Agir pour vous et avec vous

Jour : 25 novembre 2015

Ce dimanche 22 novembre, cela faisait tout juste deux ans, jour pour jour, que Hugo F chantait au Bataclan en première partie de Nicoletta.

Ce soir là, une jeune femme était à la régie lumières pour Hugo et pour Nicoletta.
Le 13 novembre 2015, cette jeune femme a perdu la vie dans l’attentat terroriste du Bataclan, elle était à la régie lumières.

Le 22 novembre 2013, Hugo F avait chanté « Le dernier qui sortira » (cette chanson que tu avais entendue à Tomblaine) qui dénonce la Culture mise à mal et dont le refrain dit : « Le dernier qui sortira éteindra les Lumières ! » Triste coïncidence…
En mai 2015, Hugo F a enregistré le clip de cette chanson, accompagné au saxo par Manu Dibango. Ce clip n’a jamais été diffusé sur le net.

Mais, dans l’émotion, en hommage aux victimes, pour la Culture et pour la Paix, et pour qu’on n’éteigne jamais les Lumières, on peut désormais le voir sur Youtube.
 

Ce dimanche 22 novembre, cela faisait tout juste deux ans, jour pour jour, que Hugo F chantait au Bataclan en première partie de Nicoletta.

Ce soir là, une jeune femme était à la régie lumières pour Hugo et pour Nicoletta.
Le 13 novembre 2015, cette jeune femme a perdu la vie dans l’attentat terroriste du Bataclan, elle était à la régie lumières.

Le 22 novembre 2013, Hugo F avait chanté « Le dernier qui sortira » (cette chanson que tu avais entendue à Tomblaine) qui dénonce la Culture mise à mal et dont le refrain dit : « Le dernier qui sortira éteindra les Lumières ! » Triste coïncidence…
En mai 2015, Hugo F a enregistré le clip de cette chanson, accompagné au saxo par Manu Dibango. Ce clip n’a jamais été diffusé sur le net.

Mais, dans l’émotion, en hommage aux victimes, pour la Culture et pour la Paix, et pour qu’on n’éteigne jamais les Lumières, on peut désormais le voir sur Youtube.
 

Le 25 novembre 1960, trois militantes politiques, les sœurs Mirabal, étaient assassinées en République dominicaine sur les ordres du dictateur Rafael Trujillo, devenant par là-même un symbole de résistance à toutes les formes de tyrannie. 

Commémorée partout dans le monde depuis 1999, elle est l’occasion de réaffirmer l’engagement des gouvernements, organisations internationales et ONG contre les violences faites aux femmes sous toutes les formes. « Physiques, sexuelles ou psychologiques », commises « dans la sphère privée comme publique », elles sont toutes également condamnables, selon le texte des Nations-Unies.

La violence contre les femmes demeure aujourd’hui un problème mondial. Jusqu’à 70% des femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie, 1 femme sur 3 dans le monde est victime de violences physiques ou sexuelles. En France, 1 femme sur 10 est touchée par ce type de violences. Récemment, un sondage nous avait interpelés en nous apprenant que 100% des femmes avaient déjà été victimes d’agressions sexuelles dans les transports en commun.

Afin de marquer leur soutien à la grande cause de la lutte contre les violences faites aux femmes, plusieurs personnes porteront un ruban blanc aujourd’hui. Aussi, avec le mot-dièse #ViolencesFemmes, une campagne a été lancée pour faire connaître largement la ligne téléphonique 3919, numéro d’écoute et d’orientation, anonyme et gratuit, disponible pour toutes les femmes victimes de violences, 7 jours sur 7.

En tant que député, je m’associe à cette journée nationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, et en tant que maire je demande à ce que ce courrier soit affiché dans les lieux publics que sont la mairie de Tomblaine, la bibliothèque municipale et l’espace socio-culturel Jean Jaurès.

Hervé Féron

Le 25 novembre 1960, trois militantes politiques, les sœurs Mirabal, étaient assassinées en République dominicaine sur les ordres du dictateur Rafael Trujillo, devenant par là-même un symbole de résistance à toutes les formes de tyrannie. 

Commémorée partout dans le monde depuis 1999, elle est l’occasion de réaffirmer l’engagement des gouvernements, organisations internationales et ONG contre les violences faites aux femmes sous toutes les formes. « Physiques, sexuelles ou psychologiques », commises « dans la sphère privée comme publique », elles sont toutes également condamnables, selon le texte des Nations-Unies.

La violence contre les femmes demeure aujourd’hui un problème mondial. Jusqu’à 70% des femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie, 1 femme sur 3 dans le monde est victime de violences physiques ou sexuelles. En France, 1 femme sur 10 est touchée par ce type de violences. Récemment, un sondage nous avait interpelés en nous apprenant que 100% des femmes avaient déjà été victimes d’agressions sexuelles dans les transports en commun.

Afin de marquer leur soutien à la grande cause de la lutte contre les violences faites aux femmes, plusieurs personnes porteront un ruban blanc aujourd’hui. Aussi, avec le mot-dièse #ViolencesFemmes, une campagne a été lancée pour faire connaître largement la ligne téléphonique 3919, numéro d’écoute et d’orientation, anonyme et gratuit, disponible pour toutes les femmes victimes de violences, 7 jours sur 7.

En tant que député, je m’associe à cette journée nationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, et en tant que maire je demande à ce que ce courrier soit affiché dans les lieux publics que sont la mairie de Tomblaine, la bibliothèque municipale et l’espace socio-culturel Jean Jaurès.

Hervé Féron