Agir pour vous et avec vous

Jour : 13 septembre 2018 (Page 1 de 2)

 
 Denise Gundelwein, adjointe au Maire déléguée aux affaires sociales et vice-présidente du CCAS, rend systématiquement visite aux personnes âgées de Tomblaine en vacances pour s’assurer des bonnes conditions de leurs vacances. Chaque fois que cela m’est possible, je l’accompagne en tant que Maire et Président du CCAS. Cette fois-ci ce sont également Jean-Claude Dumas, adjoint au maire délégué à la Politique des la ville et Jeanine Renard, Présidente d’honneur de l’association des personnes âgées et des retraités de Tomblaine, qui se sont joints à cette délégation municipale.
 Cela s’appelle juste de la bienveillance.
 
 Sur cette photo, on voit le groupe qui écoute les explications du guide face aux remparts et devant la porte de Narbonaise à Carcassonne.
 
 À l’heure où tous ces jeunes socialistes, jeunes marcheurs, jeunes post-sarkosistes attardés, mais jeunes bavards devant l’éternel, donneurs de leçons, qui n’ont jamais rien géré de leur vie, mais qui sont détenteurs du savoir divin, les observateurs, les commentateurs, les spécialistes, tout aussi bavards, vous rabâchent qu’il y aurait trop de communes en France, je pose une question : si la Commune, l’organisation communale, garante de la cohésion et du lien social, si les élus communaux seuls véritables élus de proximité n’étaient pas là, comment tout cela serait-il possible ?
 Aujourd’hui les services de l’Etat sont aux ordres et sont les fossoyeurs des Communes, les citoyens ne connaissent ni le nom de leurs conseillers régionaux ni leurs domaines de compétences, tout comme leurs députés européens (qui peut me citer le nom d’un de ses députés européens ???) tant ils sont coûteux, insuffisants, inutiles, éloignés  et inefficaces. Les députés sont (grâce à la démagogie d’Hollande) hors sol. On ne les voit plus, ils se cachent. Le Conseil Départemental est une supra-structure inhumaine et incohérente qui a abandonné et les pauvres gens et les Communes. Et les Métropoles sont des baronnies au service des notables, elles gaspillent l’argent public, vampirisent et les moyens et les compétences des Maires et des Communes. Elles les empêchent de faire vivre de véritables politiques publiques dans la proximité, humaines, humanistes, solidaires, républicaines. Quand le Baron est vieux et là depuis trop longtemps, le pouvoir est exacerbé, hyperconcentré, il monte à la tête du Baron, il devient fou. Mais comme il a le pouvoir, les vassaux rampent à ses pieds en attendant que le règne s’achève. Sauf que ça dure, que le fossé des inégalités et des injustices se creusent et pendant ce temps là le bon peuple crève. Et les notables s’en foutent.
 Seuls les élus locaux aujourd’hui sont un espoir pour les plus fragilisés. Parce qu’ils sont en prise directe avec la réalité, les personnes, leur quotidien.  Les familles, les jeunes sans devenir, sans espoir, la solitude des vieux,… ne sont plus pris en charge que par les élus locaux. Tant que les élus travaillent dans la proximité, pour la solidarité et la cohésion sociale, ils restent dignes… dignes d’être élus. Dès qu’ils s’en éloignent ils deviennent des notables. Le notable n’est pas « notable » au sens « remarquable », il se voit « notable », il se croit « notable », comme monsieur Jourdain croit au grand Mamamouchi… Il est grotesque et médiocre car aveuglé par son affligeante prétention.
 
 Les notables savent si bien parler de la République, avec de beaux discours, la réthorique et l’intonation juste, l’émotion calculée… Mais la République, ils ne la pratiquent pas. Soit ils l’ont oubliée lâchement, soit ils sont ignorants et ne savent pas pourquoi ils sont là.
 
 Denise Gundelwein, adjointe au Maire déléguée aux affaires sociales et vice-présidente du CCAS, rend systématiquement visite aux personnes âgées de Tomblaine en vacances pour s’assurer des bonnes conditions de leurs vacances. Chaque fois que cela m’est possible, je l’accompagne en tant que Maire et Président du CCAS. Cette fois-ci ce sont également Jean-Claude Dumas, adjoint au maire délégué à la Politique des la ville et Jeanine Renard, Présidente d’honneur de l’association des personnes âgées et des retraités de Tomblaine, qui se sont joints à cette délégation municipale.
 Cela s’appelle juste de la bienveillance.
 
 Sur cette photo, on voit le groupe qui écoute les explications du guide face aux remparts et devant la porte de Narbonaise à Carcassonne.
 
 À l’heure où tous ces jeunes socialistes, jeunes marcheurs, jeunes post-sarkosistes attardés, mais jeunes bavards devant l’éternel, donneurs de leçons, qui n’ont jamais rien géré de leur vie, mais qui sont détenteurs du savoir divin, les observateurs, les commentateurs, les spécialistes, tout aussi bavards, vous rabâchent qu’il y aurait trop de communes en France, je pose une question : si la Commune, l’organisation communale, garante de la cohésion et du lien social, si les élus communaux seuls véritables élus de proximité n’étaient pas là, comment tout cela serait-il possible ?
 Aujourd’hui les services de l’Etat sont aux ordres et sont les fossoyeurs des Communes, les citoyens ne connaissent ni le nom de leurs conseillers régionaux ni leurs domaines de compétences, tout comme leurs députés européens (qui peut me citer le nom d’un de ses députés européens ???) tant ils sont coûteux, insuffisants, inutiles, éloignés  et inefficaces. Les députés sont (grâce à la démagogie d’Hollande) hors sol. On ne les voit plus, ils se cachent. Le Conseil Départemental est une supra-structure inhumaine et incohérente qui a abandonné et les pauvres gens et les Communes. Et les Métropoles sont des baronnies au service des notables, elles gaspillent l’argent public, vampirisent et les moyens et les compétences des Maires et des Communes. Elles les empêchent de faire vivre de véritables politiques publiques dans la proximité, humaines, humanistes, solidaires, républicaines. Quand le Baron est vieux et là depuis trop longtemps, le pouvoir est exacerbé, hyperconcentré, il monte à la tête du Baron, il devient fou. Mais comme il a le pouvoir, les vassaux rampent à ses pieds en attendant que le règne s’achève. Sauf que ça dure, que le fossé des inégalités et des injustices se creusent et pendant ce temps là le bon peuple crève. Et les notables s’en foutent.
 Seuls les élus locaux aujourd’hui sont un espoir pour les plus fragilisés. Parce qu’ils sont en prise directe avec la réalité, les personnes, leur quotidien.  Les familles, les jeunes sans devenir, sans espoir, la solitude des vieux,… ne sont plus pris en charge que par les élus locaux. Tant que les élus travaillent dans la proximité, pour la solidarité et la cohésion sociale, ils restent dignes… dignes d’être élus. Dès qu’ils s’en éloignent ils deviennent des notables. Le notable n’est pas « notable » au sens « remarquable », il se voit « notable », il se croit « notable », comme monsieur Jourdain croit au grand Mamamouchi… Il est grotesque et médiocre car aveuglé par son affligeante prétention.
 
 Les notables savent si bien parler de la République, avec de beaux discours, la réthorique et l’intonation juste, l’émotion calculée… Mais la République, ils ne la pratiquent pas. Soit ils l’ont oubliée lâchement, soit ils sont ignorants et ne savent pas pourquoi ils sont là.

Pour cet article du journal « La Semaine », je tiens à dire que c’est le journaliste qui m’a appelé, car « on » l’avait informé de mon retrait du groupe de la Gauche du Grand Nancy, ce qui, par incidence, me voit en laisser la Présidence. Il fait normalement son travail, mais, moi je n’ai appelé aucun journaliste, je n’ai pas cherché à communiquer là-dessus, tout simplement car je ne veux que du bien à ce groupe. Mon retrait est donc un non-événement.
Cet article traduit assez justement l’échange que j’ai eu avec le journaliste. Je suis juste en désaccord avec la fin de l’article sur deux points :

– quand le journaliste me qualifie de « poids lourd », c’est un manque de reconnaissance évident envers tous les efforts que je fais pour suivre des régimes draconiens et entretenir une ligne de jeune homme !!!
– et plus sérieusement quand il écrit (et il a le droit de se poser la question) que « l’on pourrait soupçonner un calcul politique, car l’idée de fédérer ceux qui à gauche se sentent mal à l’aise… a bien dû me traverser l’esprit ». Je suis très clair là-dessus, ma démarche n’est pas solitaire, j’ai reçu de nombreux témoignages (y compris de membres de ce groupe) de félicitations, de soutien, de compréhension et même d’adhésion complète. Et cela me renforce dans l’idée que je ne me trompe pas. J’ai aussi reçu plusieurs propositions de membres de ce groupe pour créer un autre groupe d’opposition au Grand Nancy. Ma réponse a été claire et je n’en bougerai pas, car je ne suis pas dans un petit calcul politique : c’est non. Je ne souhaite pas qu’un autre groupe se constitue, ce serait une agression envers le Groupe de la Gauche du Grand Nancy. Je souhaite juste que ce Groupe progresse et se démarque d’un certain assujettissement subi. 

La Métropole du Grand Nancy est selon moi une espèce de grand accident dont les victimes co-latérales  nombreuses sont écrasées sous le rouleau compresseur des méthodes archaïques d’André Rossinot.
C’est pour cela que j’invite à la résistance, y compris les élus et citoyens qui ne seraient pas de gauche et qui souffrent de ce système.
… Quant à « la fin d’une histoire et l’amorce d’une autre »… bien sûr ! Le poids lourd est en pleine forme et vous donnera encore de ses nouvelles !
Hervé Féron.

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