Agir pour vous et avec vous

Mois : juin 2018 (Page 7 de 20)

Après m’être échappé de ce Conseil de métropole aseptisé, j’avais besoin de m’oxygéner.

Quel bonheur, quelle bouffée d’oxygène que de me retrouver ausitôt à l’Espace Jean Jaurès pour assister au spectacle de fin d’année de l’école maternelle Jules Ferry dont le directeur est Stephen Singer !
Des parents nombreux, des enfants craquants, mis en valeur par le travail des enseignants. Superbe spectacle en présence d’Alexandre Huet et de Christiane Defaux, adjoints au Maire.

Et puis, dans la foulée, je suis allé rejoindre d’autres  adjoints au Maire ( je suis très fier de mon équipe municipale à Tomblaine, qui est proche des habitants et omniprésente sur le terrain) Jean-Pierre Laurency, Jean-Claude Dumas et Hinde Magada, rue Clara Malraux.
À l’invitation de Virginie Pilois, c’était un nouveau repas de voisins, très agréable dans ce quartier encore nouveau, mais qui vit bien.
J’adore ces moments de rencontres, sereins, qui permettent toujours d’apprendre à se connaitre.

 
 
Après m’être échappé de ce Conseil de métropole aseptisé, j’avais besoin de m’oxygéner.

Quel bonheur, quelle bouffée d’oxygène que de me retrouver ausitôt à l’Espace Jean Jaurès pour assister au spectacle de fin d’année de l’école maternelle Jules Ferry dont le directeur est Stephen Singer !
Des parents nombreux, des enfants craquants, mis en valeur par le travail des enseignants. Superbe spectacle en présence d’Alexandre Huet et de Christiane Defaux, adjoints au Maire.

Et puis, dans la foulée, je suis allé rejoindre d’autres  adjoints au Maire ( je suis très fier de mon équipe municipale à Tomblaine, qui est proche des habitants et omniprésente sur le terrain) Jean-Pierre Laurency, Jean-Claude Dumas et Hinde Magada, rue Clara Malraux.
À l’invitation de Virginie Pilois, c’était un nouveau repas de voisins, très agréable dans ce quartier encore nouveau, mais qui vit bien.
J’adore ces moments de rencontres, sereins, qui permettent toujours d’apprendre à se connaitre.

 
 

Conseil de Métropole assez peu fréquenté donc et particulièrement soporifique.

On sent que, progressivement, Rossinot dans sa stratégie néo-macronienne, asphyxie les communes qu’il rêve un jour de dissoudre sous prétexte de les fusionner, pour mieux les vampiriser.
Cela commence par des interprétations abusives de la loi (la répartition des logements sociaux sur les territoires de nos communes a été abandonnée à V. Debord (et les maires de gauche l’ont votée !), l’intercommunalité va reprendre conformément à la loi le règlement de publicité, mais il essaiera de prendre au passage aux Communes leurs recettes. Cela continue par ces sempiternelles propositions de mutualisations qui chaque fois lui donne plus de pouvoir, et lèsent les Communes et financièrement et dans leur pouvoir d’agir.

Les maires ont peur de lui et espèrent toujours  plaire au roi pour moins subir… En ce moment, il signe des contrats avec la Grande Région et avec l’Etat…
Pour la Région, cela exclue les Communes, puisque, pour cette contractualisation, c’est le Grand Nancy, donc Rossinot dans sa toute puissance qui est l’interlocuteur de la Région. 
Cela s’appelle « Contrat de partenariat métropolitain entre la Région Grand Est, la Métropole du Grand Nancy et la Ville de Nancy » (c’est beau la poésie !)
Il met dans ce contrat ce qu’il veut et uniquement ce qu’il veut. Il y met par exemple le Grand Nancy thermal, dont on sait que le dérapage financier sera abyssal, que le projet sur le fond (car il touche le fond) n’est pas bon, que les nancéiens pétitionnent contre la fermeture de la piscine Louison Bobet… nous n’avons pas obtenu le débat que nous demandions, le dérapage n’a pas été ni présenté en Conseil de Métropole, ni voté. 

Et bien il le met quand même dans le contrat avec la Région ! Et après, il nous dira que nous nous sommes engagés sur ce projet puisqu’il était dans le contrat de partenariat !
Et puis comme les Communes n’ont rien a dire, on ne trouve pas dans ce contrat ce que nous aurions aimé que la Région soutienne (nos projets communaux ou à défaut les projets sur nos communes que Rossinot s’est appropriés, pour qu’ils n’aboutissent pas).
Cela s’appelle la dissolution progressive des Communes (pour la démocratie, c’est trop tard, c’est déjà fait).
Cette fois-ci, c’est Didier Sartelet Maire de Heillecourt et surtout Vice-Président de Rossinot, qui courageux a fait savoir qu’il ne s’y retrouvait pas. Il n’a donc pas voté ce Contrat, en annonçant que Garcia (absent) ne le voterait pas non plus (ça, on a l’habitude qu’il ne vote pas…)
La Gauche a été un peu plus courageuse et plus cohérente qu’elle ne l’avait été sur le sujet de la Ligne numéro 1 du tram (il faut dire qu’elle était peu présente), elle n’a pas voté non plus cette délibération.
Et d’ailleurs à propos de cette ligne 1 du tram, rappelez-vous ce que j’avais dit : « Rossinot nous mène en bateau… il ne s’engage pas à faire cette ligne d’une manière ou d’une autre… il ne dit pas comment il va la financer… je vous donne rendez-vous au mois de décembre prochain, puisqu’il nous recolle des études coûteuses, vous verrez qu’en décembre, il nous dira que ce n’est pas possible ou alors, il nous renverra encore à de nouvelles études ». 
J’avais donné rendez vous au mois de décembre… et bien c’est hallucinant, mais Rossinot, dans ses commentaires oiseux au sujet de cette délibération, a dit, sans vergogne, « nous n’avons pas mis la ligne numéro 1 du tram dans ce contrat, car pour l’instant nous n’avons rien décidé, nous ne savons pas encore comment nous allons la financer… »
Nous n’aurons donc pas eu à attendre le mois de décembre. Je pense que tous ceux qui l’ont laissé faire et qui ne se sont pas opposés à cette délibération de mascarade au mois de mai ne doivent pas être très fiers d’eux.

Et puis il y a eu  la délibération 19 dans laquelle Rossinot nous propose (ou nous impose) la contractualisation financière avec l’Etat (la contractualisation Macron). C’est le sénateur Husson qui a pris la parole pour défendre les Communes et dire ce que nous disons depuis le début. Les communes ont assez payé la note, elles n’en peuvent plus. Et signer ce contrat signifie une régression, c’est la décentralisation qui est remise en cause, c’est donner tous les pouvoirs à l’Etat via le Préfet. Là encore on vend la peau des Communes.
Moi, je dis « contractualisation Macron-piège à cons ! » Rossinot, c’est le Bourgeois de Calais du Grand Nancy. On va lui acheter une chemise et lui donner les clés de nos Communes qu’il ira déposer aux pieds de Macron.
Le sénateur de droite n’a donc pas voté cette délibération (d’autres élus de droite non plus) et la Gauche a voté contre.

Rossinot est balloté, c’est ballot. Mais, les dégâts d’ores et déjà sont considérables, quand on se réveillera, ce sera trop tard.

Conseil de Métropole assez peu fréquenté donc et particulièrement soporifique.

On sent que, progressivement, Rossinot dans sa stratégie néo-macronienne, asphyxie les communes qu’il rêve un jour de dissoudre sous prétexte de les fusionner, pour mieux les vampiriser.
Cela commence par des interprétations abusives de la loi (la répartition des logements sociaux sur les territoires de nos communes a été abandonnée à V. Debord (et les maires de gauche l’ont votée !), l’intercommunalité va reprendre conformément à la loi le règlement de publicité, mais il essaiera de prendre au passage aux Communes leurs recettes. Cela continue par ces sempiternelles propositions de mutualisations qui chaque fois lui donne plus de pouvoir, et lèsent les Communes et financièrement et dans leur pouvoir d’agir.

Les maires ont peur de lui et espèrent toujours  plaire au roi pour moins subir… En ce moment, il signe des contrats avec la Grande Région et avec l’Etat…
Pour la Région, cela exclue les Communes, puisque, pour cette contractualisation, c’est le Grand Nancy, donc Rossinot dans sa toute puissance qui est l’interlocuteur de la Région. 
Cela s’appelle « Contrat de partenariat métropolitain entre la Région Grand Est, la Métropole du Grand Nancy et la Ville de Nancy » (c’est beau la poésie !)
Il met dans ce contrat ce qu’il veut et uniquement ce qu’il veut. Il y met par exemple le Grand Nancy thermal, dont on sait que le dérapage financier sera abyssal, que le projet sur le fond (car il touche le fond) n’est pas bon, que les nancéiens pétitionnent contre la fermeture de la piscine Louison Bobet… nous n’avons pas obtenu le débat que nous demandions, le dérapage n’a pas été ni présenté en Conseil de Métropole, ni voté. 

Et bien il le met quand même dans le contrat avec la Région ! Et après, il nous dira que nous nous sommes engagés sur ce projet puisqu’il était dans le contrat de partenariat !
Et puis comme les Communes n’ont rien a dire, on ne trouve pas dans ce contrat ce que nous aurions aimé que la Région soutienne (nos projets communaux ou à défaut les projets sur nos communes que Rossinot s’est appropriés, pour qu’ils n’aboutissent pas).
Cela s’appelle la dissolution progressive des Communes (pour la démocratie, c’est trop tard, c’est déjà fait).
Cette fois-ci, c’est Didier Sartelet Maire de Heillecourt et surtout Vice-Président de Rossinot, qui courageux a fait savoir qu’il ne s’y retrouvait pas. Il n’a donc pas voté ce Contrat, en annonçant que Garcia (absent) ne le voterait pas non plus (ça, on a l’habitude qu’il ne vote pas…)
La Gauche a été un peu plus courageuse et plus cohérente qu’elle ne l’avait été sur le sujet de la Ligne numéro 1 du tram (il faut dire qu’elle était peu présente), elle n’a pas voté non plus cette délibération.
Et d’ailleurs à propos de cette ligne 1 du tram, rappelez-vous ce que j’avais dit : « Rossinot nous mène en bateau… il ne s’engage pas à faire cette ligne d’une manière ou d’une autre… il ne dit pas comment il va la financer… je vous donne rendez-vous au mois de décembre prochain, puisqu’il nous recolle des études coûteuses, vous verrez qu’en décembre, il nous dira que ce n’est pas possible ou alors, il nous renverra encore à de nouvelles études ». 
J’avais donné rendez vous au mois de décembre… et bien c’est hallucinant, mais Rossinot, dans ses commentaires oiseux au sujet de cette délibération, a dit, sans vergogne, « nous n’avons pas mis la ligne numéro 1 du tram dans ce contrat, car pour l’instant nous n’avons rien décidé, nous ne savons pas encore comment nous allons la financer… »
Nous n’aurons donc pas eu à attendre le mois de décembre. Je pense que tous ceux qui l’ont laissé faire et qui ne se sont pas opposés à cette délibération de mascarade au mois de mai ne doivent pas être très fiers d’eux.

Et puis il y a eu  la délibération 19 dans laquelle Rossinot nous propose (ou nous impose) la contractualisation financière avec l’Etat (la contractualisation Macron). C’est le sénateur Husson qui a pris la parole pour défendre les Communes et dire ce que nous disons depuis le début. Les communes ont assez payé la note, elles n’en peuvent plus. Et signer ce contrat signifie une régression, c’est la décentralisation qui est remise en cause, c’est donner tous les pouvoirs à l’Etat via le Préfet. Là encore on vend la peau des Communes.
Moi, je dis « contractualisation Macron-piège à cons ! » Rossinot, c’est le Bourgeois de Calais du Grand Nancy. On va lui acheter une chemise et lui donner les clés de nos Communes qu’il ira déposer aux pieds de Macron.
Le sénateur de droite n’a donc pas voté cette délibération (d’autres élus de droite non plus) et la Gauche a voté contre.

Rossinot est balloté, c’est ballot. Mais, les dégâts d’ores et déjà sont considérables, quand on se réveillera, ce sera trop tard.

Lors de l’avant-dernier Conseil de Métropole, André Rossinot avait réalisé une première en matière de démocratie. Alors que Stéphane Hablot avait quitté la séance sans donner de pouvoir à qui que ce soit, il avait considéré (et sans honte, à voix haute) que Stéphane Hablot avait voté « pour »… 
Inédit, consternant, mais cela n’a ému personne. Décidément cette assemblée, systématiquement suiviste, paraît complètement anesthésiée…

Aujourd’hui, je ne suis pas sûr du tout que le quorum du Bureau de Métropole était atteint, tant les sièges étaient vides… Mais le Bureau s’est tenu quand même …
Et puis a eu lieu le Conseil de Métropole, les rangs étaient tout aussi clairsemés avec 44 présents (sur 80 ! ) et en plus, le Président se permet de faire une plaisanterie déplacée à mon endroit, insinuant que je ne suis pas assez présent ! 
Il ferait mieux de s’interroger sur l’exercice de la démocratie dans cette Métropole… Et sur les raisons pour lesquelles les Conseillers viennent aussi peu (et de moins en moins) : les grand-messes, que sont ces Conseils de Métropole, sont imbuvables, inintéressants, interminables, abrutissants. Bavardage, bavardage, bavardage.
L’autocratie est la seule règle pour des décisions qui ne tiennent jamais compte des contributions des Conseillers Métropolitains.
On pourrait dire que ça sent la fin de règne, mais elle est interminable cette fin de règne…

Et aujourd’hui, le Président égrène la très longue liste des pouvoirs que les absents sont censés avoir attribués et signés…
Lui a le pouvoir de V. Debord, absente… Et il annonce que Daniel Magron donne son pouvoir à Jean-Pierre Hurpeau. Là, on entend Jean-Pierre Hurpeau prendre la parole pour dire qu’il y a une erreur car il a déjà un autre pouvoir… Celui du député Garcia (décidément, celui-là il est absent de partout : 16% de participations aux votes à l’Assemblée… Que fait-il de ses journées et de ses indemnités ?) Déjà, c’est un évènement que Jean-Pierre Hurpeau prenne la parole dans cette assemblée et de plus se permette de contredire le Président ! Chacun aura compris que personne ne lui a demandé son avis, le cabinet d’André Rossinot a distribué les pouvoirs des élus sans leur demander leur avis (on croit rêver !)
Alors André Rossinot déclare qu’il va donc prendre ce pouvoir. Je lui rappelle qu’il a déjà celui de V. Debord et qu’il ne peut pas cumuler… 
Pas de problème, il attribue le pouvoir de Daniel Magron (sans lui demander son avis, puisqu’il est absent et sans qu’il ait signé quoi que ce soit) à un autre Conseiller.
Devant tout le monde et sans honte.
La Métropole est un univers incroyable, cela ne se produit qu’ici !

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