Agir pour vous et avec vous

Jour : 6 mai 2018

Il fallait être là. C’était le match à ne pas manquer, tant les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont été combatives et courageuses face aux jurassiennes de Lons le Saunier en match de pré-off pour l’accession à la Nationale 2.
Avant le match, on savait que trois de leurs joueuses majeures manqueraient Caroline Mendès et Clara Mourot toutes deux blessées pour plusieurs mois et Caroline Ziegler. On était inquiet, on commençait même à faire des plans sur la comète, en cas de défaite on se disait qu’il faudrait limiter la différence au panier-average en espérant le match retour la semaine prochaine avec Caroline Ziegler qui reviendra…

Et bien, elles n’ont pas tremblé, elles ont joué juste, sobre, sérieux. Une défense rugueuse, une équipe homogène, on sent que dans cette équipe, il y a une bonne ambiance, les filles s’entendent parfaitement sur le terrain comme en dehors. Alors, elles sont solidaires, ça s’appelle « faire équipe ».
Un détail qui ne trompe pas : les deux blessées de la semaine dernière étaient sur le banc pour encourager leurs co-équipières !

Caroline Rouyer (décidément, une Caroline de perdue, dix de retrouvées !) a fait un match énorme et toutes les joueuses méritent d’être félicitées, avec une petite satisfaction supplémentaire : une deuxième Marion tomblainoise et formée au club, après Marion Rambaut, la jeune Marion Guenaire a fait son apparition dans le groupe. Ce club a vraiment de belles ressources.
Ainsi, pourtant affaiblies, les tomblainoises ont dominé pendant tout le match et  déroulaient leur jeu sérieusement dans une partie qui restait âprement disputée ; elles menaient à chaque quart temps : 15-7/ 30-21/ 42-36/ pour finalement l’emporter 58 à 47. Un bel exploit et tout en soignant la différence de points au panier-average. Toute l’équipe s’empressait d’aller embrasser Caroline Mendes et Clara Mourot, leurs deux blessées.

Merci à ceux qui se sont déplacés, merci à Momo qui avait peu dormi, mais même les yeux cernés, il a dirigé en maestro les tambours de la batucada de Tomblaine ! 

Merci aux jeunes filles de Tomblaine-Danse pour leur intervention à la mi-temps.

L’ASPTT Nancy-Tomblaine, en attendant des travaux de rénovation dans le gymnase du COSEC reste invaincue depuis deux ans à domicile, elle est aujourd’hui en tête de ces play-off. 
La situation est la suivante : 
– Tomblaine- Gravelines une victoire chacune (mais Tomblaine a un meilleur panier-average).
– Tomblaine- Haguenau = 1 victoire de Tomblaine (+10 points)
– Tomblaine-Lons le Saunier = 1 victoire pour Tomblaine (+11 points)
– Lons le Saunier- Gravelines = 1victoire de Gravelines
– Haguenau-Gravelines = 1 victoire de Gravelines.
En cas d’égalité avec Gravelines, Nancy-Tomblaine a l’avantage.
Alors, pourquoi ne pas rêver, si les tomblainoises terminent premières, elles joueront les finales du championnat de France les 26 et 27 mai…
Pas mal, non ?
Il semble évident que tout se jouera dimanche prochain à Lons le Saunier. La Ville de Tomblaine met un bus à disposition de 67 places pour les joueuses et les supporters, il reste une quinzaine de places disponibles.
Il est indispensable de s’inscrire au préalable au 0630650278 rambaut-olivier@orange.fr
Le déplacement est gratuit (repas « tiré du sac »), départ Place des Arts à Tomblaine dimanche 13 mai à 9h30. Retour vers 22h.

…. Et même qu’on a bien cru que les joueuses allaient danser à la fin !…

Il fallait être là. C’était le match à ne pas manquer, tant les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont été combatives et courageuses face aux jurassiennes de Lons le Saunier en match de pré-off pour l’accession à la Nationale 2.
Avant le match, on savait que trois de leurs joueuses majeures manqueraient Caroline Mendès et Clara Mourot toutes deux blessées pour plusieurs mois et Caroline Ziegler. On était inquiet, on commençait même à faire des plans sur la comète, en cas de défaite on se disait qu’il faudrait limiter la différence au panier-average en espérant le match retour la semaine prochaine avec Caroline Ziegler qui reviendra…

Et bien, elles n’ont pas tremblé, elles ont joué juste, sobre, sérieux. Une défense rugueuse, une équipe homogène, on sent que dans cette équipe, il y a une bonne ambiance, les filles s’entendent parfaitement sur le terrain comme en dehors. Alors, elles sont solidaires, ça s’appelle « faire équipe ».
Un détail qui ne trompe pas : les deux blessées de la semaine dernière étaient sur le banc pour encourager leurs co-équipières !

Caroline Rouyer (décidément, une Caroline de perdue, dix de retrouvées !) a fait un match énorme et toutes les joueuses méritent d’être félicitées, avec une petite satisfaction supplémentaire : une deuxième Marion tomblainoise et formée au club, après Marion Rambaut, la jeune Marion Guenaire a fait son apparition dans le groupe. Ce club a vraiment de belles ressources.
Ainsi, pourtant affaiblies, les tomblainoises ont dominé pendant tout le match et  déroulaient leur jeu sérieusement dans une partie qui restait âprement disputée ; elles menaient à chaque quart temps : 15-7/ 30-21/ 42-36/ pour finalement l’emporter 58 à 47. Un bel exploit et tout en soignant la différence de points au panier-average. Toute l’équipe s’empressait d’aller embrasser Caroline Mendes et Clara Mourot, leurs deux blessées.

Merci à ceux qui se sont déplacés, merci à Momo qui avait peu dormi, mais même les yeux cernés, il a dirigé en maestro les tambours de la batucada de Tomblaine ! 

Merci aux jeunes filles de Tomblaine-Danse pour leur intervention à la mi-temps.

L’ASPTT Nancy-Tomblaine, en attendant des travaux de rénovation dans le gymnase du COSEC reste invaincue depuis deux ans à domicile, elle est aujourd’hui en tête de ces play-off. 
La situation est la suivante : 
– Tomblaine- Gravelines une victoire chacune (mais Tomblaine a un meilleur panier-average).
– Tomblaine- Haguenau = 1 victoire de Tomblaine (+10 points)
– Tomblaine-Lons le Saunier = 1 victoire pour Tomblaine (+11 points)
– Lons le Saunier- Gravelines = 1victoire de Gravelines
– Haguenau-Gravelines = 1 victoire de Gravelines.
En cas d’égalité avec Gravelines, Nancy-Tomblaine a l’avantage.
Alors, pourquoi ne pas rêver, si les tomblainoises terminent premières, elles joueront les finales du championnat de France les 26 et 27 mai…
Pas mal, non ?
Il semble évident que tout se jouera dimanche prochain à Lons le Saunier. La Ville de Tomblaine met un bus à disposition de 67 places pour les joueuses et les supporters, il reste une quinzaine de places disponibles.
Il est indispensable de s’inscrire au préalable au 0630650278 rambaut-olivier@orange.fr
Le déplacement est gratuit (repas « tiré du sac »), départ Place des Arts à Tomblaine dimanche 13 mai à 9h30. Retour vers 22h.

…. Et même qu’on a bien cru que les joueuses allaient danser à la fin !…

Un très bel article dans la presse hier vante le projet de la « Prairie de la Méchelle » qui, à Nancy (ville), permettra prochainement une belle zone de loisirs accessible à tous et entièrement financée par le Grand Nancy (Métropole). Très bien, il faut s’en réjouir.

Pour être complet et que vous disposiez de toutes les informations, il faut savoir que le plan d’eau de la Méchelle, appelé communément « Etang de la Méchelle » est bordé d’un côté par la Ville de Nancy et de l’autre par la Ville de Tomblaine. Et si l’on compare donc les investissements et les aménagements de l’intercommunalité d’un côté à l’autre on peut facilement faire comparaison et constater la différence de traitement de la part du Grand Nancy vis à vis des deux villes.
Depuis de nombreuses années, j’ai proposé des aménagements de la rive de la Meurthe côté Tomblaine pour organiser une continuité naturelle depuis les îles du Foulon et de l’Encensoir jusqu’à l’Etang de la Méchelle. Documents à l’appui, j’ai proposé à André Rossinot la création d’un parcours pédagogique autour des énergies propres valorisant ainsi l’usine de production hydroélectrique en sortie de l’île de l’Encensoir  jusqu’à la création d’un jardin du vent au bord de l’Etang de la Méchelle (en croisant le savoir-faire d’étudiants de l’Université de Lorraine, d’artistes plasticiens, mais aussi de la station Régionale de Météo-France basée à Tomblaine). Je proposais aussi l’aménagement de quelques parcelles de jardins potagers bio qui auraient été entretenus et exploités par les enfants des écoles, encadrés par les services municipaux des espaces verts de Tomblaine. Il s’agissait d’organiser la complémentarité de l’aspect naturel en bord de Meurthe avec les besoins du Stade Marcel Picot en y retrouvant fonctionnalité et esthétisme.
C’était un projet peu coûteux, intelligent, écologique et pédagogique. Je n’ai reçu aucune réponse d’André Rossinot.

Il y a eu aussi de nombreuses véléités de la part d’associations (et en particulier le Canoé-kayak Club de Nancy-Tomblaine) d’installer et d’animer une plage durant chaque été au bord de la Méchelle côté Tomblaine. Je soutenais ce projet, le Grand Nancy leur a répondu « pourquoi pas, mais ailleurs… pas à Tomblaine ». Il faut se souvenir que historiquement ce club était basé à Tomblaine et que la Ville de Tomblaine l’a toujours soutenu. Le Grand Nancy ayant préféré installer et financer le Centre nautique du côté Nancy, le club continue à avoir des attaches fortes du côté Tomblaine…
Et puis il y a le projet de développement de la Plaine de la Méchelle côté Tomblaine qui avait été convenu (promesse d’André Rossinot et de sa majorité) pour permettre d’associer les besoins de l’ASNL autour du stade Marcel Picot à Tomblaine à la nécessité de conserver un aspect naturel et de promenade aux bords de la Meurthe…
Le Grand Nancy s’est approprié tous ces terrains sur Tomblaine via l’EPFL et… n’a rien fait. Pire encore en devenant propriétaire de ces terrains il a empêché la Ville de Tomblaine d’engager toute initiative.
Le résultat, c’est quoi ? Une zone à l’abandon, des parkings de l’ASNL laids et pas fonctionnels, des difficultés de stationnement et de circulation croissantes, des rives de Meurthe non entretenues, des grillages horribles pour border le stade et des cahutes rouges qui ne servent plus depuis 20 ans en exposition le long du boulevard Jean Jaurès. Le club, tout comme le Maire de Tomblaine, demande depuis 15 ans que ce grillage inhospitalier soit remplacé et que ces cahutes soient rasées. Cet univers si dégradé favorise l’agressivité de ceux qui souhaitent provoquer de la violence à l’occasion de matches…
Je vous invite aussi à vous arrêter à l’endroit du stade et à observer sa façade voulue en béton brut à l’époque par l’architecte et par le Grand Nancy (sans aucune concertation avec la Ville de Tomblaine). Cette façade n’a jamais été entretenue, aujourd’hui elle est laide, sale et dégradée. C’est un irrespect permanent qui est fait là au club ASNL, à la Ville de Tomblaine et à ses habitants.

De l’autre côté de la route, le Grand Nancy a missionné l’EPFL pour acheter toutes les propriétés (et ainsi geler tout projet que la Ville de Tomblaine souhaiterait voir mener à bien).
Les habitants ont été « pressés »de quitter leurs maisons. Et depuis plusieurs années, tout est arrêté, il ne se passe rien, la zone est à l’abandon. Les maisons sont murées, squattées, le Grand Nancy ne fait rien pour Tomblaine. Les riverains sont révoltés et ils ont raison.
J’ai interpellé André Rossinot sur cette situation cet hiver en période de grand très froid, tant j’étais inquiet pour la sécurité des squatters eux-mêmes. Je n’ai reçu aucune réponse ! Silence et mépris.
La Préfecture de Meurthe et Moselle s’est emparé sérieusement du problème et il m’est annoncé que ces maisons abandonnées seront probablement rasées en mai-juin par l’EPFL. Pour moi, c’est important, car le Grand Nancy irresponsable, dans son approche sectaire des choix d’aménagement, a créé ici un secteur où sont concentrés danger, insécurité, insalubrité permanents. Alors que nous sommes à proximité de la cité scolaire que fréquentent 3000 élèves chaque jour, à proximité aussi de lieux de grosses manifestations fréquentes : ASNL, Meeting Stanislas d’athlétisme, les courses populaires, semi-marathon, etc (même si le Grand Nancy continue à annoncer ces manifestations comme si elles avaient lieu à Nancy, elles ont toutes lieu à Tomblaine).
Mais voilà, tout ça se passe à Tomblaine et quand le Maire de Nancy souhaite organiser son feu d’artifice sur l’Etang de la Méchelle, il se trouve en partie sur le territoire de la Ville de Tomblaine et il est dans l’obligation de demander la permission chaque année au Maire de Tomblaine. J’ai donné chaque année cette autorisation. Mais, cette année, j’ai écrit au Maire de Nancy que si ces maisons à l’abandon ne sont pas rasées, avant juillet, je considérerai que le danger et l’insalubrité sont toujours de fait, je n’autoriserai pas ce feu d’artifice  et je m’y opposerai.
Et si c’est le cas, je le ferai.
Je suis désolé, mais dans ces conditions honteuses d’irrespect des notables puissants du Grand Nancy envers les riverains et les utilisateurs de ces équipements publics, je me bats comme je peux. Et il me semble que dans le contexte de plan Vigipirate permanent, j’aurai gain de cause.
Par ce long article, je voulais juste vous inviter à comparer ce que le Grand Nancy fait avec vos impôts du côté Nancy : moyens conséquents et du côté Tomblaine : politique abandonnique.

Sectarisme ? Petits arrangements entre amis ?
Clanisme ? Inégalité de traitement ? Irresponsabilité par discrimination ? Je vous invite à être juges et à rayer vous-mêmes les mentions qui vous sembleraient inappropriées.
Ce que je dénonce depuis si longtemps c’est le mode de gouvernance de la Métropole. Dès que la presse voudra en parler pour vous informer, je serai disponible…
Hervé Féron.
Maire de Tomblaine.

Un très bel article dans la presse hier vante le projet de la « Prairie de la Méchelle » qui, à Nancy (ville), permettra prochainement une belle zone de loisirs accessible à tous et entièrement financée par le Grand Nancy (Métropole). Très bien, il faut s’en réjouir.

Pour être complet et que vous disposiez de toutes les informations, il faut savoir que le plan d’eau de la Méchelle, appelé communément « Etang de la Méchelle » est bordé d’un côté par la Ville de Nancy et de l’autre par la Ville de Tomblaine. Et si l’on compare donc les investissements et les aménagements de l’intercommunalité d’un côté à l’autre on peut facilement faire comparaison et constater la différence de traitement de la part du Grand Nancy vis à vis des deux villes.
Depuis de nombreuses années, j’ai proposé des aménagements de la rive de la Meurthe côté Tomblaine pour organiser une continuité naturelle depuis les îles du Foulon et de l’Encensoir jusqu’à l’Etang de la Méchelle. Documents à l’appui, j’ai proposé à André Rossinot la création d’un parcours pédagogique autour des énergies propres valorisant ainsi l’usine de production hydroélectrique en sortie de l’île de l’Encensoir  jusqu’à la création d’un jardin du vent au bord de l’Etang de la Méchelle (en croisant le savoir-faire d’étudiants de l’Université de Lorraine, d’artistes plasticiens, mais aussi de la station Régionale de Météo-France basée à Tomblaine). Je proposais aussi l’aménagement de quelques parcelles de jardins potagers bio qui auraient été entretenus et exploités par les enfants des écoles, encadrés par les services municipaux des espaces verts de Tomblaine. Il s’agissait d’organiser la complémentarité de l’aspect naturel en bord de Meurthe avec les besoins du Stade Marcel Picot en y retrouvant fonctionnalité et esthétisme.
C’était un projet peu coûteux, intelligent, écologique et pédagogique. Je n’ai reçu aucune réponse d’André Rossinot.

Il y a eu aussi de nombreuses véléités de la part d’associations (et en particulier le Canoé-kayak Club de Nancy-Tomblaine) d’installer et d’animer une plage durant chaque été au bord de la Méchelle côté Tomblaine. Je soutenais ce projet, le Grand Nancy leur a répondu « pourquoi pas, mais ailleurs… pas à Tomblaine ». Il faut se souvenir que historiquement ce club était basé à Tomblaine et que la Ville de Tomblaine l’a toujours soutenu. Le Grand Nancy ayant préféré installer et financer le Centre nautique du côté Nancy, le club continue à avoir des attaches fortes du côté Tomblaine…
Et puis il y a le projet de développement de la Plaine de la Méchelle côté Tomblaine qui avait été convenu (promesse d’André Rossinot et de sa majorité) pour permettre d’associer les besoins de l’ASNL autour du stade Marcel Picot à Tomblaine à la nécessité de conserver un aspect naturel et de promenade aux bords de la Meurthe…
Le Grand Nancy s’est approprié tous ces terrains sur Tomblaine via l’EPFL et… n’a rien fait. Pire encore en devenant propriétaire de ces terrains il a empêché la Ville de Tomblaine d’engager toute initiative.
Le résultat, c’est quoi ? Une zone à l’abandon, des parkings de l’ASNL laids et pas fonctionnels, des difficultés de stationnement et de circulation croissantes, des rives de Meurthe non entretenues, des grillages horribles pour border le stade et des cahutes rouges qui ne servent plus depuis 20 ans en exposition le long du boulevard Jean Jaurès. Le club, tout comme le Maire de Tomblaine, demande depuis 15 ans que ce grillage inhospitalier soit remplacé et que ces cahutes soient rasées. Cet univers si dégradé favorise l’agressivité de ceux qui souhaitent provoquer de la violence à l’occasion de matches…
Je vous invite aussi à vous arrêter à l’endroit du stade et à observer sa façade voulue en béton brut à l’époque par l’architecte et par le Grand Nancy (sans aucune concertation avec la Ville de Tomblaine). Cette façade n’a jamais été entretenue, aujourd’hui elle est laide, sale et dégradée. C’est un irrespect permanent qui est fait là au club ASNL, à la Ville de Tomblaine et à ses habitants.

De l’autre côté de la route, le Grand Nancy a missionné l’EPFL pour acheter toutes les propriétés (et ainsi geler tout projet que la Ville de Tomblaine souhaiterait voir mener à bien).
Les habitants ont été « pressés »de quitter leurs maisons. Et depuis plusieurs années, tout est arrêté, il ne se passe rien, la zone est à l’abandon. Les maisons sont murées, squattées, le Grand Nancy ne fait rien pour Tomblaine. Les riverains sont révoltés et ils ont raison.
J’ai interpellé André Rossinot sur cette situation cet hiver en période de grand très froid, tant j’étais inquiet pour la sécurité des squatters eux-mêmes. Je n’ai reçu aucune réponse ! Silence et mépris.
La Préfecture de Meurthe et Moselle s’est emparé sérieusement du problème et il m’est annoncé que ces maisons abandonnées seront probablement rasées en mai-juin par l’EPFL. Pour moi, c’est important, car le Grand Nancy irresponsable, dans son approche sectaire des choix d’aménagement, a créé ici un secteur où sont concentrés danger, insécurité, insalubrité permanents. Alors que nous sommes à proximité de la cité scolaire que fréquentent 3000 élèves chaque jour, à proximité aussi de lieux de grosses manifestations fréquentes : ASNL, Meeting Stanislas d’athlétisme, les courses populaires, semi-marathon, etc (même si le Grand Nancy continue à annoncer ces manifestations comme si elles avaient lieu à Nancy, elles ont toutes lieu à Tomblaine).
Mais voilà, tout ça se passe à Tomblaine et quand le Maire de Nancy souhaite organiser son feu d’artifice sur l’Etang de la Méchelle, il se trouve en partie sur le territoire de la Ville de Tomblaine et il est dans l’obligation de demander la permission chaque année au Maire de Tomblaine. J’ai donné chaque année cette autorisation. Mais, cette année, j’ai écrit au Maire de Nancy que si ces maisons à l’abandon ne sont pas rasées, avant juillet, je considérerai que le danger et l’insalubrité sont toujours de fait, je n’autoriserai pas ce feu d’artifice  et je m’y opposerai.
Et si c’est le cas, je le ferai.
Je suis désolé, mais dans ces conditions honteuses d’irrespect des notables puissants du Grand Nancy envers les riverains et les utilisateurs de ces équipements publics, je me bats comme je peux. Et il me semble que dans le contexte de plan Vigipirate permanent, j’aurai gain de cause.
Par ce long article, je voulais juste vous inviter à comparer ce que le Grand Nancy fait avec vos impôts du côté Nancy : moyens conséquents et du côté Tomblaine : politique abandonnique.

Sectarisme ? Petits arrangements entre amis ?
Clanisme ? Inégalité de traitement ? Irresponsabilité par discrimination ? Je vous invite à être juges et à rayer vous-mêmes les mentions qui vous sembleraient inappropriées.
Ce que je dénonce depuis si longtemps c’est le mode de gouvernance de la Métropole. Dès que la presse voudra en parler pour vous informer, je serai disponible…
Hervé Féron.
Maire de Tomblaine.