Agir pour vous et avec vous

Mois : avril 2015 (Page 3 de 10)

Hervé FERON en appelle une nouvelle fois au Ministre des Affaires Etrangères, Laurent FABIUS, au sujet du sort dramatique réservé à notre compatriote Serge ATLAOUI.

Hervé FERON le conjure d’intervenir une nouvelle fois pour tenter de le sauver, et se fait en cela le porte-parole de tous les Lorrains, de tous les Français, de tous les humanistes bouleversés par cette dramatique affaire.

La Question Ecrite posée par le Député :

Monsieur Hervé FERON alerte Monsieur le Ministre des affaires étrangères et du développement international sur le sort réservé au ressortissant français Monsieur Serge ATLAOUI après que la Cour suprême indonésienne a rejeté hier la demande de révision du procès de l’intéressé, condamné à la peine capitale. Le Député a d’ores et déjà interpellé à plusieurs reprises Monsieur le Président de la République et Monsieur le ministre des affaires étrangères et du développement international. Conscient du fait que ce dernier est déjà particulièrement sensibilisé à ce drame, le Député lui demande instamment de tenter une dernière intervention auprès des autorités indonésiennes pour sauver Serge ATLAOUI qui clame son innocence depuis de nombreuses années. Le Député considère que sans préjuger sur le fond de l’affaire et quelle que soit la vérité, il n’est pas acceptable que l’un des ressortissants français soit condamné à une peine aussi inhumaine, indigne et barbare contre laquelle la France, pays des Droits de l’Homme, œuvre au niveau international pour demander l’abolition.

Demande de précisions sur l’appel à 
projet mis en place en soutien
aux médias de proximité
Question écrite à la Ministre de la Culture
 
M. Hervé Féron attire l’attention de
Mme la Ministre de la Culture et de
la Communication sur la situation
des médias citoyens et de proximité.
Considérés comme des acteurs essentiels de
la démocratie, ces médias
contribuent au jour le jour à tisser
le lien social permettant le vivre ensemble
sur notre territoire.
C’est tout particulièrement le cas des
radios du réseau France Bleu, qui grâce à leur
couverture extensive du territoire
constituent un élément structurant
du service public de la radio,
et fournissent quotidiennement
aux auditeurs à une information locale de qualité.
Or, comme le notait M. Jérôme Bouvier
dans son rapport publié en juin 2013,
« malgré le savoir-faire et l’engagement de
celles et ceux qui consacrent toute leur énergie
à les faire vivre, aucun de ces médias ne pourrait
exister sans soutien public.»
En effet, la vocation même des médias citoyens
et de proximité, qui remplissent une véritable
mission de communication sociale,
les place en dehors du secteur marchand
et leur interdit de raisonner en termes
de rentabilité pure.
Convaincue de la nécessité de leur développement
dans les territoires, mais aussi pour
leur permettre d’être mieux reconnus
en tant que médias à part entière,
Mme la Ministre a annoncé le 14 avril dernier
la mise en place d’un fonds
à destination des médias citoyens et
de proximité pour financer des appels à projet.
Doté d’un million d’euros,
ce fonds constitue une aide sans précédent
qui devra être disponible dès cet été.
M. Hervé Féron, qui a déjà eu l’occasion de
souligner la nécessité d’octroyer davantage
de financements au réseau France Bleu-
dont les moyens réduits depuis 2011
ont mené à la suppression de locaux -
souhaiterait savoir dans quelle mesure les radios
du réseau France Bleu pourront en bénéficier.
Demande de précisions sur l’appel à 
projet mis en place en soutien
aux médias de proximité
Question écrite à la Ministre de la Culture
 
M. Hervé Féron attire l’attention de
Mme la Ministre de la Culture et de
la Communication sur la situation
des médias citoyens et de proximité.
Considérés comme des acteurs essentiels de
la démocratie, ces médias
contribuent au jour le jour à tisser
le lien social permettant le vivre ensemble
sur notre territoire.
C’est tout particulièrement le cas des
radios du réseau France Bleu, qui grâce à leur
couverture extensive du territoire
constituent un élément structurant
du service public de la radio,
et fournissent quotidiennement
aux auditeurs à une information locale de qualité.
Or, comme le notait M. Jérôme Bouvier
dans son rapport publié en juin 2013,
« malgré le savoir-faire et l’engagement de
celles et ceux qui consacrent toute leur énergie
à les faire vivre, aucun de ces médias ne pourrait
exister sans soutien public.»
En effet, la vocation même des médias citoyens
et de proximité, qui remplissent une véritable
mission de communication sociale,
les place en dehors du secteur marchand
et leur interdit de raisonner en termes
de rentabilité pure.
Convaincue de la nécessité de leur développement
dans les territoires, mais aussi pour
leur permettre d’être mieux reconnus
en tant que médias à part entière,
Mme la Ministre a annoncé le 14 avril dernier
la mise en place d’un fonds
à destination des médias citoyens et
de proximité pour financer des appels à projet.
Doté d’un million d’euros,
ce fonds constitue une aide sans précédent
qui devra être disponible dès cet été.
M. Hervé Féron, qui a déjà eu l’occasion de
souligner la nécessité d’octroyer davantage
de financements au réseau France Bleu-
dont les moyens réduits depuis 2011
ont mené à la suppression de locaux -
souhaiterait savoir dans quelle mesure les radios
du réseau France Bleu pourront en bénéficier.
Demande de précisions sur l’appel à 
projet mis en place en soutien
aux médias de proximité
Question écrite à la Ministre de la Culture
 
M. Hervé Féron attire l’attention de
Mme la Ministre de la Culture et de
la Communication sur la situation
des médias citoyens et de proximité.
Considérés comme des acteurs essentiels de
la démocratie, ces médias
contribuent au jour le jour à tisser
le lien social permettant le vivre ensemble
sur notre territoire.
C’est tout particulièrement le cas des
radios du réseau France Bleu, qui grâce à leur
couverture extensive du territoire
constituent un élément structurant
du service public de la radio,
et fournissent quotidiennement
aux auditeurs à une information locale de qualité.
Or, comme le notait M. Jérôme Bouvier
dans son rapport publié en juin 2013,
« malgré le savoir-faire et l’engagement de
celles et ceux qui consacrent toute leur énergie
à les faire vivre, aucun de ces médias ne pourrait
exister sans soutien public.»
En effet, la vocation même des médias citoyens
et de proximité, qui remplissent une véritable
mission de communication sociale,
les place en dehors du secteur marchand
et leur interdit de raisonner en termes
de rentabilité pure.
Convaincue de la nécessité de leur développement
dans les territoires, mais aussi pour
leur permettre d’être mieux reconnus
en tant que médias à part entière,
Mme la Ministre a annoncé le 14 avril dernier
la mise en place d’un fonds
à destination des médias citoyens et
de proximité pour financer des appels à projet.
Doté d’un million d’euros,
ce fonds constitue une aide sans précédent
qui devra être disponible dès cet été.
M. Hervé Féron, qui a déjà eu l’occasion de
souligner la nécessité d’octroyer davantage
de financements au réseau France Bleu-
dont les moyens réduits depuis 2011
ont mené à la suppression de locaux -
souhaiterait savoir dans quelle mesure les radios
du réseau France Bleu pourront en bénéficier.

Je suis vraiment désolé mais même si la presse n’a pas voulu relayer l’avis que je donnais, je crois que j’ai eu raison à tous les épisodes du feuilleton de la pelouse du stade Marcel Picot.

Premier épisode : il s’agissait de changer la pelouse naturelle pour la transformer en pelouse synthétique. Je disais à l’époque que ça n’était pas souhaitable, les qualités de ces pelouses n’étaient pas démontrées, et on n’était pas sûr à terme que cela soit autorisé dans un championnat où la plupart des clubs étaient restés à la pelouse naturelle. Le stade a été malgré cela doté d’une pelouse synthétique. J’avais aussi expliqué que l’entretien d’une pelouse synthétique est très coûteux et que les économies n’étaient pas démontrées en comparaison du coût d’entretien d’une pelouse naturelle.

Deuxième épisode : depuis l’installation de cette pelouse synthétique, on a remarqué beaucoup plus de blessures dans l’effectif de l’AS Nancy Lorraine. On ne peut pas dire non plus que le club nancéien soit particulièrement performant à domicile, cela pose au moins question.

Troisième épisode : lorsque Jacques Rousselot, Président de l’AS Nancy Lorraine, il y a quelques mois, a dit qu’il était souhaitable de changer cette pelouse pour la remplacer par une pelouse hybride, d’autant plus que la pelouse synthétique arrivait au bout de ses 5 années de garantie, nous avions eu la surprise de lire dans la presse que Monsieur Pensalfini annonçait qu’il n’était pas question que le Grand Nancy participe au financement d’une pelouse hybride. Je m’étais exprimé pour dire que les Conseillers Communautaires auraient aimé que cela soit porté à la discussion, or cela n’a jamais été le cas. Ni en commission, ni en Conseil de Communauté, nous n’avons étudié la possibilité de participation financière de la CUGN à l’installation d’une pelouse hybride. Ce sont les méthodes de Monsieur Pensalfini que je déplore. J’avais dit alors que sur un investissement 2015 de 154,7 M€, il ne me semblait pas scandaleux que la Communauté Urbaine participe pour tout ou partie du 1,3 M€ pour permettre que, grâce à l’AS Nancy Lorraine, le Grand Nancy continue à rayonner. J’y ajoutais que l’AS Nancy Lorraine était redevenu un club formateur avec une des équipes les plus jeunes de Ligue 2. Il est à noter que sur ma demande exprimée de participation de la CUGN, je n’ai obtenu aucune réponse.

Quatrième épisode : on apprend que, suite à un rapport demandé par la Ligue de Football Professionnel et l’UCPF, deux anciens dirigeants du football professionnels, parmi leurs propositions, suggèrent d’interdire les terrains synthétiques. C’est là que toujours Monsieur Pensalfini s’exprime dans la presse pour donner sa décision très personnelle puisqu’il n’a toujours pas organisé la moindre discussion à ce sujet auprès du Conseil de Communauté. On appelle ça de l’autocratie. Il a décidé que la CUGN n’envisageait pas de se pencher sur la question de la pelouse du stade Marcel Picot avant 2018. Etant donné le risque d’interdiction du synthétique, il envisage peut-être de repousser les travaux prévus sur le PC de Sécurité à hauteur de 600.000 euros (le Conseil de Communauté n’est toujours pas au courant de ce projet et encore moins le Maire de la Ville de Tomblaine alors qu’il s’agit de normes de sécurité) mais il ne dit pas précisément pour quel type d’intervention au niveau de la CUGN. Il continue à affirmer la candidature nancéienne pour la Coupe du monde féminine 2019 alors que le Président Rossinot a promis de revenir devant le Conseil de Communauté pour un vote de validation quand on aurait connaissance des conditions financières (ce que l’on attend toujours). Monsieur Pensalfini ne tient pas le même discours que précédemment, il dit maintenant que la Communauté Urbaine se doit d’investir dans la pelouse car elle est propriétaire. Il ajoute, et c’est nouveau, qu’il faudrait discuter de la répartition de cette somme avec les instances du football, les collectivités et le club. Il envisage de demander une aide à la FFF et à la LFP. Soit il est naïf, soit il se moque de nous. Il affirme sans le démontrer (car il serait bien en difficulté que l’aide de la Communauté Urbaine (1,5 M€) à l’ASNL se situe bien au-dessus de la moyenne des subventions accordées par les agglomérations aux clubs en Ligue 2 et en Ligue 1). Bref, il n’y a qu’une conclusion à tirer : les responsabilités ne sont pas assumées.

 

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