Agir pour vous et avec vous

Jour : 3 février 2016 (Page 1 de 2)

Suite au vote de la Loi de transition énergétique, nous avions été nombreux à féliciter Ségolène Royal pour son engagement volontariste en faveur de la réduction de la pollution plastique, grand danger pour l’environnement bien visible au niveau de l’énorme continent plastique qui grandit sur nos océans, notamment en Arctique. 

Quelle n’a donc pas été ma déception en apprenant en décembre que la publication du décret pour l’interdiction des sacs de caisse à usage unique, prévue au 1e janvier 2016, serait finalement repoussée au 28 mars. Pourquoi reculer face aux lobbies du plastique et de la grande distribution, alors que toute une industrie fabriquant des sacs entièrement biodégradables dans la nature attend un signal volontariste de l’Etat pour se développer ?

Mais alors que le 28 mars se rapproche, c’est finalement la date butoir du 1e juillet 2016 qui est annoncée par un Gouvernement qui se cache derrière un avis de la Commission européenne prétextant une potentielle entrave à la libre circulation des biens dans l’Union européenne. Au total, ce décret aura été repoussé de six mois, ce qui constitue une perte de temps énorme pour l’industrie bioplastique qui représente de nombreux emplois et de véritables débouchés pour nos agriculteurs !

Mais ce n’est pas tout : seuls les sacs plastique d’épaisseur inférieure à 50 micromètres, quel que soit leur volume et qu’ils soient gratuits ou payants, seront prohibés des caisses au 1er juillet 2016. Ce qui signifie que les sacs plastique d’épaisseur supérieure à 50 micromètres resteront jusqu’à nouvel ordre disponibles en caisse ! Les sacs ou emballages en plastique jetables fournis pour emballer les fruits et légumes ou le fromage ne seront eux bannis qu’au 1er janvier 2017.

Il faut que le Gouvernement fasse preuve de courage pour interdire immédiatement TOUS ces sacs en plastique qui mettent jusqu’à 400 ans pour disparaître, en conservant les sacs respectueux de l’environnement tels les bioplastiques. Dans la dynamique de la COP 21, censée nous montrer la voie vers une croissance plus propre et mieux équilibrée, faire un autre choix serait tout bonnement absurde et irait dans le sens inverse du progrès.

Suite au vote de la Loi de transition énergétique, nous avions été nombreux à féliciter Ségolène Royal pour son engagement volontariste en faveur de la réduction de la pollution plastique, grand danger pour l’environnement bien visible au niveau de l’énorme continent plastique qui grandit sur nos océans, notamment en Arctique. 

Quelle n’a donc pas été ma déception en apprenant en décembre que la publication du décret pour l’interdiction des sacs de caisse à usage unique, prévue au 1e janvier 2016, serait finalement repoussée au 28 mars. Pourquoi reculer face aux lobbies du plastique et de la grande distribution, alors que toute une industrie fabriquant des sacs entièrement biodégradables dans la nature attend un signal volontariste de l’Etat pour se développer ?

Mais alors que le 28 mars se rapproche, c’est finalement la date butoir du 1e juillet 2016 qui est annoncée par un Gouvernement qui se cache derrière un avis de la Commission européenne prétextant une potentielle entrave à la libre circulation des biens dans l’Union européenne. Au total, ce décret aura été repoussé de six mois, ce qui constitue une perte de temps énorme pour l’industrie bioplastique qui représente de nombreux emplois et de véritables débouchés pour nos agriculteurs !

Mais ce n’est pas tout : seuls les sacs plastique d’épaisseur inférieure à 50 micromètres, quel que soit leur volume et qu’ils soient gratuits ou payants, seront prohibés des caisses au 1er juillet 2016. Ce qui signifie que les sacs plastique d’épaisseur supérieure à 50 micromètres resteront jusqu’à nouvel ordre disponibles en caisse ! Les sacs ou emballages en plastique jetables fournis pour emballer les fruits et légumes ou le fromage ne seront eux bannis qu’au 1er janvier 2017.

Il faut que le Gouvernement fasse preuve de courage pour interdire immédiatement TOUS ces sacs en plastique qui mettent jusqu’à 400 ans pour disparaître, en conservant les sacs respectueux de l’environnement tels les bioplastiques. Dans la dynamique de la COP 21, censée nous montrer la voie vers une croissance plus propre et mieux équilibrée, faire un autre choix serait tout bonnement absurde et irait dans le sens inverse du progrès.

Intervention d’Hervé Féron en Commission des Affaires culturelles et de l’éducation à l’occasion de l’audition d’Olivier Poivre d’Arvor, Ambassadeur chargé de l’attractivité culturelle de la France, le mercredi 3 février 2016

Intervention d’Hervé Féron en Commission des Affaires culturelles et de l’éducation à l’occasion de l’audition d’Olivier Poivre d’Arvor, Ambassadeur chargé de l’attractivité culturelle de la France, le mercredi 3 février 2016

Le documentaire « Un Mur dans le Désert » tourné au Sahara, écrit et réalisé par Hervé Féron (le texte est dit par le Comédien Pierre Richard) sera diffusé aujourd’hui à l’Assemblée Nationale. Il évoque les conditions de vie du Peuple Sahraoui et la Culture comme moyen de résister…

Un livre qui reprend tout le texte de ce documentaire vient d’être édité « Un Mur dans le Désert » aux éditions KAIROS.

Il est en vente à 9€, tous les bénéfices seront reversés au Croissant Rouge Sahraoui.

Vous pouvez vous le procurer en adressant un chèque de 9€ à :

Editions Kairos

33, rue Ludovic Beauchet

54000 – Nancy.

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