrement actif durant plus de 40 ans. Son engagement pour la défense des intérêts des salariés et son énergie faisaient l’unanimité, ce qui lui a valu d’être nommé au poste de Secrétaire Général de l’Union Locale de la CGT en 2000, à une époque où le syndicalisme peinait à se faire entendre alors que le libéralisme à outrance avait déjà provoqué d’immenses dégâts dans notre société. Grâce à son action, l’Union Locale de la CGT a enregistré une progression fulgurante de son nombre d’adhérents, passant de 2.500 en 2000 à 4.556 en 2013, année de son départ en retraite.

C’était un homme de conviction, déterminé, toujours prêt à se battre pour promouvoir une conception plus sociale du monde du travail et garantir les droits des travailleurs. Sa préoccupation première a toujours été de défendre les plus précaires, notamment les travailleurs isolés ou les salariés à temps partiel. Il avait également aidé les femmes de ménage du département à créer leur syndicat. Il était de tous les combats.

J’ai toujours beaucoup apprécié sa grande générosité dans son engagement. Même lorsque nous n’étions pas complètement d’accord, nos valeurs restaient communes.

C’est une perte immense pour le syndicalisme, je présente mes sincères condoléances à son épouse et ses enfants.

 

C’est avec une grande émotion que nous avons appris la disparition d’Alain Pora, figure du syndicalisme bien connue dans notre département.

En 1972, il était entré à la Poste et avait rejoint les rangs de la CGT au sein de laquelle il s’est montré particulièrement actif durant plus de 40 ans. Son engagement pour la défense des intérêts des salariés et son énergie faisaient l’unanimité, ce qui lui a valu d’être nommé au poste de Secrétaire Général de l’Union Locale de la CGT en 2000, à une époque où le syndicalisme peinait à se faire entendre alors que le libéralisme à outrance avait déjà provoqué d’immenses dégâts dans notre société. Grâce à son action, l’Union Locale de la CGT a enregistré une progression fulgurante de son nombre d’adhérents, passant de 2.500 en 2000 à 4.556 en 2013, année de son départ en retraite.

C’était un homme de conviction, déterminé, toujours prêt à se battre pour promouvoir une conception plus sociale du monde du travail et garantir les droits des travailleurs. Sa préoccupation première a toujours été de défendre les plus précaires, notamment les travailleurs isolés ou les salariés à temps partiel. Il avait également aidé les femmes de ménage du département à créer leur syndicat. Il était de tous les combats.

J’ai toujours beaucoup apprécié sa grande générosité dans son engagement. Même lorsque nous n’étions pas complètement d’accord, nos valeurs restaient communes.

C’est une perte immense pour le syndicalisme, je présente mes sincères condoléances à son épouse et ses enfants.

 

En 2005, Serge Atlaoui, résidant à Metz, est arrêté dans un entrepôt indonésien où il travaillait, soupçonné de participer à un vaste trafic de drogues. Malgré son récit et le témoignage de ses anciens collègues, Serge Atlaoui est condamné en 2007 à la peine capitale par la Cour Suprême indonésienne. Il est depuis dans le couloir de la mort en Indonésie et multiplie les démarches pour démontrer son innocence.

Depuis le début de l’année, les rumeurs se multiplient quant à une possible exécution dans les prochaines semaines. Au regard de l’évolution extrêmement préoccupante de la situation, Hervé Féron interpelle aujourd’hui le Président de la République et le Premier Ministre afin que la France pèse une nouvelle fois de tout son poids sur les autorités indonésiennes. Sans préjuger sur le fond de l’affaire, il s’agit de faire en sorte aujourd’hui que Serge Atlaoui bénéficie d’un procès équitable et d’éviter un drame à travers l’application d’une peine inhumaine et barbare.

 

Lettre au Président de la République en faveur de Serge Atlaoui

Lettre au Président de la République en faveur de Serge Atlaoui

 

En 2005, Serge Atlaoui, résidant à Metz, est arrêté dans un entrepôt indonésien où il travaillait, soupçonné de participer à un vaste trafic de drogues. Malgré son récit et le témoignage de ses anciens collègues, Serge Atlaoui est condamné en 2007 à la peine capitale par la Cour Suprême indonésienne. Il est depuis dans le couloir de la mort en Indonésie et multiplie les démarches pour démontrer son innocence.

Depuis le début de l’année, les rumeurs se multiplient quant à une possible exécution dans les prochaines semaines. Au regard de l’évolution extrêmement préoccupante de la situation, Hervé Féron interpelle aujourd’hui le Président de la République et le Premier Ministre afin que la France pèse une nouvelle fois de tout son poids sur les autorités indonésiennes. Sans préjuger sur le fond de l’affaire, il s’agit de faire en sorte aujourd’hui que Serge Atlaoui bénéficie d’un procès équitable et d’éviter un drame à travers l’application d’une peine inhumaine et barbare.

 

Lettre au Président de la République en faveur de Serge Atlaoui

Lettre au Président de la République en faveur de Serge Atlaoui