Il y a encore des parlementaires qui vont sur le terrain et qui s’intéressent à la vie des territoires. Et Olivier Jacquin, le sénateur, est resté un élu de proximité. Lundi, nous avons passé avec lui toute la matinée à l’usine Schweitzer à Ludres. Son Président-directeur Louis Lebon nous y a reçus et John Persanda PDG du groupe Sphère, dont dépend la Société Schweitzer, parmi une quinzaine d’autres entreprises, s’était déplacé pour l’occasion.


Lorsque j’étais député, je m’étais beaucoup battu aux côtés de Ségolène Royal pour que le décret d’application de la Loi sur les bio-plastiques soit signée… et signée suffisamment tôt pour donner aux entreprises en France, telles que Schweitzer, le temps d’acheter les machines et de se préparer à fabriquer du bio-plastique.
Depuis, Schweitzer a embauché 22 nouveaux employés, portant le nombre à 196 et a investi 15 millions principalement dans de nouvelles machines de production du bio-plastique.

Aujourd’hui, Schweitzer fabrique du plastique bio-sourcé à 40% et bientôt 50, à partir de fécule de pomme de terre. Ce plastique est 100% biodégradable et compostable ! C’est énorme en cette période d’enjeux écologiques majeurs !
Olivier Jacquin s’est montré particulièrement intéressé par cette visite et par la discussion de plus de deux heures qu’il a pu avoir avec Louis Lebon et John Persanda. Le Groupe Sphère est leader en matière d’innovation et de recherche, il a permis de découvrir un plastique révolutionnaire qui permettra d’être bio-dégradable également en milieu aquatique : « Océanoïd »
C’est de l’avenir de la planète qu’il s’agit ! Olivier Jacquin saura porter sur les bancs du Sénat les informations recueillis lundi à Ludres.