Agir pour vous et avec vous

Mois : mai 2016 (Page 3 de 13)

Chassez le naturel, il revient au galop ! A peine André Rossinot a t-il obtenu que la gauche construise avec lui le projet du Grand Nancy Métropole, qu’il revient à ses bonnes vieilles méthodes : l’autoritarisme.

Le maire de Tomblaine a travaillé depuis des mois pour qu’Avenue de la Paix soit implanté un bâtiment de 36 logements sociaux « PLUS » dans le Quartier Prioritaire de Politique  de la Ville. Cela est lié pour les bailleurs sociaux à des subventions de la Communauté Urbaine.

Valérie Debord abusant  de son pouvoir de vice-présidente de la Communauté Urbaine (celle-là, il faudra se souvenir qu’il n’est pas bon de lui confier des responsabilités), utilise une règle de  la Communauté Urbaine qui impose désormais de construire 30 % de PLAI (logement très sociaux), chaque fois que l’on crée de nouveaux logements sociaux.

Hervé Féron a eu beau expliquer qu’en tant que Maire il ne souhaitait pas ces PLAI à cet endroit parce qu’on est dans un secteur en surdensité dans le  quartier prioritaire de la politique de la ville, elle n’a rien voulu entendre. Hervé Féron  a expliqué qu’il est prêt à redéployer des PLAI sur d’autres secteurs de Tomblaine mais qu’il a le souci de respecter les équilibres, la mixité sociale et la mixité de l’habitat sur l’ensemble de sa commune.

Valérie Debord s’est obstinée stupidement et, en conséquence, les 36 logements sociaux, pour lesquels Hervé Féron avait trouvé un promoteur ne verront pas le jour. C’est scandaleux, on se souvient déjà de la façon dont Valérie Debord avait géré l’arrivée massive de gens du voyage sur la commune de Tomblaine du mois de juin au mois de Septembre 2015. Chacun appréciera.

Au secours, la droite essaie de revenir !

Chassez le naturel, il revient au galop ! A peine André Rossinot a t-il obtenu que la gauche construise avec lui le projet du Grand Nancy Métropole, qu’il revient à ses bonnes vieilles méthodes : l’autoritarisme.

Le maire de Tomblaine a travaillé depuis des mois pour qu’Avenue de la Paix soit implanté un bâtiment de 36 logements sociaux « PLUS » dans le Quartier Prioritaire de Politique  de la Ville. Cela est lié pour les bailleurs sociaux à des subventions de la Communauté Urbaine.

Valérie Debord abusant  de son pouvoir de vice-présidente de la Communauté Urbaine (celle-là, il faudra se souvenir qu’il n’est pas bon de lui confier des responsabilités), utilise une règle de  la Communauté Urbaine qui impose désormais de construire 30 % de PLAI (logement très sociaux), chaque fois que l’on crée de nouveaux logements sociaux.

Hervé Féron a eu beau expliquer qu’en tant que Maire il ne souhaitait pas ces PLAI à cet endroit parce qu’on est dans un secteur en surdensité dans le  quartier prioritaire de la politique de la ville, elle n’a rien voulu entendre. Hervé Féron  a expliqué qu’il est prêt à redéployer des PLAI sur d’autres secteurs de Tomblaine mais qu’il a le souci de respecter les équilibres, la mixité sociale et la mixité de l’habitat sur l’ensemble de sa commune.

Valérie Debord s’est obstinée stupidement et, en conséquence, les 36 logements sociaux, pour lesquels Hervé Féron avait trouvé un promoteur ne verront pas le jour. C’est scandaleux, on se souvient déjà de la façon dont Valérie Debord avait géré l’arrivée massive de gens du voyage sur la commune de Tomblaine du mois de juin au mois de Septembre 2015. Chacun appréciera.

Au secours, la droite essaie de revenir !

Le premier point à l’ordre du jour était aujourd’hui le rapport d’activité 2015 du Conseil de Développement Durable. André Rossinot a introduit le sujet en insistant sur le fait que cette communication est désormais obligatoire, on peut se demander comment ça se passerait si ça n’était pas obligatoire ?

La présentation de ce rapport a été faite par l’excellent Président du CDD (ce qui démontre le côté malheureusement précaire de la démarche) Dominique Walk.
Rapport très intéressant.
Le problème, c’est toujours ce qu’on en fait. On attend toujours ce qui nous avait pourtant été annoncé dans le cadre du changement de gouvernance à savoir :  chaque fois qu’une délibération arrive à l’ordre du jour du Conseil de Communauté et bientôt du Conseil de Métropole et que le Conseil de Développement Durable a travaillé sur un sujet lié à cette délibération, nous souhaitons que l’avis du Conseil de Développement Durable soit annexé à cette délibération pour éclairer le Conseil.
Or, ça n’est jamais le cas, ce CDD n’est utilisé que lorsqu’il sert les décisions de l’exécutif pour les légitimer.
Et puis peut-être que quand la démocratie représentative sera respectée, l’exercice de la démocratie participative sera crédible…

Le premier point à l’ordre du jour était aujourd’hui le rapport d’activité 2015 du Conseil de Développement Durable. André Rossinot a introduit le sujet en insistant sur le fait que cette communication est désormais obligatoire, on peut se demander comment ça se passerait si ça n’était pas obligatoire ?

La présentation de ce rapport a été faite par l’excellent Président du CDD (ce qui démontre le côté malheureusement précaire de la démarche) Dominique Walk.
Rapport très intéressant.
Le problème, c’est toujours ce qu’on en fait. On attend toujours ce qui nous avait pourtant été annoncé dans le cadre du changement de gouvernance à savoir :  chaque fois qu’une délibération arrive à l’ordre du jour du Conseil de Communauté et bientôt du Conseil de Métropole et que le Conseil de Développement Durable a travaillé sur un sujet lié à cette délibération, nous souhaitons que l’avis du Conseil de Développement Durable soit annexé à cette délibération pour éclairer le Conseil.
Or, ça n’est jamais le cas, ce CDD n’est utilisé que lorsqu’il sert les décisions de l’exécutif pour les légitimer.
Et puis peut-être que quand la démocratie représentative sera respectée, l’exercice de la démocratie participative sera crédible…

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