Le clip « Le dernier qui sortira » sur Youtube marche très fort puisqu’en moins de deux mois il atteint les 135.000 vues. Continuez à faire tourner, faites le buzz, sur Youtube tapez « Hugo F. le dernier qui sortira ». En février il partagera la scène à l’Olympia avec Brigitte, Carla Bruni, Maxime le Forestier, Souchon et Voulzy, …
Mois : janvier 2016 (Page 6 de 9)
Le journaliste en pages sports aujourd’hui s’est trompé, Rémi Walter n’est pas originaire d’Essey-lès-Nancy, il est originaire de Tomblaine où il habitait encore jusqu’à la semaine dernière. Rémi quitte donc l’AS Nancy Lorraine pour Nice. Beaucoup regrettent qu’on ne lui ait pas laissé sa chance (la série de matches perdus au milieu de l’hiver l’an dernier correspond exactement à la période où l’entraîneur l’avait écarté ce qui a empêché l’AS Nancy Lorraine de monter en Ligue 1). Cette année, alors qu’il est brillant titulaire en équipe de France espoirs, il n’a pas eu sa chance dans l’équipe de l’AS Nancy Lorraine. On espère que le club nancéen ne s’en mordra pas les doigts… Rémi Walter va jouer en Ligue 1 à Nice où son talent sera reconnu. Rémi est un gamin de Tomblaine (Hervé Féron a même été son directeur en colonie de vacances) et les jeunes de Tomblaine savent qu’il reste un personnage très attachant et facile d’accès. Il n’était pas rare qu’il vienne taper le ballon quelques instants avec les copains dans le quartier. Bonne chance Rémi.
Le journaliste en pages sports aujourd’hui s’est trompé, Rémi Walter n’est pas originaire d’Essey-lès-Nancy, il est originaire de Tomblaine où il habitait encore jusqu’à la semaine dernière. Rémi quitte donc l’AS Nancy Lorraine pour Nice. Beaucoup regrettent qu’on ne lui ait pas laissé sa chance (la série de matches perdus au milieu de l’hiver l’an dernier correspond exactement à la période où l’entraîneur l’avait écarté ce qui a empêché l’AS Nancy Lorraine de monter en Ligue 1). Cette année, alors qu’il est brillant titulaire en équipe de France espoirs, il n’a pas eu sa chance dans l’équipe de l’AS Nancy Lorraine. On espère que le club nancéen ne s’en mordra pas les doigts… Rémi Walter va jouer en Ligue 1 à Nice où son talent sera reconnu. Rémi est un gamin de Tomblaine (Hervé Féron a même été son directeur en colonie de vacances) et les jeunes de Tomblaine savent qu’il reste un personnage très attachant et facile d’accès. Il n’était pas rare qu’il vienne taper le ballon quelques instants avec les copains dans le quartier. Bonne chance Rémi.
Actuellement, de plus en plus de citoyens français accèdent au Très Haut Débit (THD) Internet via des réseaux d’initiative publique (RIP) gérés par les collectivités locales (départements ou régions), financés en partie par l’Etat. Dans les prochaines années, près de la moitié de la population sera ainsi connectée en THD via des RIP.
Or, l’augmentation du nombre des RIP comme autant d’interlocuteurs avec les opérateurs électroniques peut ralentir l’arrivée des fournisseurs d’accès nationaux (Bouygues Telecom, Free, Numericable-SFR et Orange). Ainsi, dans la Communauté Urbaine du Grand Nancy, les opérateurs présents sur le réseau sont tous inconnus ou peu connus du grand public (Kiwi, Comcable, Wibox et K-net) et pratiquent des tarifs qui ne sont pas forcément avantageux par rapport à leurs concurrents nationaux.
Hervé Féron a donc déposé un amendement visant à ce que les opérateurs de communications électroniques nationaux intègrent les réseaux d’initiative publique existants. Cet amendement, qui a pour but de permettre un meilleur accès au THD sur l’ensemble du territoire, s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) ainsi que de la mission Très Haut Débit.
Non seulement les futurs abonnés seront libres dans le choix de leur opérateur, mais en plus ils seront protégés de la concurrence d’opérateurs européens qui ne manqueront pas de profiter de l’ouverture d’un tel marché.
Si l’amendement a peu de chances d’être adopté, notamment pour cause d’incompatibilité avec le droit européen, Hervé Féron estime toutefois nécessaire de défendre ce qui devrait être considéré comme une avancée pour l’ensemble des Français. Soit dit en passant, il est très regrettable que dans ce pays on censure de plus en plus systématiquement les bonnes initiatives pour de pareils motifs (compatibilité avec le droit européen, constitutionnalité, …). La fonction de député dans l’intérêt général est rendue de plus en plus compliquée à exercer dans ces conditions.
Actuellement, de plus en plus de citoyens français accèdent au Très Haut Débit (THD) Internet via des réseaux d’initiative publique (RIP) gérés par les collectivités locales (départements ou régions), financés en partie par l’Etat. Dans les prochaines années, près de la moitié de la population sera ainsi connectée en THD via des RIP.
Or, l’augmentation du nombre des RIP comme autant d’interlocuteurs avec les opérateurs électroniques peut ralentir l’arrivée des fournisseurs d’accès nationaux (Bouygues Telecom, Free, Numericable-SFR et Orange). Ainsi, dans la Communauté Urbaine du Grand Nancy, les opérateurs présents sur le réseau sont tous inconnus ou peu connus du grand public (Kiwi, Comcable, Wibox et K-net) et pratiquent des tarifs qui ne sont pas forcément avantageux par rapport à leurs concurrents nationaux.
Hervé Féron a donc déposé un amendement visant à ce que les opérateurs de communications électroniques nationaux intègrent les réseaux d’initiative publique existants. Cet amendement, qui a pour but de permettre un meilleur accès au THD sur l’ensemble du territoire, s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) ainsi que de la mission Très Haut Débit.
Non seulement les futurs abonnés seront libres dans le choix de leur opérateur, mais en plus ils seront protégés de la concurrence d’opérateurs européens qui ne manqueront pas de profiter de l’ouverture d’un tel marché.
Si l’amendement a peu de chances d’être adopté, notamment pour cause d’incompatibilité avec le droit européen, Hervé Féron estime toutefois nécessaire de défendre ce qui devrait être considéré comme une avancée pour l’ensemble des Français. Soit dit en passant, il est très regrettable que dans ce pays on censure de plus en plus systématiquement les bonnes initiatives pour de pareils motifs (compatibilité avec le droit européen, constitutionnalité, …). La fonction de député dans l’intérêt général est rendue de plus en plus compliquée à exercer dans ces conditions.