Agir pour vous et avec vous

Jour : 18 août 2018

Vous avez peut-être remarqué que depuis une semaine, j’ai très peu écrit sur mon site herveferon.fr et sur facebook. Je n’avais pas envie. Par respect pour la peine que nous partageons avec Jean-Claude Dumas et sa famille, ou bien par pudeur, tant tout autre sujet peut paraitre futile quand une amie nous a quittés…
Danielle est partie très vite, trop vite, à l’âge de l’injustice pour mourir. Saloperie de maladie.

Je crois que tous ceux qui l’on connue se souviendront de son regard pétillant qu’accompagnait ce petit sourire. Car Danielle était pleine de vie, positive, elle aimait les gens et les gens l’aimaient. Le témoignage de son petit-fils montre combien elle comptait dans cette famille unie « une grand-mère parfaite avec deux facettes : d’abord la grand-mère parfaite. Aimante, bienveillante, qui nous a recueillis quand nous en avions besoin.
Et puis son côté rebelle, quand elle avait fait un tour en harley davidson avec les bikers (En Voiture Simone au festival « Aux Actes Citoyens »), quand elle a fait sa première « expérience psychadélique » avec nous dans les Vosges, ou encore… je ne vous dis pas les noms d’oiseaux qu’elle était capable de crier quand un arbitre sifflait une faute contre l’ASNL !…) »

Et nous tous, ça nous ramène à nos souvenirs présents, vivants, on la revoit, on se souvient de sa gentillesse, sa finesse d’esprit, ses passions, son humour. Chaque fois qu’au festival de théâtre on fera la cuisine, chaque fois qu’on installera des expos, qu’on accrochera des taps, à chaque soirée « En voiture Simone », on pensera à Danielle, elle continuera à nous accompagner dans cette formidable aventure, comme Guy Defaux nous accompagne toujours.
Danielle était discrète, mais très active et en particulier dans les associations de Tomblaine, très sociable. Elle ne se mettait pas en avant, mais tout le monde la connaissait.
La peine est immense, il n’y a pas de mots pour dire ni le chagrin, ni l’amitié que l’on porte à Jean-Claude, son mari, son complice.

Il y avait beaucoup de monde, pourtant dans une période de vacances…
Toute la famille de Tomblaine était là par amitié, les élus (Jean-Claude est adjoint au maire), beaucoup d’employés municipaux, tous les membres d’Aux Actes Citoyens, Tomblaine Danse, les associations, les anciens collègues de Jean-Claude, des employés de la Métropole, et puis les amis, les amis,…
Ça n’efface pas le chagrin, mais ça réconforte.
On se dit qu’on a de la chance de vivre dans une ville où les gens sont capables de tout dépasser pour se retrouver solidairement dans l’épreuve, une ville où il y a du lien et peut-être même de l’amour.
Mais on se dit aussi que c’est Danielle qui a réuni tous ces gens. Par ce qu’elle a été et par ce qu’elle nous a laissé d’elle, elle en a eu la force. Elle est partie en nous donnant une dernière leçon de vie. Une sacrée leçon de vie.
Il ne nous reste que la peine et le souvenir.

Vous avez peut-être remarqué que depuis une semaine, j’ai très peu écrit sur mon site herveferon.fr et sur facebook. Je n’avais pas envie. Par respect pour la peine que nous partageons avec Jean-Claude Dumas et sa famille, ou bien par pudeur, tant tout autre sujet peut paraitre futile quand une amie nous a quittés…
Danielle est partie très vite, trop vite, à l’âge de l’injustice pour mourir. Saloperie de maladie.

Je crois que tous ceux qui l’on connue se souviendront de son regard pétillant qu’accompagnait ce petit sourire. Car Danielle était pleine de vie, positive, elle aimait les gens et les gens l’aimaient. Le témoignage de son petit-fils montre combien elle comptait dans cette famille unie « une grand-mère parfaite avec deux facettes : d’abord la grand-mère parfaite. Aimante, bienveillante, qui nous a recueillis quand nous en avions besoin.
Et puis son côté rebelle, quand elle avait fait un tour en harley davidson avec les bikers (En Voiture Simone au festival « Aux Actes Citoyens »), quand elle a fait sa première « expérience psychadélique » avec nous dans les Vosges, ou encore… je ne vous dis pas les noms d’oiseaux qu’elle était capable de crier quand un arbitre sifflait une faute contre l’ASNL !…) »

Et nous tous, ça nous ramène à nos souvenirs présents, vivants, on la revoit, on se souvient de sa gentillesse, sa finesse d’esprit, ses passions, son humour. Chaque fois qu’au festival de théâtre on fera la cuisine, chaque fois qu’on installera des expos, qu’on accrochera des taps, à chaque soirée « En voiture Simone », on pensera à Danielle, elle continuera à nous accompagner dans cette formidable aventure, comme Guy Defaux nous accompagne toujours.
Danielle était discrète, mais très active et en particulier dans les associations de Tomblaine, très sociable. Elle ne se mettait pas en avant, mais tout le monde la connaissait.
La peine est immense, il n’y a pas de mots pour dire ni le chagrin, ni l’amitié que l’on porte à Jean-Claude, son mari, son complice.

Il y avait beaucoup de monde, pourtant dans une période de vacances…
Toute la famille de Tomblaine était là par amitié, les élus (Jean-Claude est adjoint au maire), beaucoup d’employés municipaux, tous les membres d’Aux Actes Citoyens, Tomblaine Danse, les associations, les anciens collègues de Jean-Claude, des employés de la Métropole, et puis les amis, les amis,…
Ça n’efface pas le chagrin, mais ça réconforte.
On se dit qu’on a de la chance de vivre dans une ville où les gens sont capables de tout dépasser pour se retrouver solidairement dans l’épreuve, une ville où il y a du lien et peut-être même de l’amour.
Mais on se dit aussi que c’est Danielle qui a réuni tous ces gens. Par ce qu’elle a été et par ce qu’elle nous a laissé d’elle, elle en a eu la force. Elle est partie en nous donnant une dernière leçon de vie. Une sacrée leçon de vie.
Il ne nous reste que la peine et le souvenir.