Agir pour vous et avec vous

Jour : 23 décembre 2015

L’ouverture, mais pas trop

D’après l’Est Républicain, Philippe Richert veut proposer la présidence de la commission des finances du Conseil Régional à un socialiste ayant appelé à voter pour lui au second tour, ce qui exclut Jean-Pierre Masseret. On est déjà dans le sectarisme de la part de cette droite qui appréciait beaucoup qu’une partie de la gauche ait appelé à voter pour elle. On comprend qu’il n’y avait là qu’une forme d’opportunisme.

Mais il ne faut pas s’en étonner car dans le même temps, à la Communauté Urbaine du Grand Nancy, la droite a donné la présidence de la Commission des Finances à un membre du groupe de gauche, tout en s’assurant que les deux députés Hervé Féron et Chaynesse Khirouni ne pourraient pas y siéger, en convoquant cette commission systématiquement les mardis, jour où les députés sont à l’Assemblée Nationale. Cela bien sûr parce qu’Hervé Féron est celui qui a le plus souvent montré les faiblesses de l’architecture budgétaire de la Communauté Urbaine. On veut bien « faire démocrate » en proposant une présidence de commission, mais il ne faut quand même pas aller trop loin.

L’ouverture, mais pas trop

D’après l’Est Républicain, Philippe Richert veut proposer la présidence de la commission des finances du Conseil Régional à un socialiste ayant appelé à voter pour lui au second tour, ce qui exclut Jean-Pierre Masseret. On est déjà dans le sectarisme de la part de cette droite qui appréciait beaucoup qu’une partie de la gauche ait appelé à voter pour elle. On comprend qu’il n’y avait là qu’une forme d’opportunisme.

Mais il ne faut pas s’en étonner car dans le même temps, à la Communauté Urbaine du Grand Nancy, la droite a donné la présidence de la Commission des Finances à un membre du groupe de gauche, tout en s’assurant que les deux députés Hervé Féron et Chaynesse Khirouni ne pourraient pas y siéger, en convoquant cette commission systématiquement les mardis, jour où les députés sont à l’Assemblée Nationale. Cela bien sûr parce qu’Hervé Féron est celui qui a le plus souvent montré les faiblesses de l’architecture budgétaire de la Communauté Urbaine. On veut bien « faire démocrate » en proposant une présidence de commission, mais il ne faut quand même pas aller trop loin.