Agir pour vous et avec vous

Mois : mai 2016 (Page 1 de 13)

Hervé Féron dans un article du journal « Le Monde » :

« Faire des travaux dans son logement, aider ses enfants à acheter leur appartement… Passer la cinquantaine, il n’est plus rare que les particuliers aient besoin d’emprunter. Chez le courtier en crédits Empruntis, les 50 ans et plus représentaient près de 15 % des demandes de financement en 2015, mais les plus de 60 ans, moins de 2 %.

Dans une question écrite au gouvernement, le 26 avril, le député Hervé Féron (groupe socialiste, républicain et citoyen) demandait au gouvernement les mesures que ce dernier entendait prendre afin de faciliter l’accès au crédit bancaire des personnes de plus de 60 ans. Pour argumenter sa question, le député soulignait « l’espérance de vie et la qualité de vie des seniors [qui]augmentent depuis plusieurs années, rendant légitimes les demandes d’un nombre croissant de personnes de plus de 60 ans d’accéder au crédit bancaire ». »

« Les banques prêtent aujourd’hui plus facilement aux seniors, qui s’endettent pour acheter une résidence secondaire ou pour réaliser un investissement locatif », relève Maël Bernier, directrice de la communication du site Meilleurtaux.com. Elles seraient même moins frileuses face à un senior propriétaire que face à un jeune emprunteur
dont les revenus sont irréguliers ou qui est en contrat à durée déterminé (CDD).

Nombreux obstacles

« A chaque âge ses avantages. Le patrimoine constitue généralement la force des seniors », explique Cécile Roquelaure, directrice de la communication et des études chez Empruntis. Rappelons qu’à partir de 60 ans, près de trois ménages sur quatre sont propriétaires d’au moins un bien immobilierselon une étude du Crédit foncier datant de 2014.

Pour emprunter, les seniors doivent malgré tout faire face à de nombreux obstacles. « L’accès au crédit se complique surtout à l’approche de la retraite, aux alentours de 56 ans ou de 58 ans. Les banques n’ont pas de barème spécifique qui freinerait les prêts à partir de cet âge, mais le passage à la retraite, synonyme de baisse de revenus, réduit forcément les capacités de remboursement », explique Mme Roquelaure.

Pour en tenir compte, les établissements bancaires peuvent mettre en place un prêt à paliers. « Il permet d’adapter le montant des mensualités aux capacités de remboursement de l’emprunteur lors de sa vie active, puis au moment de la retraite », précise Maël Bernier.

Le vrai enjeu porte surtout sur l’assurance emprunteur qui garantit le prêt immobilier, notamment en cas de décès. Plus on avance en âge, plus il est difficile et coûteux d’assurer son crédit. « Fort logiquement, l’âge est considéré comme un facteur aggravant pour les problèmes de santé et donc comme un risque accru pour l’assureur », précise Mme Bernier.

Par exemple, pour un prêt de 150 000 euros sur quinze ans, l’assurance s’élève, en moyenne, à 0,37 % du capital prêté pour un souscripteur âgé de 40 ans, mais à 0,55 % s’il est âgé 55 ans. Soit 4 000 euros de plus sur la durée totale du crédit.

Nouvelles formes de prêts

En outre, l’emprunteur n’échappe pas au questionnaire de santé complet et, éventuellement, à une batterie d’examens médicaux. Les problèmes, comme le diabète ou d’un excès de cholestérol, engendrent par exemple des surprimes.

Les seniors ont souvent recours à la délégation d’assurance, permettant de s’assurer auprès d’un autre établissement que celui du prêt. Certains (Metlife, Axa, Suravenir, Cardif, etc.) proposent des contrats qui autorisent une adhésion souvent plus tardive que les établissements bancaires classiques, jusqu’à 85 ans, avec une fin de prestation d’assurance décès jusqu’à 90 ans.

Pour faciliter l’accès du crédit à la consommation des plus de 60 ans dont les revenus sont modestes, d’autres formes de prêts ont été développées ces dernières années. C’est le cas notamment du prêt viager hypothécaire proposé par le Crédit foncier. Son fonctionnement ? La banque prête une somme d’argent et prend en garantie une hypothèque sur un logement appartenant au senior.

L’emprunteur n’a pas de mensualités à payer, ni de prêt à assurer, le capital et les intérêts n’étant remboursés qu’à la fin de l’opération (souvent au décès de l’emprunteur). 

« Il permet d’obtenir un capital ou une rente sans charge de remboursement mensuelle en apportant en garantie un bien dont l’emprunteur conserve la pleine propriété et la faculté de l’occuper, explique Nicolas Pécourt, directeur de la communication du Crédit foncier. Ces prêts, dont le montant moyen est de 90 000 euros, sont utilisés pour la rénovation du logement, pour percevoir un revenu complémentaire ou pour aider ses enfants et petits-enfants. »

Avec environ 700 contrats souscrits par an depuis son lancement, en 2007, cette formule peu connue peine à convaincre. Son taux d’intérêt élevé (supérieur à 6 %) n’y est sûrement pas pour rien.

http://www.lemonde.fr/argent/article/2016/05/31/si-a-50-ans-tu-n-as-pas-ton-credit_4929549_1657007.html

Hervé Féron dans un article du journal « Le Monde » :

« Faire des travaux dans son logement, aider ses enfants à acheter leur appartement… Passer la cinquantaine, il n’est plus rare que les particuliers aient besoin d’emprunter. Chez le courtier en crédits Empruntis, les 50 ans et plus représentaient près de 15 % des demandes de financement en 2015, mais les plus de 60 ans, moins de 2 %.

Dans une question écrite au gouvernement, le 26 avril, le député Hervé Féron (groupe socialiste, républicain et citoyen) demandait au gouvernement les mesures que ce dernier entendait prendre afin de faciliter l’accès au crédit bancaire des personnes de plus de 60 ans. Pour argumenter sa question, le député soulignait « l’espérance de vie et la qualité de vie des seniors [qui]augmentent depuis plusieurs années, rendant légitimes les demandes d’un nombre croissant de personnes de plus de 60 ans d’accéder au crédit bancaire ». »

« Les banques prêtent aujourd’hui plus facilement aux seniors, qui s’endettent pour acheter une résidence secondaire ou pour réaliser un investissement locatif », relève Maël Bernier, directrice de la communication du site Meilleurtaux.com. Elles seraient même moins frileuses face à un senior propriétaire que face à un jeune emprunteur
dont les revenus sont irréguliers ou qui est en contrat à durée déterminé (CDD).

Nombreux obstacles

« A chaque âge ses avantages. Le patrimoine constitue généralement la force des seniors », explique Cécile Roquelaure, directrice de la communication et des études chez Empruntis. Rappelons qu’à partir de 60 ans, près de trois ménages sur quatre sont propriétaires d’au moins un bien immobilierselon une étude du Crédit foncier datant de 2014.

Pour emprunter, les seniors doivent malgré tout faire face à de nombreux obstacles. « L’accès au crédit se complique surtout à l’approche de la retraite, aux alentours de 56 ans ou de 58 ans. Les banques n’ont pas de barème spécifique qui freinerait les prêts à partir de cet âge, mais le passage à la retraite, synonyme de baisse de revenus, réduit forcément les capacités de remboursement », explique Mme Roquelaure.

Pour en tenir compte, les établissements bancaires peuvent mettre en place un prêt à paliers. « Il permet d’adapter le montant des mensualités aux capacités de remboursement de l’emprunteur lors de sa vie active, puis au moment de la retraite », précise Maël Bernier.

Le vrai enjeu porte surtout sur l’assurance emprunteur qui garantit le prêt immobilier, notamment en cas de décès. Plus on avance en âge, plus il est difficile et coûteux d’assurer son crédit. « Fort logiquement, l’âge est considéré comme un facteur aggravant pour les problèmes de santé et donc comme un risque accru pour l’assureur », précise Mme Bernier.

Par exemple, pour un prêt de 150 000 euros sur quinze ans, l’assurance s’élève, en moyenne, à 0,37 % du capital prêté pour un souscripteur âgé de 40 ans, mais à 0,55 % s’il est âgé 55 ans. Soit 4 000 euros de plus sur la durée totale du crédit.

Nouvelles formes de prêts

En outre, l’emprunteur n’échappe pas au questionnaire de santé complet et, éventuellement, à une batterie d’examens médicaux. Les problèmes, comme le diabète ou d’un excès de cholestérol, engendrent par exemple des surprimes.

Les seniors ont souvent recours à la délégation d’assurance, permettant de s’assurer auprès d’un autre établissement que celui du prêt. Certains (Metlife, Axa, Suravenir, Cardif, etc.) proposent des contrats qui autorisent une adhésion souvent plus tardive que les établissements bancaires classiques, jusqu’à 85 ans, avec une fin de prestation d’assurance décès jusqu’à 90 ans.

Pour faciliter l’accès du crédit à la consommation des plus de 60 ans dont les revenus sont modestes, d’autres formes de prêts ont été développées ces dernières années. C’est le cas notamment du prêt viager hypothécaire proposé par le Crédit foncier. Son fonctionnement ? La banque prête une somme d’argent et prend en garantie une hypothèque sur un logement appartenant au senior.

L’emprunteur n’a pas de mensualités à payer, ni de prêt à assurer, le capital et les intérêts n’étant remboursés qu’à la fin de l’opération (souvent au décès de l’emprunteur). 

« Il permet d’obtenir un capital ou une rente sans charge de remboursement mensuelle en apportant en garantie un bien dont l’emprunteur conserve la pleine propriété et la faculté de l’occuper, explique Nicolas Pécourt, directeur de la communication du Crédit foncier. Ces prêts, dont le montant moyen est de 90 000 euros, sont utilisés pour la rénovation du logement, pour percevoir un revenu complémentaire ou pour aider ses enfants et petits-enfants. »

Avec environ 700 contrats souscrits par an depuis son lancement, en 2007, cette formule peu connue peine à convaincre. Son taux d’intérêt élevé (supérieur à 6 %) n’y est sûrement pas pour rien.

http://www.lemonde.fr/argent/article/2016/05/31/si-a-50-ans-tu-n-as-pas-ton-credit_4929549_1657007.html

> Vendredi matin à 10h30, Hervé Féron accompagnait Pierre Moscovici, Commissaire Européen aux Affaires Economiques et Monétaires, à la Fiscalité et à l’Union douanière, pour une visite de la Société Vénatech, à Vandoeuvre. C’est une société qu’il faut connaître, lauréat national du premier concours de création d’entreprise innovante, dit concours Allègre en 1999, Vénatech est devenue en 2015 le premier bureau d’études indépendant français en ingénierie acoustique. Passée de 5 à 55 salariés en 10 ans, cette société a multiplié son chiffre d’affaires par 30 lors de cette même période.
Pierre Moscovici s’intéressait à cette société car elle a bénéficié du plan Junker, comme quoi, l’Europe peut aussi aider le développement économique en France.              

 

> Tout l’après-midi de vendredi a été consacré au Conseil de Communauté Urbaine, avec une attitude scandaleuse de Valérie Debord et de la majorité de droite de la CUGN, qui ont bloqué le projet de création de 36 logements sociaux à Tomblaine.
A noter tout de même, que dans la délibération n°8, la CUGN sollicite l’Etat sur le fond de soutien à l’investissement public local. Preuve que parfois, ce Gouvernement prend des initiatives heureuses. Si la droite de la Communauté Urbaine n’a pas arrêté de pleurer sur les baisses de dotations de fonctionnement, on remarque au passage, qu’elle n’oublie pas de solliciter l’Etat sur un programme de 3 618 000 euros, pour une participation de l’Etat sur le fonds de soutien d’1 809 000 euros.  Merci qui ? Merci François Hollande !

> Vendredi soir à 20h15, le Député a participé à l’Assemblée Générale de la MJC Lorraine, MJC toujours novatrice, participative, une soixantaine d’activités proposées, les responsables sont de vrais militants de l’Education Populaire et première MJC de France en nombre d’adhérents (4 000). Une activité a particulièrement attiré l’attention du Député : la démarche « être parent ». Il s’agit de la réalisation de courtes vidéos, à destination des parents  autour de l’éducation, l’alimentation, le sommeil, l’addiction aux jeux… Il s’agit de conseils, de formations au dur métier de parents, voire une invitation à réfléchir ensemble. La démarche est  innovante, Hervé Féron a proposé une aide de 10000 € sur la réserve parlementaire et a organisé un prochain rendez-vous au Ministère de la Famille, pour tenter d’obtenir une reconnaissance et un rayonnement plus important.

> La journée de samedi a été consacrée à la célébration de mariages et d’un parrainage, de rencontres de jeunes, des noces de platine et fêtes des voisins. Gros rythme mais événements sympathiques.

> Dimanche, à 11h30, Hervé Féron, au côté du Maire de Jarville, Jean-Pierre Hurpeau, participait à une commémoration de la Bataille de Verdun, et déposait une gerbe au Monument aux Morts. L’après-midi à 16h30, le Député, après une minute de silence, donnait le coup d’envoi du Challenge Raoul PIZZI, à Tomblaine. (Il ne s’est rien cassé). Plus sérieusement, c’était un vrai moment de solidarité et beaucoup d’émotion pour ceux qui ont connu Raoul PIZZI.

> Ce Lundi à 11h, Hervé Féron faisait visiter l’Assemblée Nationale à une classe du Lycée Marie Marvingt, à Tomblaine.

> Vendredi matin à 10h30, Hervé Féron accompagnait Pierre Moscovici, Commissaire Européen aux Affaires Economiques et Monétaires, à la Fiscalité et à l’Union douanière, pour une visite de la Société Vénatech, à Vandoeuvre. C’est une société qu’il faut connaître, lauréat national du premier concours de création d’entreprise innovante, dit concours Allègre en 1999, Vénatech est devenue en 2015 le premier bureau d’études indépendant français en ingénierie acoustique. Passée de 5 à 55 salariés en 10 ans, cette société a multiplié son chiffre d’affaires par 30 lors de cette même période.
Pierre Moscovici s’intéressait à cette société car elle a bénéficié du plan Junker, comme quoi, l’Europe peut aussi aider le développement économique en France.              

 

> Tout l’après-midi de vendredi a été consacré au Conseil de Communauté Urbaine, avec une attitude scandaleuse de Valérie Debord et de la majorité de droite de la CUGN, qui ont bloqué le projet de création de 36 logements sociaux à Tomblaine.
A noter tout de même, que dans la délibération n°8, la CUGN sollicite l’Etat sur le fond de soutien à l’investissement public local. Preuve que parfois, ce Gouvernement prend des initiatives heureuses. Si la droite de la Communauté Urbaine n’a pas arrêté de pleurer sur les baisses de dotations de fonctionnement, on remarque au passage, qu’elle n’oublie pas de solliciter l’Etat sur un programme de 3 618 000 euros, pour une participation de l’Etat sur le fonds de soutien d’1 809 000 euros.  Merci qui ? Merci François Hollande !

> Vendredi soir à 20h15, le Député a participé à l’Assemblée Générale de la MJC Lorraine, MJC toujours novatrice, participative, une soixantaine d’activités proposées, les responsables sont de vrais militants de l’Education Populaire et première MJC de France en nombre d’adhérents (4 000). Une activité a particulièrement attiré l’attention du Député : la démarche « être parent ». Il s’agit de la réalisation de courtes vidéos, à destination des parents  autour de l’éducation, l’alimentation, le sommeil, l’addiction aux jeux… Il s’agit de conseils, de formations au dur métier de parents, voire une invitation à réfléchir ensemble. La démarche est  innovante, Hervé Féron a proposé une aide de 10000 € sur la réserve parlementaire et a organisé un prochain rendez-vous au Ministère de la Famille, pour tenter d’obtenir une reconnaissance et un rayonnement plus important.

> La journée de samedi a été consacrée à la célébration de mariages et d’un parrainage, de rencontres de jeunes, des noces de platine et fêtes des voisins. Gros rythme mais événements sympathiques.

> Dimanche, à 11h30, Hervé Féron, au côté du Maire de Jarville, Jean-Pierre Hurpeau, participait à une commémoration de la Bataille de Verdun, et déposait une gerbe au Monument aux Morts. L’après-midi à 16h30, le Député, après une minute de silence, donnait le coup d’envoi du Challenge Raoul PIZZI, à Tomblaine. (Il ne s’est rien cassé). Plus sérieusement, c’était un vrai moment de solidarité et beaucoup d’émotion pour ceux qui ont connu Raoul PIZZI.

> Ce Lundi à 11h, Hervé Féron faisait visiter l’Assemblée Nationale à une classe du Lycée Marie Marvingt, à Tomblaine.


Je signe parce que les Maisons des Jeunes et de la Culture sont des acteurs essentiels de l’éducation populaire dans notre pays. C’est au travers de l’apprentissage, des rencontres, de la participation et du partage que les MJC parviennent à réconcilier le vieil antagonisme mis en lumière par Jean-Jacques Rousseau entre éducation individuelle et éducation citoyenne.

A l’heure où une grande partie de notre population est en perte de repères et que la fracture sociale se fait plus cruellement sentir que jamais, il apparaît absolument indispensable de maintenir les subventions publiques dont bénéficient les MJC.

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