Agir pour vous et avec vous

Jour : 7 juin 2016

Le crédit de plus en plus accessible aux seniors en France

Avec l’espérance de vie qui augmente, il y a de plus en plus de seniors qui aspirent à obtenir un crédit. Par chance, ceux-ci se débloquent de plus en plus facilement. Il faut dire qu’il est plus simple de faire confiance à des seniors, souvent propriétaires, qu’à des jeunes sans emploi ou en CDD (contrat à durée indéterminé).

Seulement 2% des demandes de crédit concernent les plus de 60 ans

Ils ne sont pas très nombreux en France à avoir besoin d’un crédit dès l’âge de la retraite, d’après des chiffres fournis récemment par Empruntis. Pourtant, les besoins peuvent être bien présents, comme pour aider leurs enfants, s’offrir un camping-car ou un second pied à terre en France ou à l’étranger. Ainsi, si les plus de 50 ans représentent pas moins de 15% des demandes, les plus de 60 ans ne représentent que 2%.  Récemment, le député Hervé Féron (groupe socialiste, républicain et citoyen), a demandé au gouvernement ce qui allait être mis en place afin de faciliter l’accès des seniors au crédit. Afin d’appuyer sa question, celui-ci mettait en avant la qualité de vie et l’espérance sans cesse grandissante, ce qui rend légitime une demande de crédit rapide à la consommation, par exemple.

La demande augmente chez les seniors

Si les demandes représentent aujourd’hui seulement 2% chez les seniors, celles-ci sont en perpétuelle augmentation. D’après certains spécialistes, les banques prêtent d’ailleurs plus facilement aux plus de 60 ans qu’aux jeunes aux revenus irréguliers ou n’ayant pas un CDI. Effectivement, les seniors sont plus à même de séduire les banques, car il faut le savoir, plus des 3/4 des plus de 60 ans sont aujourd’hui propriétaires d’au moins un bien immobilier en France.

Mais tout n’est pas simple pour autant. Pour emprunter, les seniors doivent tout de même faire face à certaines difficultés, ce qui est aussi valable pour le rachat de crédit, mis à mal depuis quelques mois. Ainsi, l’accès au crédit se complique particulièrement à partir de 56 ou 58 ans. La retraite approchant, le pouvoir de remboursement est amené à se réduire, ce qui freine l’obtention des crédits auprès des banques et organismes spécialisés. Mais tout cela pourrait bien changer dans les mois et années à venir.

 Article La tribune, par Olivier B consultable ici

Le crédit de plus en plus accessible aux seniors en France

Avec l’espérance de vie qui augmente, il y a de plus en plus de seniors qui aspirent à obtenir un crédit. Par chance, ceux-ci se débloquent de plus en plus facilement. Il faut dire qu’il est plus simple de faire confiance à des seniors, souvent propriétaires, qu’à des jeunes sans emploi ou en CDD (contrat à durée indéterminé).

Seulement 2% des demandes de crédit concernent les plus de 60 ans

Ils ne sont pas très nombreux en France à avoir besoin d’un crédit dès l’âge de la retraite, d’après des chiffres fournis récemment par Empruntis. Pourtant, les besoins peuvent être bien présents, comme pour aider leurs enfants, s’offrir un camping-car ou un second pied à terre en France ou à l’étranger. Ainsi, si les plus de 50 ans représentent pas moins de 15% des demandes, les plus de 60 ans ne représentent que 2%.  Récemment, le député Hervé Féron (groupe socialiste, républicain et citoyen), a demandé au gouvernement ce qui allait être mis en place afin de faciliter l’accès des seniors au crédit. Afin d’appuyer sa question, celui-ci mettait en avant la qualité de vie et l’espérance sans cesse grandissante, ce qui rend légitime une demande de crédit rapide à la consommation, par exemple.

La demande augmente chez les seniors

Si les demandes représentent aujourd’hui seulement 2% chez les seniors, celles-ci sont en perpétuelle augmentation. D’après certains spécialistes, les banques prêtent d’ailleurs plus facilement aux plus de 60 ans qu’aux jeunes aux revenus irréguliers ou n’ayant pas un CDI. Effectivement, les seniors sont plus à même de séduire les banques, car il faut le savoir, plus des 3/4 des plus de 60 ans sont aujourd’hui propriétaires d’au moins un bien immobilier en France.

Mais tout n’est pas simple pour autant. Pour emprunter, les seniors doivent tout de même faire face à certaines difficultés, ce qui est aussi valable pour le rachat de crédit, mis à mal depuis quelques mois. Ainsi, l’accès au crédit se complique particulièrement à partir de 56 ou 58 ans. La retraite approchant, le pouvoir de remboursement est amené à se réduire, ce qui freine l’obtention des crédits auprès des banques et organismes spécialisés. Mais tout cela pourrait bien changer dans les mois et années à venir.

 Article La tribune, par Olivier B consultable ici

Il y a urgence à considérer ce dossier avec sérieux.

J’ai interpellé le Président de la CUGN à ce sujet, à de nombreuses reprises et cela depuis des années, mais on nous ballade !

Dans mon rôle de Maire de Tomblaine, j’ai souhaité que soient pris en considération trois sujets :

– Le permis de construire de 2003 n’a jamais été respecté complètement, la partie extérieure du stade sur l’aspect esthétique en particulier n’a jamais été réalisée.

– Les espèces de cabines rouges très laides ne servent à rien depuis de nombreuses années et l’ASNL, tout comme la ville de Tomblaine souhaitent qu’elles soient supprimées.

– Les clôtures en grillage sont également très laides et participent à créer un climat de tension aux abords du stade. Dans les stades modernes, il y a longtemps qu’on ne met plus ce genre de clôture grillagée. De plus, elles sont un véritable réceptacle pour des ordures diverses portées par le vent. Si c’est une triste image de Tomblaine que l’on veut donner là, c’est manifestement réussi. Je demande à ce que ces grillages soient démontés.

Le stade Marcel Picot est peu accessible, les spectateurs le vivent très mal, et cela génère aussi des nuisances pour les riverains. J’ai fait un certain nombre de propositions depuis plusieurs années, qui n’ont jamais été entendues. J’ai proposé depuis longtemps une rencontre de travail entre André Rossinot Président de la CUGN, propriétaire du stade, Jacques Rousselot, Président de l’ASNL et moi comme maire de la commune-siège et donc en responsabilité.

Je ne m’étendrai pas sur les commentaires agressifs et primaires du vice-président de la CUGN à mon sujet dans la presse, quand je demande seulement à ce que le maire de Tomblaine soit entendu. Il n’intéresse personne.

Par contre, je constate qu’il n’a toujours pas été donné suite à ma demande de rencontre entre A. Rossinot, Jacques Rousselot et moi. En attendant, c’est la commune de Tomblaine et ses habitants qui en subissent principalement les conséquences.

Je regrette que la CUGN continue à nier les responsabilités du Maire de Tomblaine. Je n’ai jamais demandé de réunion avec les Maires environnants, j’ai juste demandé une rencontre entre les trois responsables principaux. Mais la CUGN  tente sans cesse de contourner cette proposition en me renvoyant à des réunions qui n’aboutissent jamais et cela depuis des années. Elle associe  à ces réunions d’autres parties (d’autres maires) dans l’intention de nier la compétence du maire de la ville principalement concernée, cela rend impossible tout progrès.

Il s’agit de posture politique détestable qui nuit à l’intérêt général. On pourrait me reprocher « laisse tomber ce combat de principe, laisse les faire ! » Oui, mais ils ne font rien depuis si longtemps ! Est-ce cela la démocratie ? Aujourd’hui, ils me proposent un énième « comité de pilotage sécurité, circulation, stationnement et accessibilité » au stade Marcel Picot., qui aurait « été créé »,

Il n’a pas été porté à ma connaissance, d’ordre du jour pour ce comité de pilotage. Et je ne suis pas dupe, la manoeuvre consiste à continuer à dessaisir le Maire de Tomblaine de ses compétences. Je n’envisage pas d’y participer tant que nous n’aurons pas eu cette réunion que je demande et que les propositions que j’ai formulées de longue date, n’auront pas été étudiées, à savoir :

 – Développer des parkings à quelques centaines de mètres du stade Marcel Picot, pour que les supporters ne s’engouffrent pas à proximité du stade.

– Permettre aux entreprises que je propose depuis si longtemps, sur la plaine Flageul, de s’installer, pour mutualiser des places de stationnement nombreuses les soirs de matches.

– Organiser des navettes gratuites pour les supporters abonnés, qui pourront ainsi déposer leur véhicule, par exemple au Parc des Expositions, ces navettes étant prioritaires après les matches.

– Intensifier les transports en commun avant et après les matches, du côté Saint-Max, comme du côté Tomblaine.

C’est très clair, le maire a le pouvoir de police, donc mes propositions doivent être prises en compte. La CUGN, propriétaire du stade et compétente en matière de voiries et de déplacement, doit financer les solutions.

Sachez-le, en laissant pourrir la situation, ce sont les supporters, l’ASNL et les riverains qui continueront à en subir les conséquences.

Hervé Féron.

Il y a urgence à considérer ce dossier avec sérieux.

J’ai interpellé le Président de la CUGN à ce sujet, à de nombreuses reprises et cela depuis des années, mais on nous ballade !

Dans mon rôle de Maire de Tomblaine, j’ai souhaité que soient pris en considération trois sujets :

– Le permis de construire de 2003 n’a jamais été respecté complètement, la partie extérieure du stade sur l’aspect esthétique en particulier n’a jamais été réalisée.

– Les espèces de cabines rouges très laides ne servent à rien depuis de nombreuses années et l’ASNL, tout comme la ville de Tomblaine souhaitent qu’elles soient supprimées.

– Les clôtures en grillage sont également très laides et participent à créer un climat de tension aux abords du stade. Dans les stades modernes, il y a longtemps qu’on ne met plus ce genre de clôture grillagée. De plus, elles sont un véritable réceptacle pour des ordures diverses portées par le vent. Si c’est une triste image de Tomblaine que l’on veut donner là, c’est manifestement réussi. Je demande à ce que ces grillages soient démontés.

Le stade Marcel Picot est peu accessible, les spectateurs le vivent très mal, et cela génère aussi des nuisances pour les riverains. J’ai fait un certain nombre de propositions depuis plusieurs années, qui n’ont jamais été entendues. J’ai proposé depuis longtemps une rencontre de travail entre André Rossinot Président de la CUGN, propriétaire du stade, Jacques Rousselot, Président de l’ASNL et moi comme maire de la commune-siège et donc en responsabilité.

Je ne m’étendrai pas sur les commentaires agressifs et primaires du vice-président de la CUGN à mon sujet dans la presse, quand je demande seulement à ce que le maire de Tomblaine soit entendu. Il n’intéresse personne.

Par contre, je constate qu’il n’a toujours pas été donné suite à ma demande de rencontre entre A. Rossinot, Jacques Rousselot et moi. En attendant, c’est la commune de Tomblaine et ses habitants qui en subissent principalement les conséquences.

Je regrette que la CUGN continue à nier les responsabilités du Maire de Tomblaine. Je n’ai jamais demandé de réunion avec les Maires environnants, j’ai juste demandé une rencontre entre les trois responsables principaux. Mais la CUGN  tente sans cesse de contourner cette proposition en me renvoyant à des réunions qui n’aboutissent jamais et cela depuis des années. Elle associe  à ces réunions d’autres parties (d’autres maires) dans l’intention de nier la compétence du maire de la ville principalement concernée, cela rend impossible tout progrès.

Il s’agit de posture politique détestable qui nuit à l’intérêt général. On pourrait me reprocher « laisse tomber ce combat de principe, laisse les faire ! » Oui, mais ils ne font rien depuis si longtemps ! Est-ce cela la démocratie ? Aujourd’hui, ils me proposent un énième « comité de pilotage sécurité, circulation, stationnement et accessibilité » au stade Marcel Picot., qui aurait « été créé »,

Il n’a pas été porté à ma connaissance, d’ordre du jour pour ce comité de pilotage. Et je ne suis pas dupe, la manoeuvre consiste à continuer à dessaisir le Maire de Tomblaine de ses compétences. Je n’envisage pas d’y participer tant que nous n’aurons pas eu cette réunion que je demande et que les propositions que j’ai formulées de longue date, n’auront pas été étudiées, à savoir :

 – Développer des parkings à quelques centaines de mètres du stade Marcel Picot, pour que les supporters ne s’engouffrent pas à proximité du stade.

– Permettre aux entreprises que je propose depuis si longtemps, sur la plaine Flageul, de s’installer, pour mutualiser des places de stationnement nombreuses les soirs de matches.

– Organiser des navettes gratuites pour les supporters abonnés, qui pourront ainsi déposer leur véhicule, par exemple au Parc des Expositions, ces navettes étant prioritaires après les matches.

– Intensifier les transports en commun avant et après les matches, du côté Saint-Max, comme du côté Tomblaine.

C’est très clair, le maire a le pouvoir de police, donc mes propositions doivent être prises en compte. La CUGN, propriétaire du stade et compétente en matière de voiries et de déplacement, doit financer les solutions.

Sachez-le, en laissant pourrir la situation, ce sont les supporters, l’ASNL et les riverains qui continueront à en subir les conséquences.

Hervé Féron.