Agir pour vous et avec vous

Jour : 12 janvier 2019

Initié par Hervé FERON, un « Orchestre à l’École » a vu le jour à l’école Élisabeth et Robert Badinter, en partenariat avec l’école de musique Tempo et l’Éducation Nationale. Ce sont ainsi 36 élèves de classes de CE2 qui vont apprendre la pratique d’instruments à cordes (violons, altos et violoncelles) pendant trois ans, accompagnés de leurs enseignantes et encadrés par trois professeurs de musique de TEMPO. Ils suivront un répertoire spécialement créé qui leur permettra de jouer dès le début des cours en formation orchestrale, tout en apprenant en parallèle la lecture de la musique et la technique instrumentale.
Véritable projet pédagogique et musical, l’orchestre va, durant les trois ans grandir, évoluer et s’épanouir. Étape-clé ce mercredi 9 janvier à l’Espace Jean Jaurès : les futurs musiciens ravis se sont vus remettre chacun leur instrument par Hervé Féron, Maire de Tomblaine, et leurs professeurs de musique.

 

 

 

Initié par Hervé FERON, un « Orchestre à l’École » a vu le jour à l’école Élisabeth et Robert Badinter, en partenariat avec l’école de musique Tempo et l’Éducation Nationale. Ce sont ainsi 36 élèves de classes de CE2 qui vont apprendre la pratique d’instruments à cordes (violons, altos et violoncelles) pendant trois ans, accompagnés de leurs enseignantes et encadrés par trois professeurs de musique de TEMPO. Ils suivront un répertoire spécialement créé qui leur permettra de jouer dès le début des cours en formation orchestrale, tout en apprenant en parallèle la lecture de la musique et la technique instrumentale.
Véritable projet pédagogique et musical, l’orchestre va, durant les trois ans grandir, évoluer et s’épanouir. Étape-clé ce mercredi 9 janvier à l’Espace Jean Jaurès : les futurs musiciens ravis se sont vus remettre chacun leur instrument par Hervé Féron, Maire de Tomblaine, et leurs professeurs de musique.

 

 

 

 

On le sait, le hall de l’hôtel de Ville de Tomblaine est un lieu permanent 
d’expositions artistiques.
Du 12 janvier au 2 février, ce sont les textes et photos de Sandrine
Bronner qui sont proposées au visiteur, qu’on se le dise !

Le vernissage avait lieu ce samedi matin. Un grand moment d’émotion, 
tant le voyage, l’histoire vers laquelle Sandrine Bronner nous transporte
est belle et pénétrante. Elle se dit elle même « cueilleuse d’images », elle 
nous ouvre les yeux sur la vraie vie, cette nature que l’on oublie de
regarder, d’entendre, de respecter, alors qu’elle est bien là… si près
de nous et si nécessaire. Ses noirs et blancs sont en couleurs tant
le contraste apporte du caractère à la photographie comme à
la nature et à l’instant suspendu. La lumière et les ombres jouent 
à donner de la vie, du mouvement, de la tension ou de la sérénité.
C’est juste beau, c’est magique.

Et si vous êtes un tout petit peu curieux, vous prolongerez la visite 
jusqu’aux textes de Sandrine Bronner, à savourer avec délectation.
Elle est poète par l’image comme par les mots, quelle sensibilité !

 

On le sait, le hall de l’hôtel de Ville de Tomblaine est un lieu permanent 
d’expositions artistiques.
Du 12 janvier au 2 février, ce sont les textes et photos de Sandrine
Bronner qui sont proposées au visiteur, qu’on se le dise !

Le vernissage avait lieu ce samedi matin. Un grand moment d’émotion, 
tant le voyage, l’histoire vers laquelle Sandrine Bronner nous transporte
est belle et pénétrante. Elle se dit elle même « cueilleuse d’images », elle 
nous ouvre les yeux sur la vraie vie, cette nature que l’on oublie de
regarder, d’entendre, de respecter, alors qu’elle est bien là… si près
de nous et si nécessaire. Ses noirs et blancs sont en couleurs tant
le contraste apporte du caractère à la photographie comme à
la nature et à l’instant suspendu. La lumière et les ombres jouent 
à donner de la vie, du mouvement, de la tension ou de la sérénité.
C’est juste beau, c’est magique.

Et si vous êtes un tout petit peu curieux, vous prolongerez la visite 
jusqu’aux textes de Sandrine Bronner, à savourer avec délectation.
Elle est poète par l’image comme par les mots, quelle sensibilité !