Mois : février 2018 (Page 3 de 15)
Une fois n’est pas coutume, je tiens à vous faire voir cette vidéo de
Christine Angot.
Quand la télé publique arrêtera-t-elle d’utiliser nos impôts pour donner
la parole toutes les semaines à ce genre d’individus snipers professionnels ?
Christine Angot est vulgaire par la médiocrité, et la hargne dont elle a
fait son fond de commerce. Sa prétention ne lui offre qu’une vérité : la sienne. Et
sur cette base, elle ne discute pas, elle affirme, elle professe, elle sanctionne. Si imbue
d’elle même qu’elle est persuadée de détenir la raison et le savoir…
Cette fois-ci, elle s’en prend aux artistes. Peut-être, elle même,
a-t-elle rêvé un jour d’avoir du talent, et faute de mieux, a-t-elle dû se résoudre a exercer comme
elle le fait le métier qui est le sien, qui selon sa conception, consiste à sans cesse, agresser,
humilier, salir.
Mais les artistes l’emmerdent !
L’artiste est nécessaire à la société. Marcel Maréchal disait
« La représentation doit jouer de toutes les formes,
mais seule, à mon sens, la parole du poète a assez de force
et de subtilité pour, au théâtre, recréer le monde par l’imaginaire,
déjouer les pièges de l’esthétisme, donner un sens à la confusion,
dénoncer les oppressions et dire l’espoir au-delà du désespoir à la cité
rassemblée. Ainsi finit mon catéchisme, comme disait Falstaff « .
Après avoir accouché du triste sire Zemour,
la méthode de Laurent Ruquier dans sa course à
la surenchère de commerçant devient insupportable
et insupportée parce que indécente,
irrespectueuse, populiste, dangereuse.
Une fois n’est pas coutume, je tiens à vous faire voir cette vidéo de
Christine Angot.
Quand la télé publique arrêtera-t-elle d’utiliser nos impôts pour donner
la parole toutes les semaines à ce genre d’individus snipers professionnels ?
Christine Angot est vulgaire par la médiocrité, et la hargne dont elle a
fait son fond de commerce. Sa prétention ne lui offre qu’une vérité : la sienne. Et
sur cette base, elle ne discute pas, elle affirme, elle professe, elle sanctionne. Si imbue
d’elle même qu’elle est persuadée de détenir la raison et le savoir…
Cette fois-ci, elle s’en prend aux artistes. Peut-être, elle même,
a-t-elle rêvé un jour d’avoir du talent, et faute de mieux, a-t-elle dû se résoudre a exercer comme
elle le fait le métier qui est le sien, qui selon sa conception, consiste à sans cesse, agresser,
humilier, salir.
Mais les artistes l’emmerdent !
L’artiste est nécessaire à la société. Marcel Maréchal disait
« La représentation doit jouer de toutes les formes,
mais seule, à mon sens, la parole du poète a assez de force
et de subtilité pour, au théâtre, recréer le monde par l’imaginaire,
déjouer les pièges de l’esthétisme, donner un sens à la confusion,
dénoncer les oppressions et dire l’espoir au-delà du désespoir à la cité
rassemblée. Ainsi finit mon catéchisme, comme disait Falstaff « .
Après avoir accouché du triste sire Zemour,
la méthode de Laurent Ruquier dans sa course à
la surenchère de commerçant devient insupportable
et insupportée parce que indécente,
irrespectueuse, populiste, dangereuse.
Didier Lockwood fabuleux violoniste de jazz nous a quittés aujourd’hui beaucoup, beaucoup trop tôt.
À Tomblaine, à l’invitation d' »Aux Actes Citoyens », il était venu jouer plusieurs fois. On se souvient de l’extraordinaire « le jazz et la diva » qu’il interprétait avec Caroline Casadesus et qui lui avait valu une Victoire de la Musique. Plus récemment il nous avait fait partager son dernier spectacle « l’improvisible », mis en scène par Alain Sachs.
Didier Lockwood était un grand artiste, attachant dans la vie comme sur scène. J’entendrai longtemps encore le son de son violon, avec lui le jazz était divin.