Agir pour vous et avec vous

Jour : 12 juillet 2017

Je ne serai pas présent au Conseil de Métropole du 13 juillet, parce que
les méthodes
de son Président et de sa majorité sont insupportables.

André Rossinot veut tout décider. Il a le plus grand mépris pour les
maires. Alors que
les gens votent nombreux aux élections municipales parce qu’ils ont
confiance en leur
maire, il les décrédibilise en leur confisquant leurs domaines de
compétences.
Mais il a aussi le plus grand mépris pour la minorité qui ne peut jamais
rien proposer,
il s’oppose à tout, il n’y a aucune place pour la discussion.

Avant le Conseil de Métropole du 30 juin, j’ai interpellé trois fois
André Rossinot pour lui
dire que les Conseils Municipaux devaient être réunis ce même jour pour
désigner les
grands électeurs et que nous n’aurions donc pas le temps de couvrir tout
l’ordre du jour.
Je proposais le report d’un certain nombre de délibération à début
septembre.
Mais il n’accepte jamais une proposition de l’opposition, ce
caporalisme, c’est son côté
Macronien.
Je lui avais d’ailleurs proposé de reporter le point concernant le 6ième
PLHD, qui était
un très mauvais projet de délibération. Comme d’habitude, il a fait mine
de m’écouter,
me demandant même de lui produire une note d’explication (car parfois il
ne connait
même pas le contenu des délibérations). Cette note, il ne l’a jamais
lue. Il n’a pas reporté
de délibérations à septembre, maintenant donc son Conseil.

Par contre, en cours de Conseil, il a décalé le projet de délib
concernant le PLHD, parce
que Valérie Debord était en retard (absente du Bureau, elle est arrivée
avec trois heures
de retard). En effet en son absence, personne n’était en mesure de
défendre une proposition
usine à gaz aussi absurde…
Quand celle-ci est arrivée, elle nous a fait son numéro, donnant des
leçons d’humanisme
tous azimuts avec sa légendaire nervosité. Puis lorsque nous sommes
intervenus, il n’y a
pas eu de place pour la discussion. Après, on s’étonnera que Valérie
Debord énerve les
gens…

Je reviendrai sur le fond sur cette délibération pour que le grand
public soit au courant,
qu’il sache comment est géré cette Métropole et quel avenir on lui
réserve. Elle n’a
d’autres intention de renforcer le pouvoir des Vice-Présidents de la
majorité, au détriment
de la vie des gens.

Rossinot donne raison a Debord, car son seul souci est de conserver sa
très fragile majorité,
et tous les godillots de sa « majorité » sont au garde à vous et votent
sans savoir ce qu’ils
font !

Et puis soudain, alors que javais l’impression une fois de plus de
m’être fait berné, et
que cette délibération ainsi votée allait être imposée comme un
non-choix aux communes,
André Rossinot, nous informait que le Conseil allait être écourté et
qu’un autre Conseil
serait programmé le 13 juillet ! Ainsi, en avait-il décidé. Il se prend
pour notre chef de service.
Peut-être aurait-il pu nous demander notre avis sur cette date du 13 ?
Ou bien n’avait-il
pas envie que nous y soyons trop nombreux, pour passer très vite sur des
sujets qui fâchent ?
Mais il n’avait pas prévu que la méthode irriterait dans son propre
camps et qu’il y aurait
absentéisme…

Mais la raison soudaine de cette décision vient certainement du fait que
l’heure tournait
et qu’il fallait se presser d’aller faire la Cour à Macron en visite à
Nancy, le coller aux basques
pour tenter d’apparaitre sur la photo.
A ce moment là le Conseil de Métropole perdait de son intérêt…
Mais on peut légitimement se poser la question : qui a eu l’idée
d’inviter Macron à Nancy
Henart ou Rossinot ? qui a intérêt à flatter le monarque pour tenter
d’exister nationalement,
récupérer un poste ou (re)constituer des réseaux occultes qui n’existent
plus ?

Et puis comment se fait-il que personne ne se soit ému des dépenses
pharaoniques générées
par ce déplacement du Gouvernement qui n’a servi à rien. Combien ont
couté la totalité de
ces déplacements, les services de sécurité, la cinquantaine de chambres
au Grand Hôtel de la
Reine ? Cela valait le coup d’interrompre le Conseil de Métropole pour
poser ses questions
pour des représentants du Peuple ?

Je viens d’expliquer que chaque fois qu’André Rossinot me fait croire
qu’une discussion sera
possible, il me trompe, il me ment. Pourquoi irai-je perdre mon temps à
lui assurer son quorum
quand ses godillots, eux, sont en vacances ?

Je ne serai pas présent au Conseil de Métropole du 13 juillet, parce que
les méthodes
de son Président et de sa majorité sont insupportables.

André Rossinot veut tout décider. Il a le plus grand mépris pour les
maires. Alors que
les gens votent nombreux aux élections municipales parce qu’ils ont
confiance en leur
maire, il les décrédibilise en leur confisquant leurs domaines de
compétences.
Mais il a aussi le plus grand mépris pour la minorité qui ne peut jamais
rien proposer,
il s’oppose à tout, il n’y a aucune place pour la discussion.

Avant le Conseil de Métropole du 30 juin, j’ai interpellé trois fois
André Rossinot pour lui
dire que les Conseils Municipaux devaient être réunis ce même jour pour
désigner les
grands électeurs et que nous n’aurions donc pas le temps de couvrir tout
l’ordre du jour.
Je proposais le report d’un certain nombre de délibération à début
septembre.
Mais il n’accepte jamais une proposition de l’opposition, ce
caporalisme, c’est son côté
Macronien.
Je lui avais d’ailleurs proposé de reporter le point concernant le 6ième
PLHD, qui était
un très mauvais projet de délibération. Comme d’habitude, il a fait mine
de m’écouter,
me demandant même de lui produire une note d’explication (car parfois il
ne connait
même pas le contenu des délibérations). Cette note, il ne l’a jamais
lue. Il n’a pas reporté
de délibérations à septembre, maintenant donc son Conseil.

Par contre, en cours de Conseil, il a décalé le projet de délib
concernant le PLHD, parce
que Valérie Debord était en retard (absente du Bureau, elle est arrivée
avec trois heures
de retard). En effet en son absence, personne n’était en mesure de
défendre une proposition
usine à gaz aussi absurde…
Quand celle-ci est arrivée, elle nous a fait son numéro, donnant des
leçons d’humanisme
tous azimuts avec sa légendaire nervosité. Puis lorsque nous sommes
intervenus, il n’y a
pas eu de place pour la discussion. Après, on s’étonnera que Valérie
Debord énerve les
gens…

Je reviendrai sur le fond sur cette délibération pour que le grand
public soit au courant,
qu’il sache comment est géré cette Métropole et quel avenir on lui
réserve. Elle n’a
d’autres intention de renforcer le pouvoir des Vice-Présidents de la
majorité, au détriment
de la vie des gens.

Rossinot donne raison a Debord, car son seul souci est de conserver sa
très fragile majorité,
et tous les godillots de sa « majorité » sont au garde à vous et votent
sans savoir ce qu’ils
font !

Et puis soudain, alors que javais l’impression une fois de plus de
m’être fait berné, et
que cette délibération ainsi votée allait être imposée comme un
non-choix aux communes,
André Rossinot, nous informait que le Conseil allait être écourté et
qu’un autre Conseil
serait programmé le 13 juillet ! Ainsi, en avait-il décidé. Il se prend
pour notre chef de service.
Peut-être aurait-il pu nous demander notre avis sur cette date du 13 ?
Ou bien n’avait-il
pas envie que nous y soyons trop nombreux, pour passer très vite sur des
sujets qui fâchent ?
Mais il n’avait pas prévu que la méthode irriterait dans son propre
camps et qu’il y aurait
absentéisme…

Mais la raison soudaine de cette décision vient certainement du fait que
l’heure tournait
et qu’il fallait se presser d’aller faire la Cour à Macron en visite à
Nancy, le coller aux basques
pour tenter d’apparaitre sur la photo.
A ce moment là le Conseil de Métropole perdait de son intérêt…
Mais on peut légitimement se poser la question : qui a eu l’idée
d’inviter Macron à Nancy
Henart ou Rossinot ? qui a intérêt à flatter le monarque pour tenter
d’exister nationalement,
récupérer un poste ou (re)constituer des réseaux occultes qui n’existent
plus ?

Et puis comment se fait-il que personne ne se soit ému des dépenses
pharaoniques générées
par ce déplacement du Gouvernement qui n’a servi à rien. Combien ont
couté la totalité de
ces déplacements, les services de sécurité, la cinquantaine de chambres
au Grand Hôtel de la
Reine ? Cela valait le coup d’interrompre le Conseil de Métropole pour
poser ses questions
pour des représentants du Peuple ?

Je viens d’expliquer que chaque fois qu’André Rossinot me fait croire
qu’une discussion sera
possible, il me trompe, il me ment. Pourquoi irai-je perdre mon temps à
lui assurer son quorum
quand ses godillots, eux, sont en vacances ?