Agir pour vous et avec vous

Jour : 30 mars 2015

La fête est belle, la joie est grande en ce lendemain du deuxième tour des élections départementales en Meurthe-et-Moselle car la majorité départementale reste à Gauche sous la présidence de Mathieu Klein. La campagne s’est déroulée très solidairement avec toutes les composantes de la Gauche. C’était assez étrange hier sur France 3 d’entendre à plusieurs reprises le journaliste dire que l’Union de la Gauche avait été fragilisée à l’occasion de cette campagne alors que c’est tout à fait le contraire, la Gauche s’en trouve renforcée dans la réunion de ses différentes composantes.

Ces élections étaient plus politiques que jamais. Il s’agissait de poser la question des valeurs à partager aux électrices et aux électeurs. Entre un Front National sans aucune proposition qui incite à la haine et à l’intolérance, l’UMP qui avance cachée en oubliant si souvent d’afficher sa couleur sarkozyste, qui ne fait aucune proposition constructive, qui se complaît dans la critique négative ou dans la calomnie, et un Conseil Général de Meurthe-et-Moselle au « label qualité bilan » de Michel Dinet et Mathieu Klein, avec un programme résolument offensif en matière d’investissements publics et privés, de chances données à la jeunesse et de solidarité envers toutes les populations fragiles, il ne pouvait pas y avoir photo.

Plusieurs points de satisfaction : dans la circonscription où je suis Député, les résultats sont globalement très bons tout comme à Tomblaine, la ville dont je suis Maire, les jeunes candidats de Gauche que je soutenais ont fait une belle campagne et ont réalisé 62% des voix, ce qui est un excellent score à Tomblaine pour un deuxième tour d’élections départementales dans une situation où ce n’est pas le Maire qui est candidat.

Par contre, je suis meurtri de voir que nous avons perdu le canton de Saint-Max (dans lequel on trouve Tomblaine) et le canton du Grand Couronné. Je me souviens avoir gagné en 1998 le canton de Tomblaine et qu’il était resté à Gauche depuis. Nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-mêmes, les socialistes. En effet, ce sont des socialistes qui ont très mal découpé ces deux cantons pour les sacrifier à la Droite, c’est la politique désastreuse de Hollande, Valls, Macron qui a fait ses dégâts sur nos candidats de proximité et puis c’est aussi dans certaines de nos communes nos amis socialistes qui n’ont pas milité.

Alors, moi je dis haut et fort que je suis ravi que le Front National n’ait aucun siège. Ça ne me dérange pas qu’il récolte des voix et qu’il n’ait pas d’élus, bien au contraire. Je m’explique : toutes les propositions, toutes les analyses du Front National sont à mes yeux exécrables, elles n’ont rien à voir avec la République. Le Front National n’arrive pas à être majoritaire, nulle part. Je considère donc que le vote Front National est tout à fait à relativiser dans un contexte de forte abstention. Il ne s’agit pas d’un vote de choix du Front National mais d’un vote de protestation, voire de désespérance qui se concentre au maximum sur une trentaine de pourcents d’une quarantaine de pourcents de participation. A la différence de l’abstention, il s’agit là d’un non-vote et comme je combats ces idées et ces méthodes, je me réjouis que la démocratie ait suffisamment verrouillé le système pour que ces gens-là ne soient pas élus.

Si l’on considère que systématiquement les candidats du Front National ont fait des copiés-collés des tracts qui leur sont imposés par la direction du parti, si l’on considère que la plupart d’entre eux ont avancé cachés, pas de réunion publique, pas de contact avec la population, les gens ne les connaissent pas et surtout pas du tout de programme, ça aurait été leur faire un sale coup que de les mettre en situation de gérer un département. Imaginez un peu, une fois installés, qu’est-ce qu’on fait ?

A commencer par cette candidate Front National, invitée hier soir sur le plateau de France 3. Je n’ai pas accepté de lui serrer la main parce que chaque fois qu’un candidat du Front National me tend la main, je pense que mon père a été arrêté et emprisonné par les Allemands à l’âge de 15 ans parce qu’il distribuait des tracts pour la Résistance. Alors cette dame, candidate du Front National, dont je n’ai pas retenu le nom, à peine sortie de France 3, a inondé les réseaux Twitter pour se plaindre du fait que je n’ai pas voulu lui serrer la main. Moi, je ne lui ai rien dit, je ne l’ai même pas regardée mais voilà comment ces gens existent, en cherchant l’incident, en provoquant. Sur les réseaux Twitter, tous les imbéciles qui sont dans son sillage ont réagi, il y en a même un qui me traite de « collabo ». Chacun appréciera.

Mais dans la droite locale, on a aussi de sacrés monuments en termes de médiocrité. Ploucs ou imbéciles, je ne sais pas, les faits parlent pour eux :

– Le Maire d’Art-sur-Meurthe, Jean-Pierre Dessein, on le savait primaire mais à ce point-là… Je suis allé à Art-sur-Meurthe pour soutenir Landry Richard et Marie-Christine Bastien, les candidats de Gauche. Le maire d’Art-sur-Meurthe a mis un statut sur sa page Facebook, se permettant de mettre ma photo avec le poing et la rose de travers, en le détournant de telle façon que le poing fasse un doigt d’honneur. Quelle délicatesse, quelle intelligence ! Il n’en est pas à sa première, on sait que dès que je prends la parole au Conseil de Communauté, il tweete des insultes, des calomnies à mon égard. Et là, sur sa page Facebook, avec 2-3 autres imbéciles de son acabit, telle sa colistière, il s’épanche pour colporter des bruits de chiotte. C’est nauséabond, ça nous rappelle de tristes périodes de notre Histoire.

– Le Maire de Saint-Max, Eric Pensalfini, est du même acabit. Alors que c’est lui, dans le cadre de ses fonctions de Vice-Président de la Communauté Urbaine, qui est autocrate, qui ne répond pas quand on sollicite la Communauté Urbaine dans l’intérêt des gens, qui empêche tout ce qu’il peut sur Tomblaine, il se permet de dire et d’écrire que la gestion socialiste fait que les infrastructures de Tomblaine sont dans un état déplorable. Mais Messieurs-Dames, vous devez savoir que si vous avez froid dans les gymnases du COSEC à Tomblaine, c’est à cause de lui. C’est lui qui refuse de répondre aux demandes du Maire de Tomblaine d’aménagements de ces installations payées par l’impôt, y compris des Tomblainois (ce qui signifie que ces installations ne sont pas la propriété de Monsieur Pensalfini), et vous devez savoir que quand les dirigeants d’associations se permettent de répondre à une interview de l’Est Républicain pour dire que les sportifs ont froid dans les gymnases, ils reçoivent des SMS de menaces pour leur dire qu’ils n’auront plus droit d’utiliser ces gymnases. Quand le Président du Canoë-Kayak Club vient voir le Maire de Tomblaine pour lui proposer d’installer une plage ludique l’été au bord de l’étang de la Méchelle, le Vice-Président de la Communauté Urbaine Eric Pensalfini lui répond : « d’accord, mais pas à Tomblaine ». Vous devez le savoir, si la ZAC de compétence communautaire est bloquée dans son évolution depuis 8 mois, c’est-à-dire que les gens qui y habitent n’ont pas de voirie définitive, n’ont pas de trottoirs finalisés, n’ont pas d’espaces verts, c’est de la faute volontaire de la Communauté Urbaine.

J’appelle ça être stupide et sectaire.

Quand mercredi dernier, le podium Europe 1 s’est arrêté au Zénith de Nancy et qu’il a été demandé à l’animateur de remercier au micro devant 3.000 personnes « Monsieur Pensalfini sans qui rien n’aurait été possible », ne serait-on pas là dans le détournement de l’argent public pour favoriser des élections départementales à trois jours du deuxième tour ? Enfin, Monsieur Pensalfini, pendant sa campagne, parmi les rumeurs médiocres qu’il a colportées, a dit de Grégoire Ruhland, notre candidat de 22 ans, qu’il avait toujours été un mauvais élève et qu’il était un petit roquet. Cela doit faire rire (ou  mettre en colère) toute personne qui connaît Grégoire. Un petit roquet, lui que tout le monde apprécie, que tout le monde trouve accessible, sympathique. Quant au mauvais élève, c’est plutôt marrant quand on sait que Grégoire à 22 ans termine Sciences Po, à 20 ans était au cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, à 21 ans élu Adjoint au Maire délégué aux Finances, plus jeune Adjoint au Maire dans la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Comme mauvais élève, on fait pire… Le triste auteur de ces calomnies ferait bien de se retourner sur son parcours personnel.

Deux tristes sires ont donc été élus au Conseil Départemental, le Maire de Saint-Max et le Maire d’Art-Sur-Meurthe. La population devait déjà les subir en tant que Vice-Présidents de la Communauté Urbaine, une chance pour nous, ils ne seront que minoritaires au Département et surtout, nous sommes plus combatifs que jamais, nous n’oublierons pas les méthodes de ces deux-là.

 

La fête est belle, la joie est grande en ce lendemain du deuxième tour des élections départementales en Meurthe-et-Moselle car la majorité départementale reste à Gauche sous la présidence de Mathieu Klein. La campagne s’est déroulée très solidairement avec toutes les composantes de la Gauche. C’était assez étrange hier sur France 3 d’entendre à plusieurs reprises le journaliste dire que l’Union de la Gauche avait été fragilisée à l’occasion de cette campagne alors que c’est tout à fait le contraire, la Gauche s’en trouve renforcée dans la réunion de ses différentes composantes.

Ces élections étaient plus politiques que jamais. Il s’agissait de poser la question des valeurs à partager aux électrices et aux électeurs. Entre un Front National sans aucune proposition qui incite à la haine et à l’intolérance, l’UMP qui avance cachée en oubliant si souvent d’afficher sa couleur sarkozyste, qui ne fait aucune proposition constructive, qui se complaît dans la critique négative ou dans la calomnie, et un Conseil Général de Meurthe-et-Moselle au « label qualité bilan » de Michel Dinet et Mathieu Klein, avec un programme résolument offensif en matière d’investissements publics et privés, de chances données à la jeunesse et de solidarité envers toutes les populations fragiles, il ne pouvait pas y avoir photo.

Plusieurs points de satisfaction : dans la circonscription où je suis Député, les résultats sont globalement très bons tout comme à Tomblaine, la ville dont je suis Maire, les jeunes candidats de Gauche que je soutenais ont fait une belle campagne et ont réalisé 62% des voix, ce qui est un excellent score à Tomblaine pour un deuxième tour d’élections départementales dans une situation où ce n’est pas le Maire qui est candidat.

Par contre, je suis meurtri de voir que nous avons perdu le canton de Saint-Max (dans lequel on trouve Tomblaine) et le canton du Grand Couronné. Je me souviens avoir gagné en 1998 le canton de Tomblaine et qu’il était resté à Gauche depuis. Nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-mêmes, les socialistes. En effet, ce sont des socialistes qui ont très mal découpé ces deux cantons pour les sacrifier à la Droite, c’est la politique désastreuse de Hollande, Valls, Macron qui a fait ses dégâts sur nos candidats de proximité et puis c’est aussi dans certaines de nos communes nos amis socialistes qui n’ont pas milité.

Alors, moi je dis haut et fort que je suis ravi que le Front National n’ait aucun siège. Ça ne me dérange pas qu’il récolte des voix et qu’il n’ait pas d’élus, bien au contraire. Je m’explique : toutes les propositions, toutes les analyses du Front National sont à mes yeux exécrables, elles n’ont rien à voir avec la République. Le Front National n’arrive pas à être majoritaire, nulle part. Je considère donc que le vote Front National est tout à fait à relativiser dans un contexte de forte abstention. Il ne s’agit pas d’un vote de choix du Front National mais d’un vote de protestation, voire de désespérance qui se concentre au maximum sur une trentaine de pourcents d’une quarantaine de pourcents de participation. A la différence de l’abstention, il s’agit là d’un non-vote et comme je combats ces idées et ces méthodes, je me réjouis que la démocratie ait suffisamment verrouillé le système pour que ces gens-là ne soient pas élus.

Si l’on considère que systématiquement les candidats du Front National ont fait des copiés-collés des tracts qui leur sont imposés par la direction du parti, si l’on considère que la plupart d’entre eux ont avancé cachés, pas de réunion publique, pas de contact avec la population, les gens ne les connaissent pas et surtout pas du tout de programme, ça aurait été leur faire un sale coup que de les mettre en situation de gérer un département. Imaginez un peu, une fois installés, qu’est-ce qu’on fait ?

A commencer par cette candidate Front National, invitée hier soir sur le plateau de France 3. Je n’ai pas accepté de lui serrer la main parce que chaque fois qu’un candidat du Front National me tend la main, je pense que mon père a été arrêté et emprisonné par les Allemands à l’âge de 15 ans parce qu’il distribuait des tracts pour la Résistance. Alors cette dame, candidate du Front National, dont je n’ai pas retenu le nom, à peine sortie de France 3, a inondé les réseaux Twitter pour se plaindre du fait que je n’ai pas voulu lui serrer la main. Moi, je ne lui ai rien dit, je ne l’ai même pas regardée mais voilà comment ces gens existent, en cherchant l’incident, en provoquant. Sur les réseaux Twitter, tous les imbéciles qui sont dans son sillage ont réagi, il y en a même un qui me traite de « collabo ». Chacun appréciera.

Mais dans la droite locale, on a aussi de sacrés monuments en termes de médiocrité. Ploucs ou imbéciles, je ne sais pas, les faits parlent pour eux :

– Le Maire d’Art-sur-Meurthe, Jean-Pierre Dessein, on le savait primaire mais à ce point-là… Je suis allé à Art-sur-Meurthe pour soutenir Landry Richard et Marie-Christine Bastien, les candidats de Gauche. Le maire d’Art-sur-Meurthe a mis un statut sur sa page Facebook, se permettant de mettre ma photo avec le poing et la rose de travers, en le détournant de telle façon que le poing fasse un doigt d’honneur. Quelle délicatesse, quelle intelligence ! Il n’en est pas à sa première, on sait que dès que je prends la parole au Conseil de Communauté, il tweete des insultes, des calomnies à mon égard. Et là, sur sa page Facebook, avec 2-3 autres imbéciles de son acabit, telle sa colistière, il s’épanche pour colporter des bruits de chiotte. C’est nauséabond, ça nous rappelle de tristes périodes de notre Histoire.

– Le Maire de Saint-Max, Eric Pensalfini, est du même acabit. Alors que c’est lui, dans le cadre de ses fonctions de Vice-Président de la Communauté Urbaine, qui est autocrate, qui ne répond pas quand on sollicite la Communauté Urbaine dans l’intérêt des gens, qui empêche tout ce qu’il peut sur Tomblaine, il se permet de dire et d’écrire que la gestion socialiste fait que les infrastructures de Tomblaine sont dans un état déplorable. Mais Messieurs-Dames, vous devez savoir que si vous avez froid dans les gymnases du COSEC à Tomblaine, c’est à cause de lui. C’est lui qui refuse de répondre aux demandes du Maire de Tomblaine d’aménagements de ces installations payées par l’impôt, y compris des Tomblainois (ce qui signifie que ces installations ne sont pas la propriété de Monsieur Pensalfini), et vous devez savoir que quand les dirigeants d’associations se permettent de répondre à une interview de l’Est Républicain pour dire que les sportifs ont froid dans les gymnases, ils reçoivent des SMS de menaces pour leur dire qu’ils n’auront plus droit d’utiliser ces gymnases. Quand le Président du Canoë-Kayak Club vient voir le Maire de Tomblaine pour lui proposer d’installer une plage ludique l’été au bord de l’étang de la Méchelle, le Vice-Président de la Communauté Urbaine Eric Pensalfini lui répond : « d’accord, mais pas à Tomblaine ». Vous devez le savoir, si la ZAC de compétence communautaire est bloquée dans son évolution depuis 8 mois, c’est-à-dire que les gens qui y habitent n’ont pas de voirie définitive, n’ont pas de trottoirs finalisés, n’ont pas d’espaces verts, c’est de la faute volontaire de la Communauté Urbaine.

J’appelle ça être stupide et sectaire.

Quand mercredi dernier, le podium Europe 1 s’est arrêté au Zénith de Nancy et qu’il a été demandé à l’animateur de remercier au micro devant 3.000 personnes « Monsieur Pensalfini sans qui rien n’aurait été possible », ne serait-on pas là dans le détournement de l’argent public pour favoriser des élections départementales à trois jours du deuxième tour ? Enfin, Monsieur Pensalfini, pendant sa campagne, parmi les rumeurs médiocres qu’il a colportées, a dit de Grégoire Ruhland, notre candidat de 22 ans, qu’il avait toujours été un mauvais élève et qu’il était un petit roquet. Cela doit faire rire (ou  mettre en colère) toute personne qui connaît Grégoire. Un petit roquet, lui que tout le monde apprécie, que tout le monde trouve accessible, sympathique. Quant au mauvais élève, c’est plutôt marrant quand on sait que Grégoire à 22 ans termine Sciences Po, à 20 ans était au cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, à 21 ans élu Adjoint au Maire délégué aux Finances, plus jeune Adjoint au Maire dans la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Comme mauvais élève, on fait pire… Le triste auteur de ces calomnies ferait bien de se retourner sur son parcours personnel.

Deux tristes sires ont donc été élus au Conseil Départemental, le Maire de Saint-Max et le Maire d’Art-Sur-Meurthe. La population devait déjà les subir en tant que Vice-Présidents de la Communauté Urbaine, une chance pour nous, ils ne seront que minoritaires au Département et surtout, nous sommes plus combatifs que jamais, nous n’oublierons pas les méthodes de ces deux-là.

 

Ce lundi en milieu de matinée, Hervé Féron s’est rendu à l’école élémentaire du Charmois de Vandœuvre-lès-Nancy afin de rencontrer les élèves de la classe de CM2 retenue dans le cadre de la 20ème édition du Parlement des Enfants.

Il a pu répondre aux questions des élèves qui se sont montrés très intéressés, et leur expliquer le fonctionnement de l’Assemblée Nationale ainsi que le processus législatif. Il a également pris connaissance du travail des élèves et de leur enseignante qui ont déposé une proposition de loi bien documentée visant à la régularisation de la situation administrative de parents en situation irrégulière ayant des enfants scolarisés.

 

 

Ce lundi en milieu de matinée, Hervé Féron s’est rendu à l’école élémentaire du Charmois de Vandœuvre-lès-Nancy afin de rencontrer les élèves de la classe de CM2 retenue dans le cadre de la 20ème édition du Parlement des Enfants.

Il a pu répondre aux questions des élèves qui se sont montrés très intéressés, et leur expliquer le fonctionnement de l’Assemblée Nationale ainsi que le processus législatif. Il a également pris connaissance du travail des élèves et de leur enseignante qui ont déposé une proposition de loi bien documentée visant à la régularisation de la situation administrative de parents en situation irrégulière ayant des enfants scolarisés.